| 
 
 Parcours en images et en vidéos de l'exposition
 FABRICE HYBER - LA VALLÉE avec des visuels 
              mis à la disposition de la presseet nos propres prises de vue
 
 
 
 
 
 
                 
                  
                    
                      
                        |  |  
                        | Vue de la Fondation Cartier pour l'art contemporain durant l'exposition « Fabrice Hyber - La Vallée ». Photo Luc Boegly. |  
                        |  |  |  |  
                        | Titre de l'exposition |  | Tableau visible de l'extérieur de la fondation. |  
                        |  |  
                        | Le jardin et le préau construit spécialement pour cette exposition.  |  
                        |  |  |  |  
                        | Décor dans le jardin.  Photo Luc Boegly. |  | Décor dans le jardin. |  
                        | 
                          À  la fois artiste, poète, entrepreneur et semeur, Fabrice Hyber naît en Vendée en  1961. Il étudie les mathématiques avant d’entrer à l'École des beaux-arts de  Nantes. Faisant fi des catégories, il incorpore dans le champ de l'art tous les  domaines de la vie, de la biologie aux neurosciences, en passant par  l'histoire, l'astrophysique, mais aussi l'amour, le corps et les mutations du  vivant.
                           Les  multiples dimensions de son art trouvent leur origine dans «la Vallée», cette forêt  qu’il fait pousser depuis les années 1990 au cœur du bocage vendéen, autour de  l'ancienne ferme de ses parents, éleveurs de moutons. Il y a semé 300 O00  graines d’arbres, de centaines d'essences différentes, et ainsi transforme  progressivement les terres agricoles en une forêt de plusieurs dizaines d'hectares,  créant une barrière naturelle avec   l'agriculture industrielle environnante. Le paysage est devenu œuvre. Refuge,  lieu d’apprentissage, la Vallée est aussi la matrice du travail de l’artiste  qui compare volontiers sa pratique avec la croissance organique du vivant: « au  fond je fais la même chose avec les œuvres, […] je sème des graines de pensée  visibles, elles font leur chemin et elles poussent. » Point  de départ de ses projets, la peinture occupe une place primordiale dans son  œuvre. « Depuis toujours, je commence par écrire et dessiner pour comprendre,  trouver les origines, trouver des possibilités, trouver des solutions, comme  dans un laboratoire de recherche ou à l’école. » Sur des toiles de grand  format, il formule des hypothèses, associe des idées, invente des formes, joue  avec les mots. Intervenant avec une grande légèreté au moyen d’une peinture à l’huile  très diluée, il note ici une phrase au fusain, dessine là une image, colle  ailleurs un objet, au gré de son
 |  | 
                          
                            imaginaire et de ses spéculations. Le tableau  devient ainsi une image de sa pensée en mouvement, un support de savoir qu’il  convient de regarder et de diffuser. « Je peins lorsque c'est nécessaire. [...]  Un tableau me fait apprendre et je transmets. »
                             Si  Fabrice Hyber a imaginé son exposition comme une école, c'est en référence à la  Vallée ou tout converge. Dans cette école, toutes les disciplines sont  possibles. Ces toiles - dont près de vingt produites spécifiquement pour  l'occasion - sont autant de tableaux noirs de cette école ouverte à toutes les hypothèses.  Dessinée par l'artiste, la scénographie évoque les salles de classe, le préau  ou le gymnase. Elle encourage le visiteur à s‘instruire, se déplacer, ouvrir  des portes, regarder par-dessus des fenêtres, enjamber des formes, jouer, mais  aussi s'asseoir face à un bureau pour observer les œuvres ou écouter un des  nombreux cours dispensés par des médiateurs scientifiques. Au  fil de la visite, le public-élève déambule dans des salles de classe aux  dimensions variées où se succède la richesse des thématiques de l'œuvre de  Fabrice Hyber. Au rez-de-chaussée, on étudie ainsi les arbres, la forêt, les migrations,  la guerre, le sexe, la science, puis sur de grands formats, le pétrole, le  plastique ainsi que les paysages biographiques de ses proches. Au sous-sol, on  apprend à regarder la Terre, les « Hyberhéros », les métamorphoses du corps, la  génétique, le langage, la nourriture, le jeu,  les mesures du monde, ou encore les mutations  du vivant. Dans la salle polyvalente qui clôt le parcours, le sport et ses  ballons rencontrent la forme des graines. |  
                        | Extrait de la brochure remise aux visiteurs au début de leur visite. |   
                        | 
 1 - Salle du rez-de-chaussée gauche
 
