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                        | Entrée de l'exposition  | 
                      
                       
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                        | Scénographie avec des vues de la villa Il Tasso
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                          Fondation Roberto  Longhi pour l’étude de l’histoire de l’art
                          Roberto  Longhi fonde en 1971 la Fondazione di  Studi di Storia dell’Arte Roberto Longhi, léguant « au profit des  générations futures » sa bibliothèque, sa photothèque et sa collection d’art. Reflet  de ses intérêts et de ses études, la collection comprend des œuvres d’art  prestigieuses allant du XIIIe au XXe siècle. La  Fondation a son siége à Florence, dans la villa Il Tasso achetée par Longhi en  1939. Il y a vécu jusqu’à sa mort avec son épouse Lucia Lopresti - l'écrivain  Anna Banti - qui a nommé la Fondation comme son héritier universel et l'unique  bénéficiaire de la villa et de son mobilier. Les  activités de la Fondation sont toujours inspirées et guidées par les dernières  volontés testamentaires de Roberto Longhi, dans une approche cependant renouvelée. Les  domaines d'engagement privilégiés sont la recherche historico artistique, la  connaissance et 1a mise en valeur des thèmes et des personnalités de l'art, y  compris ceux de notre temps. 
De 1971 à aujourd’hui, plus de quatre cents jeunes  chercheurs ont reçu des bourses d'études de la Fondation Longhi pour passer un  an à Florence et y mener leur projet de recherche en histoire de l'art.
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                        | Texte du panneau didactique. |  | Roberto  Longhi (1890-1970). La Mort de la Vierge d’après le tableau de Caravage au musée du Louvre. Lavis d’encre noire sur  papier jaune pâle contrecollé sur carton blanc. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                            Roberto Longhi expert et collectionneur
                            Roberto Longhi (Alba 1890 - Florence 1970) est  l’une des figures les plus fascinantes de l’histoire de l’art du XXe siècle.  Depuis sa thèse universitaire soutenue à l’Université de Turin en 1911, avec  Pietro Toesca, Longhi s’est toujours concentré sur l’étude de la peinture de  Michelangelo Merisi, dit Caravage. Ce choix reposait sur une formidable  intuition puisque l’artiste était à cette époque l’un des «moins connus de  l’art italien». Le travail de Longhi témoigne de sa capacité à comprendre  immédiatement l’impact révolutionnaire de la peinture de Caravage qu’il  considérait comme le premier peintre de l’ère moderne. Longhi a publié de nombreux essais sur Caravage et  ses suiveurs – ceux que l’on nomme les caravagesques – et a conçu la célèbre  exposition «Mostra del Caravaggio e dei Caravaggeschi» (Milan, 1951), un  événement qui a connu un énorme succès auprès du public, obtenant un large  consensus pour le peintre destiné à se développer avec le  temps et qui aujourd’hui n’a plus de  frontières. 
Non seulement Longhi était le plus éminent historien de l’art italien de  son temps, mais il était aussi un important collectionneur. Dans sa demeure de  Florence, la villa Il Tasso, où la Fondation qui porte son nom a actuellement  son siège, Longhi a rassemblé un ensemble considérable d’œuvres d’art de  maîtres de toutes les périodes artistiques, une occasion pour lui de poursuivre  son travail de recherche et d’étude. Le cœur de sa  collection est constitué des œuvres de  Caravage et de ses suiveurs qui sont pour la  plupart présentées ici. L’exposition commence  par une petite section consacrée aux peintres vénitiens et lombards du XVIe siècle  ayant joué un rôle important dans la formation culturelle de Caravage. Une  quarantaine d’œuvres suivent dues aux artistes qui, tout au long du XVIIe siècle,  se sont confrontés à sa révolution picturale.
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                        | Roberto  Longhi (1890-1970). La Flagellation du  Christ d’après une copie à Lucques du tableau de Caravage au musée des  Beaux-Arts de Rouen. Lavis d’encre bleue sur papier blanc. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Texte du panneau didactique. | 
                      
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                        | Scénographie  | 
                      
