|
|
|
|
|
|
|
Lettre n° 447
du 31 janvier 2018 |
|
Nos sélections de la quinzaine |
|
|
|
|
|
|
|
|
THEATRE
|
|
|
Photo Charlotte Spiellemaecker
|
|
RUY BLAS de Victor Hugo. Spectacle de la Compagnie Les Nomadesques. Mise en scène Vincent Caire.
Suite au déshonneur provoqué à l’encontre d’une jeune suivante qu’il refuse d’épouser, Don Salluste, grand d’Espagne, tombe en disgrâce. Cette humiliation, il la doit à la reine Doña Maria de Neubourg, seconde épouse du roi Charles II. Avant son départ, et décidé à se venger de la souveraine, Don Salluste requiert la complicité de son cousin Don César, un comte ruiné et vivant d’expédients parmi « tous les gueux de Madrid ». Mais celui-ci refuse de se commettre avec son cousin dans un dessein qu’il juge méprisable. Don Salluste fixe alors son choix sur Ruy Blas, un laquais assez éduqué pour savoir écrire, qu’il sait amoureux de la reine. Il le fait passer pour son cousin Don César dont il croit se débarrasser. ... (Lire).
|
|
|
Photo Marcel Hartmann
|
|
DOUCE-AMÈRE de Jean Poiret. Mise en scène Michel Fau.
Huit ans de mariage et ils sentent déjà leur vie commune s’étioler. Certain d’en vivre l’épilogue, Philippe devient de plus en plus caustique. Élisabeth relativise ses propos à leur ami Michel, venu prendre un verre : « Philippe a besoin de méandres ». Que son mari dise vouloir lui laisser toute liberté l’agace. Mais ne serait-ce pas une manière de la manipuler ? Élisabeth s’absente, il en profite pour chiper son agenda, un agenda qui ressemble à celui d’un mari trompé. « Huit ans de mariage, le temps est venu de l’érosion », confie-t-il à Michel qu’il verrait bien comme l’amant parfait. Il devrait être jaloux, bien au contraire, il pousse littéralement son ami dans les bras de sa femme. ... (Lire).
|
|
|
Photo Jean Letort
|
|
LE MARCHAND DE VENISE de William Shakespeare. Mise en scène et adaptation Ned Grujic.
Une livre de chair, c’est le prix à payer pour la dette non acquittée. Quand il en va des amours de son ami Bassanio, qui dilapide en toute inconséquence les ducats des autres, Antonio le riche armateur n’hésite pas un instant, fort de ses galions qui arpentent les océans. Mais, quand les tempêtes successives le ramènent à la réalité des choses, il s’agit désormais de payer le prix qu’exige, en toute légalité, son créancier Shylock. Pétri de haine à l’encontre de ces chrétiens qui ne cessent pas de l’insulter et de le mépriser, tissé de vindicte parce que sa fille Jessica l’a déserté pour une alliance honnie, l’usurier revendique sans pitié son dû. La superbe a changé de camp, Bassanio sanglote, Antonio gémit, la situation est sans appel. Shylock est légitime dans sa requête, si monstrueuse soit-elle, et le couteau affûté se lève déjà. ... (Lire).
|
|
|
Photo Victor Tonelli
|
|
JUSTICE de Samantha Markowic. Mise en scène Salomé Lelouch.
Sabrina Malard est encore terrifiée par l’agression dont elle a été victime alors qu’elle rentrait de chez une amie un soir à minuit et un peu ivre. Mais ce qu’elle sait aujourd’hui c’est qu’elle ne parvient plus à vivre normalement. Elle ne sait d’ailleurs pas très bien ce qui la traumatise le plus, les insultes proférées par son agresseur ou le vol du portable qu’elle tenait à la main. « Ne jamais plus appeler la nuit en pleine rue » lui a gentiment recommandé l’officier de police lorsqu’elle a porté plainte contre l’auteur des faits, un dénommé Mohamed Ali, bien connu des services de police. La belle affaire ! Malgré un procès en comparution immédiate, il n’a écopé de rien. Elle peut le croiser à tout moment dans la rue tout comme la police qui l’a pourtant déjà arrêté plusieurs fois. ... (Lire).
|
|
|
Photo Frédéric Cusseu OMG! Création
|
|
NOS EDUCATIONS SENTIMENTALES de Sophie Lecarpentier. Mise en scène Sophie Lecarpentier.
« Ce fut comme une apparition », ainsi se noue la passion improbable du jeune provincial Frédéric, fraîchement débarqué dans la capitale, et de Marie, la bourgeoise languissante. Ces deux romantiques croiraient à leur indéfectible complicité amoureuse, s’il n’y avait pas de mari trop présent. On oscillerait entre la virulence balzacienne, l’amertume de Flaubert et le vaudeville fin de siècle, quelle que soit l’époque. Et celui qui aurait pu ressusciter Rastignac, dans ses désirs de conquête et son utopie d’écrivain ou de peintre sans grand talent, se contentera de la pusillanimité d’un rentier sans envergure. Hommes et femmes qui entourent le couple sont à l’aune de cette indécision incurable, le gentil parasite, l’investisseur déraisonnable dans ses affaires comme dans ses infidélités, la femme facile en quête de stabilité, l’inclassable globe-trotteuse qui squatte sa vie sans parvenir à la définir. ...
(Lire).
|
|
|
|
|
THÉÂTRE |
|
|
|
|
SPECTACLES |
|
|
|
|
CINEMA |
|
|
|
|
EXPOSITIONS |
|
|
|
|
OPERAS |
|
|
|
|
DANSE |
|
|
|
|
CONCERTS
(musique classique) |
|
|
|
|
CONCERTS
(sauf musique classique) |
|
|
|
|
|
|
Spectacles Sélection
13 chemin Desvallières
92410 Ville d'Avray |
|
Les articles complets sont disponibles sur notre site spectacles-selection.com.
Si vous n'êtes pas abonné à cette newsletter, vous pouvez demander à la recevoir gratuitement en cliquant sur le lien suivant : www.spectacles-selection.com/abonnements
Pour vous désabonner, cliquer ici : www.spectacles-selection.com/desabonnement |
|
|
|
|
|
|
|