Parcours en images de l'exposition

ANDRÉ DEVAMBEZ
Vertiges de l’imagination

àavec des visuels mis à la disposition de la presse
et nos propres prises de vue

Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°556 du 26 octobre 2022



 

Scénographie
 
André Devambez faisant la grimace, photographie. Collection Michel Menegoz. Reproduction du Musée des Beaux-Arts de Rennes / Jean-Manuel Salingue 2021.
 
André Devambez. Impressions artistiques, 1905. Lithographie. © Paris Musées - Petit Palais.
André Devambez. Affiche pour l'Aliment complet Maxime Groult fils aîné, 1905.

Devambez met toute son efficacité visuelle au service de ces trois affiches formant triptyque. L'entreprise Maxime Groult fils ainé, qui commercialise une poudre alimentaire à base de végétaux, communique volontiers sur la valeur nutritive de son produit. L'artiste utilise pleinement les ressorts de la publicité pour faire passer un message hygiéniste, porteur de réconciliation sociale. Manichéisme, outrance et une bonne dose d'humour constituent les aliments efficaces de sa recette promotionnelle.


1 - Débuts académiques et « fabrique » de l'œuvre

Scénographie
 
Panneau didactique
 
André Devambez. Visiteurs à l’atelier, 1939. Huile sur toile.

Devambez tire à nouveau parti du cadrage en plongée pour embrasser l’atelier de son confrère et ami, l'artiste Louis Roger. Formé comme Devambez à l'Ecole des beaux-arts de Paris, Louis Roger obtient le prix de Rome en 1899, neuf ans après Devambez.
 
André Devambez. Le Désespoir d’Écube devant son fils assassiné, 1885. Huile sur toile. Petit Palais - musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.

En 1885, Devambez obtient une 3e médaille au concours d'esquisse peinte pour Le Désespoir d’Hécube découvrant sur le rivage le corps de son fils assassiné, un épisode inspiré d’Euripide censé faire la part belle à la mise en scène des sentiments. Puis il obtient une nouvelle médaille, en 1886, pour Élie enlevé dans un char de feu dont la composition lui permet d'exercer son sens de la contre-plongée.
 
André Devambez. La Conversion de la Madeleine, 1898. Photographie rehaussée de gouache blanche, d'aquarelle et d'encre.

Cette photographie témoigne de la longue genèse du dernier envoi de Rome de Devambez, alors que la toile originale, roulée et inaccessible, est aujourd'hui conservée au musée de Cholet. Fin 1894, l'artiste arrête son choix sur l'épisode de la première rencontre entre Marie Madeleine et Jésus. Les figures sont étudiées d'après nature, le cadre architectural est inspiré des rues de Naples, de nombreuses photographies sont retravaillées, la composition est mise en place par une maquette aux figurines modelées. La toile, réalisée dans un immense format (6 m de haut sur 2,80 m de large), est finalement soumise au jury de l'Institut en 1898 et récompensée par une médaille de seconde classe.


2 - Famille et villégiatures

Scénographie
 
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André Devambez. Deux enfants, 1914. Huile sur toile. MUDO, musée de l’Oise. Photo © RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier.
 
André Devambez. La Lecture (Cécile Devambez lisant devant un miroir). Huile sur carton.

La figure de Cécile Devambez, la femme de l'artiste, anime une scène d'intérieur dont la composition joue du dédoublement dans le miroir et du cadrage en plongée, un dispositif particulièrement prisé par Devambez. Le modèle fondu dans le décor et la facture de l'œuvre peinte par petites touches rappellent les portraits tardifs d'Édouard Vuillard que Devambez devait certainement connaître.
 
André Devambez. Le Lever (Valentine, dite Friquette, la fille de Devambez, s’habillant), vers 1917. Huile sur bois. Paris, collection particulière.
 
André Devambez. Plage à Yport. Huile sur bois. Paris, collection particulière.

Yport, en Normandie, est une destination estivale de l'artiste et sa famille. L'endroit lui inspire de nombreuses vues de plages, grouillantes de petites touches colorées, à mi-chemin entre la photographie et la carte postale.
 
André Devambez. Vue d'Yport. Huile sur bois. Collection particulière (par courtoisie de la galerie Talabardon & Gautier, Paris).


3 - La vie parisienne

Scénographie
 
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André Devambez. Vue de ParisCollection particulière. Photo © Musée des Beaux-Arts de Rennes / Jean-Manuel Salingue 2021.
 
André Devambez. Les Incompris, 1904. Huile sur toile. Quimper, musée des Beaux-Arts.