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                          Roberto Longhi dessinateur
                          Roberto Longhi a légué à la Fondation près de deux  cent-cinquante feuilles de sa main, un corpus composé de dessins libres, dont  beaucoup de portraits, et de dessins d’après des œuvres de grands maîtres tels  Masaccio, Michel-Ange, Greco, mais aussi Cézanne. Parmi ces dessins d’après,  exécutés pour la plupart entre 1925 et 1935, beaucoup reproduisent cependant  des tableaux de Caravage ou de peintres caravagesques, certains d’entre eux  appartenant à sa propre collection. Ainsi a-t-il été possible de présenter dans  cette exposition, le dessin (ou parfois deux dessins) de Longhi à proximité de  son modèle peint par Borgianni, Saraceni ou Morazzone, une confrontation qui  éclaire la méthode de l’historien d’art. La pratique du dessin était en effet pour Roberto  Longhi plus qu’un violon d’Ingres, un simple passe-temps cultivé pour lui-même.  Convaincu que dessiner aidait à mieux voir – à l’instar de Goethe déclarant «ce  que je n’ai pas dessiné, je ne l’ai pas vu » –, le dessin s’est avéré être  aussi un instrument d’accompagnement du travail critique, très utile pour comprendre  le style et l’univers d’un artiste.  Le dessin à la sanguine d’après la Pietà de Borgianni révèle la nervosité du trait associé aux transitions  lumineuses tandis que l’esquisse à l’encre d’après la Judith de Saraceni ne retient que le fort contraste des ombres et des  lumières.  C’est avec la pierre noire et le lavis d’encre que  Longhi tente d’extraire l’essence même des peintures de Caravage. Sa copie de  la Mort de la Vierge du Louvre, scène particulièrement poignante et  naturaliste, propose une vision libre et moderne qui met l’accent sur la  structure de l’œuvre. Celle de la Flagellation du musée  de Rouen – en fait dessinée, avant la découverte de l’original à Rouen en 1959,  d’après une copie dans une collection privée italienne – fait ressortir l’inflexion  classicisante du tableau. En crayonnant avec furie, noir sur noir, il crée une  obscurité dévorante dans son interprétation du Saint François du musée de Crémone alors que la figure de son Saint Jérôme, d’après l’œuvre de Montserrat, se détache  éclatante et drapée de modulations grises sur un fond ténébreux uniforme. |  |  | 
                      
                        | Texte du panneau didactique. |  | Roberto  Longhi (1890-1970). Saint Jérôme d’après  le tableau de Caravage au monastère de Montserrat. Fusain sur sur papier jaune  pâle contrecollé sur carton blanc. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Scénographie 
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                          Michelangelo Merisi, dit Caravage
                            Milan, 1571 - Porto Ercole, 1610
                           Michelangelo Merisi naît à Milan en 1571 dans une famille  originaire du village de Caravaggio. En 1584, il entre dans l’atelier milanais  de Simone Peterzano et se forme dans le sillage du «réalisme» lombard, restant  en Lombardie au moins jusqu’à l’été 1592. À Rome où il est documenté depuis le carême de 1596, il passe  par l’atelier du Cavalier d’Arpin et peint des fleurs et des fruits. Peu de  temps après, il rencontre le cardinal Francesco Maria Del Monte, son premier  grand protecteur. Cette rencontre a été suivie par de nombreuses œuvres à  sujets sacrés mais aussi profanes, peintes pour les plus influents mécènes de  la Rome papale. À partir de 1599, il entreprend ses premiers grands chefs-d’œuvre  publics pour la chapelle Contarelli à Saint-Louis-des-Français et pour la  chapelle Cerasi à Sainte-Marie-du-Peuple. Au maniérisme dominant il oppose une  nouvelle peinture naturaliste ainsi qu’une façon inédite d’interpréter la  lumière.  En 1606, au cours d’une bagarre, Caravage tue son adversaire  et, condamné à mort, est contraint de quitter Rome et de se réfugier à Naples.  Il y connaît une période de création très féconde et réalise les Œuvres de miséricorde et Notre-Dame du Rosaire, aujourd’hui à Vienne. Quelques mois plus tard, il s’embarque  pour Malte, où il est d’abord nommé peintre officiel, puis, en 1608, chevalier  de l’Ordre. À Malte, le Caravage exécute des peintures religieuses de grand  format, comme la Décapitation de saint Jean-Baptiste, et d’importants portraits. Après une nouvelle bagarre, il  est à nouveau emprisonné, mais parvient à s’échapper. Il se réfugie en Sicile  puis à Naples où il peint pour le Génois Marcantonio Doria le Martyre de sainte Ursule, sa dernière œuvre datée. En juillet 1610, il tente de  rejoindre Rome, mais tombe malade pendant le voyage et meurt à Porto Ercole  sans avoir pu atteindre sa destination.  |  |  | 
                      