 
 |   
                        |  |   
                        | Vue d'ensemble depuis la librairie au premier étage. Photo Luc Boegly..  |  
                        |  |  
                        | Entrée de l'exposition  |  
                        | 
                          
 «  J'ai toujours considéré que mes peintures étaient comme des tableaux de classe,  ceux où nous avons appris à décortiquer nos savoirs par l'intermédiaire d'enseignants  ou de chercheurs. On y propose d’autres mondes, des projets possibles ou  impossibles. Dans cette exposition, j‘ai choisi d‘installer des œuvres à la  place de tableaux d'une possible école. »
 |  |  |  
                        | Portrait et citation de Fabrice Hyber. Photo  © Michel Slomka / MYOP - Lumento. |  | Vidéo (introduction à l'exposition par Fabrice Hyber). |  
                        |  |  |  |  
                        | Tableau avec le programme de la journée. |  | Fabrice  Hyber. Réinvention de la forêt, 2022. Fusain, peinture à l’huile, pastel  sur toile, 220 x 300 cm. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Greffe, 2011. Fusain, peinture à l’huile,  résine époxy et papier marouflé sur toile, 195 x 96 cm. |  | 
                          Fabrice  Hyber, L’Invention de l’agriculture, 2022. Aquarelle, fusain, peinture à  l’huile sur toile, papier marouflé, 220 x 300 cm. © Fabrice Hyber / Adagp,  Paris, 2022. 
                         |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, au fond, de Fabrice Hyber : Impossible – 100 pommes, 1000 cerises, 2006. Peinture à l’huile, fusain et collage sur toile, 150 x 250 cm. Collection  Noirmontartproduction.
 |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Cyanomutant, 2022. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 120 x 200 cm. |  | Fabrice Hyber. Carotte d’arc-en-ciel, 1999. Fusain et  peinture à l’huile sur toile, 200 x 200 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Semis, 2022. Fusain, peinture à l’huile et  pastel sur toile, 220 x 300 cm. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  | 
                          Fabrice  Hyber. L’Arbre rouge, 2021. Fusain et  peinture à l’huile sur toile, 200 x 300 cm. Collection privée.
                         |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, à droite, de Fabrice Hyber : MITman, 2007. Résine, fusain, peinture à  l’huile et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Courtesy Galerie Nathalie  Obadia
 |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. The Other Way, 2012. Fusain, peinture à  l’huile et papier marouflé sur toile, 120 x 90 cm. |  | Fabrice  Hyber. Sans titre, 2007. Fusain, peinture à l’huile, résine, papier  marouflé sur toile, punaises sur toile, 200 x 200 cm. © Fabrice Hyber / Adagp,  Paris, 2022. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Orage, 2022. Fusain, peinture à l’huile et  pastel sur toile, 220 x 300 cm. |  | Fabrice Hyber. Paysage de mesures, 2019. Fusain et  peinture à l’huile sur toile, 150 x 250 cm. |  
                        |  |  
                        | Fabrice Hyber. L’Arbre mental, 2019. Fusain, peinture à  l’huile et pétrole brut sur toile, 150 x 400 cm. Collection privée. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022..
 |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Chantier, 1997. Fusain, peinture à l’huile  et papier marouflé sur toile, 81 x 100 cm. |  | Fabrice Hyber. Confort moderne, 2022. Fusain et  peinture à l’huile sur toile, 220 x 300 cm. |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        | Scénographie. Photo Luc Boegly. |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, à droite sur le mur, de Fabrice  Hyber : Homme de terre, 2022. Fusain, peinture à l’huile, pastel sur  toile, 150 × 250 cm.
 |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. L’Homme de terre, 2010. Technique mixte  (plastique, os, métal, bois, terre …), 95 x 200 x 100 cm. |  | Fabrice Hyber.  Confort  éternel, 2022. Fusain, peinture à l’huile et pastel sur toile, 150 x 250 cm. |   
                        | 
 2 - Salle du rez-de-chaussée  droite
 
