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Galerie des Gobelins |
1 - Préambule : la disparition
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Scénographie
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Buste de Napoléon Ier. Atelier français. Premier Empire. Marbre, H. 0,50 x l. 0,27 x P. 0,23 m. Mobilier national. |
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Scénographie |
2 - Espace d'introduction : l'installation de Bonaparte
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Scénographie
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L’aile gauche de Porus blessé. D’après René Antoine Houasse (vers 1645-1710). Paris, Mobilier national. |
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Scénographie |
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Paire de candélabres à cinq lumières. Premier Empire. Bronze patiné et doré ; marbre vert de mer, H. 0,88 x l. 0,20 x P. 0,175 m. Mobilier national. |
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Scénographie |
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Canapé, bergère (voir visuel précédant), deux fauteuils. Jacob Frères, 1798-1799. Bois sculpté et doré, brocart. Paris, Mobilier national. |
3 - Les hommes du savoir-faire
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Robert Lefèvre (1755-1830). Charles Percier, 1807. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |
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Henri-François Riesener (1767-1828). Michel-Jacques Boulard (1761-1825), tapissier. Deuxième quart du XIXe siècle. Huile sur toile. Paris, Centre d’action sociale de la Ville de Paris.
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Henri-François Riesener (1767-1828). Antoine-André Ravrio, 1812. Huile sur toile. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
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4 - Du château au palais : les Tuileries du couple consulaire
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Scénographie
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Scénographie. Au mur : Pierre-Paul Prud’hon (1758-1823) (reproduction d’après). L’Impératrice Joséphine, 1805. Huile sur toile. Paris, musée du Louvre, département des Peintures. |
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Christian Van Pool (1752-1813), d’après une esquisse d’Anicer-Charles-Gabriel Lemonnier (1743-1824). Joséphine, 1811. Huile sur toile. Paris, Mobilier national.
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Bonaparte Premier Consul distribue des sabres d'honneur aux grenadiers de sa garde après la bataille de Marengo. Manufacture des Gobelins. D’après Antoine-Jean Gros, 1806-1810. Tapisserie de laine et de soie, H. 3,13 x l. 2,40 m. Mobilier national.
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Scénographie. Au premier plan : Table à jeu. Époque Louis XVI. Acajou et bronze doré. Paris, Mobilier national. |
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Armoire à médailles, premier tiers du XVIIIe siècle. Ébène, acajou, marqueterie de cuivre sur fond d’écaille, bronze doré. Paris, Mobilier national. |
5 - Saint-Cloud : tradition et innovation
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Scénographie
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Scénographie. Au mur : François Pascal Simon Gérard (1770-1837) (reproduction d’après). Marie-Laetitia Ramolino, Madame Bonaparte, Madame Mère (mère de Napoléon Ier), 1803. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |
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Scénographie |
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Scénographie avec deux jardinières. Attribuées à Jacob Frères (1796-1803), vers 1802. Acajou deux tons et bronze doré. Paris, Mobilier national. |
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Console du grand salon de réception de l'impératrice à Saint-Cloud. Adam Weisweiler et Martin-Eloi Lignereux (attribué à), 1805. Loupe d’orme ; bronze patiné et doré ; marbre bleu turquin H. 1,03 x L. 1,63 x P. 0,52 m. Mobilier national. |
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Fauteuil, vers 1800-1802. Bois sculpté et doré. Fontainebleau, musée national du château. |
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Scénographie |
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Candélabre (issu d'une paire). Début du XIXe siècle (avant 1805). Bronze doré, patiné et bleui. Paris, Mobilier national. |
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Chenets (issu d'une paire). Début du XIXe siècle (avant 1805). Bronze doré et patiné. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie. Au mur : Portrait de Joséphine. Manufacture des Gobelins, d’après François Gérard (1760-1843), vers 1801. Laine. Tapisserie de haute lisse (montée sur chassis). Rueil-Malmaison, Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau. |
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Fauteuil gondole. Jacob Frères. D’après Charles Percier et Pierre-François-Léonard Fontaine, vers 1804. Bois sculpté, peint et doré ; velours de soie rouge et broderie or, H. 0,77 x l. 0,56 x P. 0,61 m. Château de Malmaison. |
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Console du boudoir de l’impératrice à Saint-Cloud. Jacob frères, d’après Charles Percier et Pierre-François-Léonard Fontaine, 1790-1803. Acajou ; bronze doré ; marbre de Carrare blanc veiné, H. 1 x L. 1,44 x 0,48 m. Mobilier national. |
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Scénographie (évocation du salon Abricot) |
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Candélabre. Début du XIXe siècle (avant 1805). Bronze doré et patiné. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie (évocation de la chambre de Bonaparte sur l'Orangerie) |