                        | Texte du panneau didactique. |  | Battista del  Moro (1514-1573/1575). Judith avec la  tête d’Holopherne, vers 1550-1555. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Michelangelo  Merisi, dit Caravage. Garçon mordu par un  lézard, vers 1597. Huile sur  toile, 65,8 x 52,3  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Roberto  Longhi d’après Caravage. Garçon mordu par  un lézard, 1930. Fusain sur papier, 62,3 x 47,5 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                       
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                        | Bartolomeo Passarotti (1529-1592). Marchandes  de volailles, vers 1580. Huile sur toile, 114 x 152,5 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Michelangelo  Merisi, dit Caravage (copie de). Garçon  pelant un fruit. Fin du XVIe siècle. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                       
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                        | Scénographie  | 
                      
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                        | Citation |  | Lorenzo Lotto  (vers 1480-1556/1557). Notre-Dame des  Douleurs et Saint Jean l’Évangéliste,  vers 1545. Huile sur panneau. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Lorenzo Lotto  (vers 1480-1556/1557). Saint Pierre  martyr, vers 1540. Huile sur panneau. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Lorenzo Lotto. Un saint dominicain en prière, vers 1540. Huile sur panneau, 53 x 24 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                       
                        |  | 
                       
                        | Scénographie 
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                        | Orazio Borgianni. Déploration sur le Christ mort, vers 1615. Huile sur toile, 73,8 x 90,3  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Roberto  Longhi (1890-1970). Pietà d’après  Orazio Borgianni. Sanguine sur papier. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Angelo Caroselli. Allégorie  de la vanité, vers 1620. Huile sur panneau,  66 x 61 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Orazio  Borgianni (1574-1616). Sainte Famille  avec sainte Anne, vers 1610. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                       
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                            - Roberto Longhi (1890-1970). Judith et Holopherne d’après Carlo  Saraceni. Lavis d’encre noire sur papier. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi.- Roberto Longhi (1890-1970). Judith et Holopherne d’après Carlo  Saraceni. Plume et encre, lavis d’encre noire sur papier. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi.
 |  | Carlo Saraceni. Judith  avec la tête d’Holopherne, vers 1618.  Huile sur toile, 95,8  x 77,3 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Scénographie  | 
                      
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                        | Domenico  Fetti (1589-1623). Sainte Marie-Madeleine  pénitente, vers 1610-1613. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi.  |  | Carlo  Saraceni (1585-1620). Moïse sauvé des  eaux par la fille de pharaon, vers 1610. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi.  | 
                       
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                        | Jusepe de  Ribera (1591-1652). Saint Barthélémy,  vers 1612. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Jusepe de  Ribera. Saint Thomas, vers 1612. Huile sur  toile, 126 x 97 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Giovanni Lanfranco. David avec la tête de Goliath, vers 1617. Huile sur toile, 130 x 152,5  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Giovan  Battista Caracciolo, dit Battistello.  Le Christ mort transporté au sépulcre, premier  quart du XVIIe siècle. Huile sur  toile, 128 x 164 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Viviano  Codazzi (vers 1604-1670). Tour de San Vincenzo à Naples, vers 1630-1640. Huile  sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Filippo di  Liagno, dit Filippo Napoletano. Bivouac  nocturne au clair de lune, vers 1614-1617. Huile sur ardoise, 24,5 x 33 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  | 
                      