 
 |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, de Fabrice Hyber : Paysage biographique de Pierre Giquel, 2017.Aquarelle, fusain et peinture à l’huile sur toile, 250 x 700 cm.
 |  
                        |  |  
                        | 
                          Scénographie avec, de Fabrice Hyber : Paysage biographique de la Vallée, 2022.  Fusain, peinture à l’huile et  pastel sur  toile, 221 x 701 cm.
 |  
                        |  |  
                        | 
                          Fabrice Hyber. La Serrie, paysage biographique de mes  parents, 2022. Fusain, peinture à l’huile, pastel, papier marouflé et  punaise sur toile, 240 x 700 cm. ©  Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022.
 |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  
                        | 
                          Fabrice Hyber. Le Musée du plastique (vue partielle), 2022. Aquarelle,  fusain, peinture à l’huile et punaises sur toile, 221 x 701 cm.
 |  
                        |  |  
                        | 
                          Fabrice Hyber.  Liquid  Sun (vue partielle), 2020. Fusain, peinture à l’huile, résine époxy,  pétrole brut et argent sur toile, 240 x 700 cm.
 |  
                        |  |  
                        | Fabrice Hyber. Fountains, 2015. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy, pétrole brut et papier marouflé sur toile, 150 x 200 cm. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022..
 |   
                        | 
 3 - Grande salle du sous-sol
 
