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Lettre n° 450
du 14 mars 2018
 

Nos sélections de la quinzaine

 
 

 

 


 
      THEATRE

 
 


Photo Laurencine Lot


 

MIRACLE EN ALABAMA de William Gibson. Adaptation et mise en scène Pierre Val avec Valérie Alane, Julien Crampon, Stéphanie Hédin, Marie-Christine Robert, Pierre Val, Lilas Mekki ou Clara Brice.
Une congestion cérébrale a laissé la petite Helen, âgée de deux ans, sourde et aveugle. Le capitaine Arthur Keller et sa femme Kate ne sachant pas comment éduquer leur fille avec un tel handicap, lui ont tout cédé. Les années ont passé, le comportement d’Helen est devenu celui d’une adolescente indomptable. La tante Ève et James, le fils d’un premier mariage d’Arthur, tentent de persuader les parents qu’ils ne peuvent plus laisser Helen grandir sans aucun repère. La placer dans une institution spécialisée serait salutaire. Mais les Keller se refusent à se séparer de leur fille tout en ayant conscience qu’elle est devenue ingérable et préjudiciable à la paix de la maison. Après plusieurs consultations, un médecin leur conseille d’engager une institutrice. C’est ainsi qu’en provenance de Boston, Annie Sullivan arrive chez les Keller. ... (Lire).


 


Photo L'instant du regard

 

LE CERCLE DE WHITECHAPEL de Julien Lefebvre. Mise en scène Jean-Laurent Silvi avec Stéphanie Bassibey, Pierre-Arnaud Juin, Ludovic Laroche, Jérôme Paquatte, Nicolas Saint-Georges.
Londres1888. Le quartier de Whitechapel est secoué par une série de meurtres qui ne s’abat que sur des prostituées. La police ne parvient pas à trouver la piste qui la mènerait à l’auteur de ces crimes. D’un genre inédit, ceux-ci suivent le même rituel et leur degré d’abomination s’accroît d’une victime à l’autre. Ancien directeur de la police coloniale, très ancré dans la bonne société, Sir Herbert Greville décide de former un groupe de personnes dont les qualités ou leur place dans la société les distinguent du commun des mortels. Il réunit ainsi dans un ancien atelier d’artiste du quartier de Whitechapel loué pour l’occasion, le romancier débutant, Arthur Conan Doyle, le journaliste et futur grand dramaturge, George Bernard Shaw, le directeur d’un théâtre, mauvais romancier, passionné de sciences occultes, Bram Stocker, et l’une des premières femmes médecins de l’époque, Mary Lawson. Sir Herbert Greville dit vouloir aborder cette série de meurtres d’un autre œil afin d’aider Scotland Yard à trouver le coupable. ... (Lire).


 


Photo Pascal Gely

 

L’ANGOISSE DU ROI SALOMON d’après le roman d’Émile Ajar - Romain Gary. Adaptation et mise en scène Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco avec Bruno Abraham-Kremer.
Jean a longtemps remis le projet de raconter à son fils la rencontre qu’il fit un jour avec un homme de 84 ans qui monta dans son taxi et changea sa vie. Monsieur Salomon engagea la conversation avec ce chauffeur à la gueule d’ange et de voyou, l’invita à prendre un verre et lui fit cette incroyable proposition accompagnée d’un chèque, celle de devenir son chauffeur attitré. Ils étaient trois à payer la licence du taxi, Jean et ses deux copains devinrent donc les chauffeurs du vieil homme. Après avoir été le roi du prêt-à-porter, Monsieur Salomon avait décidé de mettre sa fortune au service des autres en créant le service téléphonique « S.O.S bénévoles », installé dans son propre appartement. L’amitié de Jean et de Monsieur Salomon s’étoffa au fil du temps. Jean et ses copains devinrent chauffeurs et commissionnaires, rejoignant même le petit groupe des standardistes ! Au gré des confidences, Jean découvrit la solitude de Monsieur Salomon et une blessure non cicatrisée infligée par une certaine Cora Lamenaire, ancienne chanteuse réaliste que ce juif russe exilé à Paris avait rencontrée avant la guerre. ... (Lire).


 


Photo Fabienne Rappeneau

 

C’ÉTAIT QUAND LA DERNIÈRE FOIS ? de Emmanuel Robert-Espalieu. Mise en scène Johanna Boyé avec Virginie Hocq, Zinedine Soualem.
Ne vous fiez pas au sourire enjôleur de cette maîtresse de maison qui, sur l’affiche, tricote sagement. Elle vient de mettre la dernière main à un dessein diabolique, celui de tuer son mari en l’empoisonnant. Motif, elle l’aime encore mais ne peut supporter l’idée de se voir un jour remplacée. Comble, elle lui annonce sa mort prochaine alors qu’il lit son journal à table au lieu de lui accorder un minimum d’attention, une circonstance atténuante, me direz-vous !
Ainsi commence l’une des comédies les plus loufoques de la saison avec une tornade, Virginie Hocq, que Zinedine Soualem, son époux, découvre subitement avec effroi ! Elle est formelle. Il ne lui reste qu’une heure et demie à vivre, c’est ce que lui a dit le pépiniériste qui lui a vendu le poison, un comanche aux traits vikings (c’est normal), un pro en la matière. Une fois la digitaline avalée, l’issue est irréversible. ... (Lire).