6 - L'instauration d'une étiquette
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Scénographie
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Fauteuil de représentation. Pierre-Antoine Bellangé (1757-1827), 1814. Hêtre sculpté et doré ; couverture moderne. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie
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Antoine-Jean Gros (1771-1835). Géraud-Christophe-Michel Duroc, duc de Frioul, en habit de grand maréchal du palais, 1806-1807. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
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7 - Les appartements de l'impératrice Marie-Louise
aux Tuileries et à Saint-Cloud
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Scénographie
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Candélabre. Thomire-Duterme et Cie, 1810. Bronze doré et marbre griotte. Paris, Mobilier national. |
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Alexandre Menjaud (1773-1832). Marie-Louise portant le roi de Rome à Napoléon Ier pendant le repas de l’empereur au palais de Saint-Cloud, 1812. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon (en dépôt au musée national du château de Fontainebleau). |
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Scénographie. Sur le mur : Jean-Louis Ducis (1775-1847). L’empereur Napoléon Ier sur la terrasse de Saint-Cloud, 1810. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |
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Scénographie |
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Secrétaire à cylindre. Bernard Molitor (1755-1833). Fin du XVIIIe siècle. Citronnier et bois de violette, marbre blanc, bronze doré. Paris, Mobilier national. |
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Serre-bijoux de l’impératrice Marie-Louise. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841) sur les dessins de Charles Percier (1764-1838) avec la collaboration de Pierre Cartellier (1757-1831), 1812. If, bronze doré, nacre et marbre porphyre rouge. Paris, musée du Louvre, département des Objets d’art. |
8 - Le grand cabinet de l'empereur aux Tuileries en 1814
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Scénographie
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Portière : Grandes armes de l'Empire français. Manufacture des Gobelins. D’après Charles Percier, 1811. Tapisserie de laine et de soie H. 3,25 x l. 2,35 m. Mobilier national. |
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Vénus blessée par Diomède. Manufacture des Gobelins d’après Antoine-François Callet (1741-1823), 1800-1807. Laine. Tapisserie de haute lisse. Paris, Mobilier national. |
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Meuble en bas d’armoire. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841) d’après les dessins de Charles Percier (1764-1838) et Pierre-François-Léonard Fontaine (1762-1853), revus par Jacques-Louis David (1748-1825) et Dominique-Vivant Denon (1747-1825), 1811-1812. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |
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Scénographie. Sur le mur : Cartons de tapisseries à sujets allégoriques. François Dubois ( ?-1824), d’après Blanchon et Jacques-Louis de la Hamayde de Saint-Ange (1780-1860), sous la direction de Charles Percier (1794-1838), 1808-1809. Huile sur toile. De gauche à droite : La Victoire ; Le Génie des sciences et des arts ; Le Génie du commerce et de l’agriculture ; La Renommée. Paris, Mobilier national. |
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Fauteuil tournant du grand cabinet de l’empereur aux Tuileries. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841), 1814. Bois doré, velours de soie, broderie et filés or. Rueil-Malmaison, Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau. |
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Flambeau couvert à six lumières dit « Lampe bouillotte ». Martin-Guillaume Biennais, 1809. Vermeil, H. 0,85 x D. 0,43. Mobilier national. |
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Damas (soie), H. 1,54 x l. 0,515 m. Mobilier national. |
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Ecritoire. Encrier fourni au Garde-meuble de la Couronne pour le palais des Tuileries, cabinet de Sa Majesté, par l’orfèvre Biennais, le 29 décembre 1813 (Archives nationales, O2 595). Objet transformé pour l’usage de Louis XVIII. Les armes de France remplacent les emblèmes impériaux; le coq remplace un aigle. Déposé à l’Elysée, salon d’argent, en 1956 ; de nouveau à l’Elysée en 1969, dans le bureau du président de la République (salon doré) de 1976 à 2020. Vermeil. |
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Scénographie |
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Fauteuil du trône de Napoléon Ier au palais des Tuileries. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841) d’après les dessins de Charles Percier (1764-1838) et Pierre-François-Léonard Fontaine (1762-1853), 1804. Bois sculpté et doré, ivoire, velours de soie brodé, filés or et argent. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie |
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Pendule dite La France écrivant ou Le génie de l’Histoire. Thomire-Duterme et Cie, fabricants de bronze d’après un dessin de Charles Percier et Lepaute, horloger, 1809. Bronze doré et marbre griotte. Paris, Mobilier national. |
9 - Les Tuileries, palais officiel : l'apothéose du règne impérial
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Scénographie
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Candélabre. Début du XIXe siècle (avant 1805). Bronze doré et patiné. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie.