 
 |  
                        |  |  
                        | Accès au sous-sol de la Fondation Cartier |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec un couloir et, à gauche, 6 salles de classe. Photo Luc Boegly. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Pente d’eau, 2001. Peinture à l’huile et  collage sur toile, 200 x 200 cm. Collection FRAC Franche-Comté. |  | Fabrice Hyber. Nouveau monde, 2001. Fusain, peinture à  l’huile et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Collection privée, Paris. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Real Virtual World, 2001. Fusain,  peinture à l’huile et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Collection  privée. |  | Fabrice Hyber. Nouvelle répartition du monde, 2008.  Fusain et peinture à l’huile sur toile, 200 x 200 cm. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber.  Roots  Friendly, 2008. Fusain, peinture à l’huile et résine époxy sur toile, 200 x  200 cm. Collection privée. |  | Fabrice Hyber. Watch, 2006. Fusain, peinture à l’huile,  système électrique et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Collection  privée, Suisse. |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, à droite, de Fabrice Hyber : Double main, 2011. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm.
 |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Corps global, 2011. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Courtesy Galerie Nathalie Obadia. |  | Fabrice Hyber. Erotic Cannibal Leaves, 2001. Pastel,  fusain, acrylique, pigments, stylo feutre, végétaux séchés, papier marouflé et  punaises sur toile, 200 x 200 cm. Centre Georges Pompidou. Musée national d’art  moderne / CCI, Paris. Donation de la collection Florence et Daniel Guerlain,  2012. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Incarnation, 2015. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy, plastique et collage sur toile, 192 x 120 cm. |  | Fabrice Hyber. Word Food, 2015. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy et plastique sur toile, 150 x 200 cm. Courtesy Galerie Nathalie Obadia. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Le Jeu nécessaire (The Necessary Game),  2015. Peinture à l’huile, fusain, résine époxy et feuilles d’or sur toile, 200  x 200 cm. |  | Fabrice Hyber. Clef, 2014. Fusain, peinture à l’huile  et résine époxy sur toile, 200 x 200 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Hyberhéros  (détail), 2022. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 150 x 400 cm. |  | Fabrice Hyber. Speculator, 2022. Fusain, peinture à  l’huile et pastel sur toile, 200 x 150 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, à gauche, de Fabrice Hyber (d’avant en  arrière) : - POF n°100 :  escalier sans fin, 1997. Bois, 31 x 84 x 59 cm.
 – POF n°65 : ballon carré, 1998. Cuir, 22 x 22 x 22 cm.
 – POF n°73 : gigogne, 2010. Bassines,  saladiers, corbeilles à papier, seaux. Dimensions variables.
 |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. No Stress, 2014. Fusain, peinture à  l’huile, résine époxy, papier marouflé et punaises sur toile, 146 x 97 cm. |  | Fabrice Hyber. Nuancier Scotch-Brite vaisselle, 2017.  Fusain, peinture à l’huile, résine époxy, Scotch-Brite et punaises sur toile,  151 x 251 cm. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Shift, 2016. Fusain, peinture à l’huile,  résine époxy, sacs plastiques, papier marouflé et punaises sur toile, 230 x 300  cm. |  | Fabrice Hyber. La Maison des POF, 2016. Bilboquet,  fusain, peinture à l’huile, résine époxy, bois et papier marouflé sur toile,  151 x 251 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie avec, à droite, de Fabrice Hyber : Climat de là (l’eau de là), 2015.  Fusain, peinture à l’huile et résine sur toile, 200 x 300 cm. Collection privée.
 |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Digest, 2008. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 160 x 100 cm. |  | Fabrice Hyber. De fil en aiguille, 1988. Fusain et  peinture à l’huile sur toile, 195 x 130 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Migration impossible, 2006. Fusain,  peinture à l’huile et papier marouflé sur toile, 150 x 150 cm. |  | Fabrice Hyber. Babel, 2006. Fusain, peinture à l’huile  et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. Collection privée, Monaco. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Muroute, 2006. Peinture à l’huile et  fusain sur toile. 200 x 200 cm. |  | Fabrice Hyber. Risk, 2006. Fusain, peinture à l’huile  et papier marouflé sur toile, 200 x 200 cm. |  
                        |  |  
                        | Scénographie  |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. 9 dim, 2012. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 130 x 162 cm. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  | Fabrice Hyber. Paysage de tous les drapeaux du monde,  2022. Fusain et peinture à l’huile sur toile, 150 x 250 cm. |  
                        |  |  
                        | Fabrice Hyber. M-onde, 2019. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 220 x 300 cm.  |   
                        | 
 4 - Salle polyvalente du sous-sol
 
 
 |  
                        |  |  
                        | Scénographie. Photo Luc Boegly. |  
                        |  |  
                        | Fabrice Hyber. Error, 2022. Fusain et peinture à  l’huile sur toile, 230 x 914 cm.  |  
                        |  |  
                        | Scénographie (détail ci-dessous). Photo Luc Boegly. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Placenta, 2017. Aquarelle, fusain,  peinture à l’huile et or sur toile, 250 x 150 cm. © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  | Fabrice Hyber. Herb, 2022. Fusain, peinture à l’huile,  pastel, tige végétale et punaise sur toile, 250 x 150 cm.  © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  
                        |  |  |  |  
                        | Fabrice Hyber. Tubercule, 2022. Fusain, peinture à l’huile  et pastel sur toile, 250 x 150 cm.  © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  | Fabrice Hyber. Grain de sable, 2022. Fusain, peinture  à l’huile et pastel sur toile, 250 x 150 cm.  © Fabrice Hyber / Adagp, Paris, 2022. |  
                        |  |  
                        | 
                          Fabrice Hyber. Polyptyque du sport (face avant), 2018. Aquarelle, fusain,  peinture à l’huile, pastel et crayon de couleur sur toile, support en bois, 200  x 700 cm. Collection Éditions Amaury.
 |   
                        |  |   
                        | Fabrice Hyber. Polyptyque du sport (face arrièe), 2018. Aquarelle, fusain,  peinture à l’huile, pastel et crayon de couleur sur toile, support en bois, 200  x 700 cm. Collection Éditions Amaury.
 |  |