Attablé au café, un ivrogne à l'œil vide et aux airs de Verlaine est avachi devant son bock de bière. En face de lui, une vieille femme aux traits tombants lit son quotidien L'Art, le bras posé sur une boîte de peinture. Il s’agit de l’ancien modèle de l'Olympia de Manet, Victorine Meurent, peintre elle-même. A leurs côtés, s'anime un trio en pleine conversation échevelée. Les personnages réunis ne semblent pourtant pas vraiment liés les uns aux autres. C’est l’atmosphère de la bohème que restitue ici Devambez, d’un trait féroce et pathétique à la fois.
 
André Devambez. Au Café, avant 1915. © Paris Musées - Petit Palais.
Scénographie
 
André Devambez. Homme barbu attablé, portant manteau rouge et chapeau noir. Huile sur bois. Collection Étienne Bréton - Saint Honoré Art Consulting.
 
André Devambez. Les Projets pour l’année prochaine. Lithographie couleurs. Rennes, collection particulière.
 
André Devambez. L’heure de pointe dans le métro, 1920. Huile sur carton. © Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris.
 
André Devambez. Le Tram Jaune. Huile sur bois. Paris, collection particulière.


4 - Regards sur la modernité, œuvres aéronautiques

Scénographie
 
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André Devambez. Un mariage en aéroplane, au-dessus de la Tour Eiffel et de la Seine (La Noce en aéro-taxi), 1909. Lithographie. MUDO, musée de l’Oise. Photo © RMN-Grand Palais / Adrien Didierjean.
 
André Devambez. Le Dirigeablobus, 1909. Lithographie. MUDO, musée de l’Oise. Photo © RMN-Grand Palais / Adrien Didierjean.
 
André Devambez. Les avions fantaisistes, vers 1914. Huile sur toile. MUDO, musée de l’Oise. Photo © RMN-Grand Palais / Hervé Lewandowski.
 
André Devambez. Le seul oiseau qui vole au-dessus des nuages, 1910. Huile sur toile. Paris, musée d’Orsay. Photo © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
 
André Devambez. Vol durant la «Quinzaine d'Octobre» ; Port-Aviation, 14 octobre 1909. Huile sur toile. Collection Farida et Henri Seydoux, Paris.


5 - « La Vie et les Inventions modernes »

 
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André Devambez. « La Vie et les Inventions modernes ». Le Déjeuner sur l'herbe (esquisse), vers 1910. Huile sur bois. Paris, collection particulière.


6 - La Chronique des spectacles

Scénographie
 
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André Devambez. Une première au Théâtre Montmartre, vers 1901. Gouache.
 
André Devambez. L’Ouvreuse, vers 1905. Lithographie sur papier vélin. Petit Palais - musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.
 
André Devambez. Concert Colonne, vers 1933. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.

L'artiste et sa femme Cécile se rendent souvent au théâtre du Châtelet pour assister à des concerts. Perché au plus haut des galeries de l’amphithéâtre, Devambez se plait toujours à retranscrire la foule des spectateurs, plutôt que la scène, en un mouvement de plongée qui unifie l'assemblée de mélomanes, sans distinction de classe.
Les Concerts Colonne, fondés en 1873 par Judas Colonna, dit Édouard Colonne (1838-1910), avaient en effet pour ambition de rendre la musique classique accessible au plus grand nombre.


7 - L'Illustration sous toutes ses formes - 1

Scénographie
 
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André Devambez. Gulliver enlève la flotte, 1909. Huile sur toile. Collection Maïk Bouchayer. Photo Salingue/Rennes.
 
André Devambez. Gulliver, une planche. Lithographie. Collection particulière, Rennes. Photo © Musée des Beaux-Arts de Rennes / Jean-Manuel Salingue 2021.
 
André Devambez. Claude Farrère, Amoureux sur le toit d’un immeuble, 1920. Courtesy Galerie Laurentin, Paris.
 
André Devambez. Aux Galeries Lafayette, maison vendant le meilleur marché de tout Paris.  Bibliothèque Forney, Paris. Photo © Musée des Beaux-Arts de Rennes / Jean-Manuel Salingue 2021.
 
André Devambez. La Fête de la fée. Collection particulière.

Tel un objet de dévotion, La Fête de la fée apparaît comme un petit triptyque tout à la gloire des êtres imaginaires dotés de pouvoir surnaturels. Réalisé pour un particulier, cet objet précieux est ainsi décrit par l'artiste : « La fée assise et entourée de ses suivantes, assiste aux débats des lutins et des elfes. Prairie émaillée de fleurs ; fleurs autour de la fée. En haut, à droite le palais. » également veillé à ce que les fleurs d’or du cadre art nouveau « se détachent en clair sur un fond de forêt ».
Scénographie
 
André Devambez. Fée et lutins. Huile sur bois. Collection particulière. Photo © Musée des Beaux-Arts de Rennes / Jean-Manuel Salingue 2021.
 