- François Dubois ( ?-1824), d’après Jacques-Louis de la Hamayde de Saint-Ange (1780-1860). Cartons de tapisserie : L’Asie et L’Europe, 1811. Huile sur toile. Paris, Mobilier national.
- Canapé. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841), 1809. Bois sculpté et doré ; couverture moderne. Paris, Mobilier national . |
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Christian Van Pool (1752-1813), d’après une esquisse d’Anicet-Charles-Gabriel Lemonnier (1743-1824). Napoléon Ier, 1811. Huile sur toile. Paris, Mobilier national. |
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Innocent-Louis Goubaud (1780-1847). La Députation du Sénat romain offrant ses hommages à Napoléon Ier dans la salle du Trône
du palais des Tuileries, le 16 novembre 1805, 1810. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |
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Les Quatre parties du monde : l’Europe. Manufacture des Gobelins. D’après Jacques-Louis de La Hamayde de Saint-Ange, 1811. Carton de tapisserie : peinture à l’huile sur toile, H. 2,70 x l. 2,04 m. Mobilier national. |
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Tapis du troisième salon de l’impératrice aux Tuileries. Ateliers d’Aubusson. Jean Sallandrouze de Lamornaix, 1808. Laine, L. 5,85 x l. 3,50 m. Mobilier national. |
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Scénographie.
- Garniture d’autel (croix d’autel et chandeliers). Henri Auguste (1759-1816). Vermeil repoussé, alliage de cuivre, de fer, bois.
Paris, Mobilier national (en dépôt au Palais du Tau, Reims).
- Deux prie-Dieu. Georges Jacob (1739-1814). Fin du XVIIIe siècle. Bois sculpté et doré, couverture moderne. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie avec : Paire de torchères. François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter (1770-1841) sur les dessins de Charles Percier (1764-1838) et Pierre-François-Léonard Fontaine (1762-1853), 1808. Bois sculpté et doré. Paris, Mobilier national |
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Chapelle orfévrée des pages de la Maison de l’empereur à Saint-Cloud. Bassin et Aiguière ; Bénitier et goupillon ; Calice ; Paire de burettes sur plateau ; Chandelier épiscopal ; Ciboire. Jean-Ange-Joseph Loque (1752-1835), 1805. Vermeil. Paris, Mobilier national. |
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Chapelle orfévrée des pages de la Maison de l’empereur à Saint-Cloud. Bénitier et goupillon ; Calice ; Ciboire. Jean-Ange-Joseph Loque (1752-1835), 1805. Vermeil. Paris, Mobilier national.
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Chapelle orfévrée des pages de la Maison de l’empereur à Saint-Cloud. Paire de burettes sur plateau. Jean-Ange-Joseph Loque (1752-1835), 1805. Vermeil. Paris, Mobilier national.
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10 - Meudon, un palais pour les Enfants de France
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Scénographie
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Pièce de tenture murale. Lyon, Grand frères 1809. Damas (soie), H. 1,40 x l. 0,54 m. Mobilier national. |
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Fauteuil. Pierre-Antoine Bellangé (1757-1827) ; manufacture de Beauvais, 1811. Bois peint rechampi or ; laine et soie, tapisserie de basse lisse. Paris, Mobilier national. |
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Lustre de la galerie de Meudon. Livré par Lucien-François Feuchère (vers 1750-1828), fabricant de bronze, 1811. Bronze doré. Paris, Mobilier national. |
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Scénographie |
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Pendule dite La Méditation. Attribuée à Pierre-Étienne Romain (1791-après 1821), bronzier et livrée par Bailly, horloger. Vers 1810. Bronze dorée et marbre griotte. Paris, Mobilier national. |
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Écran à coulisse. Premier Empire. Bois sculpté et doré ; damas de soie beige. Paris, Mobilier national. |
11 - .
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Scénographie
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Michel Marigny (1795-1849) d’après François Gérard (1770-1837). Le roi Louis XVIII méditant sur la Charte dans son cabinet de travail aux Tuileries, 1827. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. |