 


Photo Pierre Grosbois

 

LES BIJOUX DE PACOTILLE de Céline Milliat Baumgartner. Mise en scène Pauline Bureau avec Céline Milliat Baumgartner.
Une soirée un peu arrosée, un tunnel, le feu pas-de-joie d’une voiture en flammes. L’incandescence des souvenirs, la fillette devenue grande la raconte, dans sa petite robe défraîchie, juchée sur les chaussons roses de sa danse d’enfant. Corps escamotés, funérailles interdites aux deux enfants qui avaient si bien fait tourner en bourrique le baby-sitter débutant. Le deuil aussi a été escamoté. Alors demeurent les souvenirs qui virevoltent sur fond de mélodie naïve, comme une ritournelle de boîte à musique.
Elle est là, seule sur ce grand espace, avec le dérisoire carton de ses trésors, dupliquée par le large miroir incliné qui suscite la magie des vagues ou des nuages. Et elle décline les quatre mouvements d’une symphonie du temps interdit. Premier moment, au présent, celui du récit de l’accident, des rires d’enfants, des tendresses paternelles, des séductions de son actrice de mère. ... (Lire).


 


Photo Victor Tonelli

 

SEASONAL AFFECTIVE DISORDER de Lola Molina. Mise en scène Lélio Plotton avec Anne-Lise Heimburger et Laurent Sauvage.
Vlad et Dolly se rencontrent dans un bar, il l’emmène dans un hôtel impersonnel et sans charme en rive de périphérique. Commence pour eux une cavale mortelle, pourchassés sans rémission jusqu’à l’explosion finale.
Mais que fuient-ils donc ? Elle a, semble-t-il, été témoin de la mort violente d’une copine de son lycée. Simple témoin ou partie prenante ? Son cou s’orne de mystérieuses taches de sang, que Vlad ne se fait pas faute de remarquer. Vlad, un diminutif qui fait songer au « saigneur » des Carpates, non ? Tatoueur, si l’on en croit sa mallette, mais que fuit-il lui aussi ? Le matelas inconfortable d’une vieille conjugalité ? Un passé plus trouble dont témoignerait le pistolet dans sa boîte à gants ? ... (Lire).



 
      EXPOSITIONS ET SITES

 
 


Photo © Petit Palais / Roger-Viollet

 

L’ART DU PASTEL DE DEGAS A REDON. Le Petit Palais possède quelque 200 pastels entrés dans ses collections grâce à des dons des artistes ou de leurs familles et à quelques achats de la Ville de Paris. Compte tenu de leur fragilité, ils ne sont ni exposés ni prêtés. Avec une sélection de 130 d’entre eux provenant de ses collections, le Petit Palais nous permet donc d’admirer ces œuvres raffinées et élégantes, faites avec rapidité grâce à ces bâtonnets de couleur. Si le pastel est souvent associé au XVIIIe siècle, il a aussi été utilisé au cours des siècles suivants, en particulier par les impressionnistes, et cela jusqu’à nos jours comme le montre les trois œuvres d’Irving Petlin, pastelliste américain né en 1934 et vivant à Paris, exposées ici. La plupart des pastels du Petit Palais datent des années 1860 à 1920.
Le parcours de l’exposition se déploie en cinq sections dans une magnifique scénographie. Celles-ci suivent un ordre à la fois chronologique et thématique. Dès l’entrée, on voit le délicat portrait de la Princesse Radziwill (1800-1801), par Élisabeth Vigée-Lebrun. Il symbolise l’âge d’or du pastel évoqué dans cette première section « Avant le renouveau du pastel ». ... (Lire).

 
 


Photo Lucia Thomé © Adagp

 

MOHAMED BOUROUISSA. Urban Riders. Plasticien algérien né en 1978 et vivant à Paris, Mohamed Bourouissa a réalisé, en 2014, un film, Horse Day, qui constitue le cœur de cette exposition. Pendant huit mois il s’est intéressé, à Philadelphie, aux écuries associatives de « Fletcher Street » qu’il a découvertes grâce aux images de Martha Camarillo, une photographe américaine. Fondées dans les années 1900 par des cavaliers afro-américains, ces écuries à vocation sociale pour de jeunes adultes sont aussi un refuge pour des chevaux destinés à l’abattoir.
Mohamed Bourouissa a lancé le projet de créer un événement, une « journée du cheval », sur le modèle du « tuning » de voitures, en invitant des artistes à concevoir des costumes pour les chevaux et en les présentant durant ce « Horse Day », le 13 juillet 2014. Après Philadelphie (Fondation Barnes) et Amsterdam (Stedelijk Museum), c’est au tour du Musée d’Art moderne de présenter ce projet, mais sous une forme différente. ... (Lire).

 

 
 
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92410 Ville d'Avray
 

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