André Devambez. Les Rois mages. Léo Lefèvre.
André Devambez. Gulliver en tournée à Lilliput, 1909. Huile sur bois. Collection particulière. © Galerie Talabardon et Gauthier.


8 - Face à l'événement

Scénographie
 
Panneau didactique
 
André Devambez. La Charge, boulevard Montmartre, 1902-1903. Huile sur toile. Paris, musée d’Orsay. Photo © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
 
André Devambez. Une gravure fantastique (Allégorie de la Commune?), 1910. Gouache, encre noire et lavis sur papier. Saint-Denis, musée d'art et d'histoire Paul Eluard.
 
André Devambez. L'Attente, dit aussi Les Fédérés, 1911. Huile sur toile. Paris, Cnap (Centre national des arts plastiques), en dépôt au musée national des Châteaux de Versailles et de Trianon.

Les fédérés rassemblés devant cette barricade de fortune prêtent moins que les figures de L'Appel à une lecture satirique du sujet. Ses modèles sont plus nobles, bien que marqués par la fatigue. À nouveau, plutôt que de représenter l’action, Devambez s'attache aux coulisses du drame historique et à ses acteurs, qu’il considère avec humanité.
Scénographie
 
André Devambez. « Je suis Jean Valjean », 1904. Huile sur toile. Paris, musée Victor Hugo.

Dès les premiers échanges en vue de la création du musée Victor Hugo, le nom de Devambez se trouve associé aux Misérables. Une commande lui est passée et Devambez réalise de nombreux travaux préparatoires ainsi qu'une maquette pour créer « Je suis Jean Valjean ». Cette toile de format important illustre en peinture une scène du livre VII de la première partie des Misérables (1862).
Comme l'écrit le critique Vauxcelles, le « peintre-illustrateur a choisi le moment où M. Madeleine, victime des policiers, des gendarmes et des juges, descend dans le prétoire et crie : “Messieurs les jurés, faites relâcher l'accusé; monsieur le président, faites-moi arrêter. L'homme que vous cherchez, ce n’est pas lui, c'est moi... Je suis Jean Valjean!”».
 
André Devambez. L'Appel, Paris sous la Commune, 1906. Huile sur toile. Saint-Denis, musée d'art et d'histoire Paul Eluard.

Devambez se passionne pour l’histoire de la Commune, nourrie par les souvenirs de son père et de communards qu'il interroge. Il recueille de la documentation au musée Carnavalet, ou encore reconstitue une barricade dans sa cour. L'artiste délaisse ici le fait d’armes pour s'attacher davantage à ce qui relève de la trivialité du siège et de son armée de fédérés miséreux. Il révèle à nouveau sa prédilection pour l'étude des types populaires et une singulière acuité d'observation.
André Devambez. La Pensée aux absents, 1926-1936. « Le Souvenir » (panneau central), « La Lettre » (panneau gauche), « Les Trous d’obus » (panneau droit). Huile sur toile au centre, huile sur carton à gauche et à droite. Saint-Quentin, musée des Beaux-Arts Antoine-Lécuyer.

Devambez propose ici une version réduite d'une œuvre monumentale, réalisée en souvenir des disparus de la Première Guerre mondiale. Sa forme en triptyque lui confère une dimension quasi religieuse. Au centre, trois générations de femmes en deuil, incarnées par sa mère, sa femme et sa fille, expriment la douleur de la perte et le traumatisme de toute une population. Les panneaux latéraux évoquent l'isolement des « poilus » au repos comme au front. En partie basse, un défilé de soldats au milieu des croix blanches rappelle le sacrifice des combattants.


9 - L'Illustration sous toutes ses formes - 2

Scénographie
 
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André Devambez. Macrobes, L’armée était là rangée sur les deux rives, 1910. Huile sur toile. © Paris Musées - Petit Palais.
 
André Devambez. Macrobes, Alors je m’engageai dans une course effrénée, 1910. © Paris Musées - Petit Palais.
 
André Devambez. Le 14 Juillet en ballon, 1902. Encre noire, crayon noire, gouache et aquarelle. Benjamin Peronnet, Paris.

Le 14 Juillet en ballon constitue la couverture recto-verso du Rire (19 juillet 1902). Abondamment illustré par Devambez, ce récit met en scène l'artiste et le journaliste G. Pelio, tous deux soucieux de répondre à la commande du journal - « Êtes chargés compte rendu complet Fête nationale » - sans s'astreindre à un bain de foule. Il en résulte le journal de bord d'un voyage en ballon, à l’intérieur et bien au-delà des fortifications de Paris. La couverture illustre la « recette pour faire de l'enthousiasme » lors de la fête nationale : il suffit d'inviter à défiler, devant une foule rassemblée, des pompiers « tout bouillants d’ardeur » ou les sociétés de tir et de gymnastique.


10 - Le Portraitiste

Scénographie
 
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André Devambez. Portrait de Pierre et Valentine, 1925. Huile sur toile. MUDO, musée de l’Oise. Photo © RMN-Grand Palais / Adrien Didierjean.
 
André Devambez. Deux peintres, 1937. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.

Ce double portrait a pour modèles deux des élèves de Devambez à l’École nationale des beaux-arts de Paris : André-Marius Aillaud, à gauche, et Jacques Pierre, à droite. La palette claire, les poses nonchalantes et le regard direct des deux protagonistes s'approchent de certains portraits réalisés à la même époque par Louis Roger (1874-1953), ami et collègue de Devambez aux Beaux-Arts. Si le peintre use ici du même principe de superposition de poses de face et de profil que dans la Réunion d'étudiants, les deux œuvres se différencient nettement par leur facture, l’une plus serrée et l'autre plus libre, ainsi que par l'introduction d’une gamme chromatique plus lumineuse.
 
André Devambez. Réunion d'étudiants, 1934. Huile sur toile. Petit Palais - musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris.

Les personnages constituant cette « réunion d'étudiants » ont été identifiés comme étant, de gauche à droite, la princesse Patchuski, un modèle d'origine russe « ne posant jamais nue » et placée « sous la protection de M. Devambez », de Pierre Valade, d'Alice Richter, de Charles Bouleau, tous élèves de Devambez à l’École nationale des beaux-arts.
Un témoignage de Bouleau évoque ses souvenirs du «Patron» et précise avoir posé cent séances pour ce tableau. Sa silhouette frontale, à droite - les mains ramenées sur sa veste (une attitude similaire à celle de Pierre dans son portrait avec Valentine) - l'isole de ses camarades. Les critiques mitigées éreintèrent l'agencement des figures sans lien entre elles et semblant « plutôt des clients réunis dans le salon d'un dentiste que des étudiants devisant de l'objet de leurs études ». Raymond Escholier, premier directeur du Petit Palais, jugeait pour sa part qu'elles «compos[ai]ent une page d’un réalisme saisissant».
André Devambez. Portrait collectif des membres de l'Académie Française en 1934, 1936. Huile sur toile.
Paris, Palais des Instituts. Collection de l'Académie française.
 
Portrait collectif des membres de l'Académie Française en 1934.
 


11 - Les « Tout-petits »

Scénographie
 
Panneau didactique
 
André Devambez. Procession de moines. Huile sur carton. Mission de préfiguration du musée du Grand Siècle. © Département des Hauts-de-Seine / Musée du Grand Siècle – Donation Pierre Rosenberg – Suzanne Nagy.
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
André Devambez. La complainte ou la chanson, vers 1939. Huile sur toile. Par courtoisie Marc Ottavi.
 
André Devambez. Scène de duel. Huile sur carton. Mission de préfiguration du musée du Grand Siècle. © Département des Hauts-de-Seine / Musée du Grand Siècle – Donation Pierre Rosenberg – Suzanne Nagy.
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
André Devambez. La Rixe. Collection particulière par l'intermédiaire de la galerie Fabienne Fiacre.
 
André Devambez. Le dompteur d’ours. Huile sur carton. Mission de préfiguration du musée du Grand Siècle. © Département des Hauts-de-Seine / Musée du Grand Siècle – Donation Pierre Rosenberg – Suzanne Nagy.
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
Légende des tableaux ci-dessus
 
André Devambez. Musiciens dans la rue. Gouache sur carton. Mission de préfiguration du musée du Grand Siècle. © Département des Hauts-de-Seine / Musée du Grand Siècle –  Donation Pierre Rosenberg – Suzanne Nagy.
 
André Devambez. L’eau bénite ou le diable chassé d’une église. Huile sur panneau. Mission de préfiguration du musée du Grand Siècle. © Département des Hauts-de-Seine / Musée du Grand Siècle – Donation Pierre Rosenberg – Suzanne Nagy.


12 - Auguste a mauvais caractère

Scénographie
 
Panneau didactique
 
André Devambez. Auguste a mauvais caractère, La révolte des jouets, 1913-1914. Planche imprimée en couleurs sur papier. © MUDO-Musée de l’Oise / Alain Ruin.
 
André Devambez. Auguste a mauvais caractère, Vive Auguste, 1913-1914. Planche imprimée en couleurs sur papier. © MUDO-Musée de l’Oise / Alain Ruin.
 
André Devambez. Auguste a mauvais caractère, Attends un peu méchant petit Auguste, 1913-1914. Planche imprimée en couleurs sur papier. © MUDO-Musée de l’Oise / Alain Ruin.