                        | Scénographie  | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Maître de  l’Annonce aux bergers. Adoration des  bergers, vers 1630-1640. Huile sur  toile, 178 x 230 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Roberto  Longhi (1890-1970). L’Adoration des  bergers d’après le Maître de l’Annonce aux bergers. Lavis d’encre noire sur  papier bleu. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Pier  Francesco Mazzucchelli, dit Morazzone. (1578/1583-1626). Couronnement d’épines, vers 1610. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Roberto  Longhi (1890-1970). Le Couronnement  d’épines d’après Morazzone. Encre sur papier. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Citation |  | Bernardo  Strozzi (1582-1644). Tête de jeune homme,  vers 1620-1625. Huile sur papier, marouflé sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                       | Scénographie  | 
                     
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                       | Matthias Stom  (ou Stomer). Annonce de la naissance de  Samson à Manoach et à sa femme, vers 1630-1632. Huile sur  toile, 99 x 124,8  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Matthias Stom  ou Stomer (vers 1600-après 1649). Guérison  de Tobit, vers 1640-1649. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                     
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                       | Andrea  Vaccaro (1604-1670). David avec la tête  de Goliath, vers 1630. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Dirck van  Baburen (1594/1595-1624). Arrestation du  Christ avec l’épisode de Malchus, vers 1616-1617. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                     
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                       | Scénographie  | 
                     
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                       | Valentin de Boulogne. Reniement de Pierre, vers 1615-1617.  Huile sur toile, 171,5 x 241 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Maître du  Souper à Emmaüs de Pau (actif à Naples dans la deuxième ou troisième décennie  du XVIIe siècle). Saint Jérôme,  deuxième ou troisième décennie du XVIIe siècle. deuxième ou troisième décennie  du XVIIe siècle. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                     
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                       | Gerrit Van Honthorst. Moine lisant, vers 1618. Huile sur toile, 71,7 x 85,2  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Guglielmo  Caccia, dit Moncalvo (1568-1625). L’Ange  de l’Annonciation, 1615-1620. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                       
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 Salle 6
 
 
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                        | Scénographie  | 
                      
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                        | Giovanni  Antonio Molineri (1577-1631). Vierge à  l’Enfant avec sainte Anne, vers 1630. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Giovanni  Andrea De Ferrari (avant 1589-1669). Laban  promet Rachel à Jacob, vers 1655-1665. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Gioacchino Assereto. Samson  et Dalila, vers 1630. Huile sur toile, 112 x 162 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Mattia Preti. Suzanne et les vieillards, vers 1656-1659. Huile sur  toile, 120 x 170  cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Citation |  | Giacinto  Brandi (1621-1691). Saint chartreux en  pleurs (saint Bruno ?), vers 1662-1665. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
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                        | Scénographie  | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Giacinto Brandi. Saint Sébastien soigné par des anges, vers 1660 – 1670. Huile sur toile, 248 x  173 cm. © Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Francesco  Cairo (1607-1665). Judith avec la tête  d’Holopherne, vers 1630-1635. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                       
                        | 
 Salle 7
 
 
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                        | Scénographie 
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                        | Giusepe  Caletti, dit Il Cremonese (avant 1600 ?-1641). Portrait d’homme, vers  1630. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Carlo Ceresa  (1609-1679). Portrait d’un homme âgé  assis dans un fauteuil, vers 1639-1640. Huile sur toile. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  |  |  | 
                      
                        | Pietro  Vecchia (1603-1678). Christ portant la  croix, sixième décennie du XVIIe siècle. Huile sur bois. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. |  | Pietro  Vecchia (1603-1678). Portrait de jeune  homme, sixième décennie du XVIIe siècle. Huile sur bois. Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi. | 
                      
                        |  | 
                      
                        | Eberhardt  Keil, dit Monsu Bernardo (1624-1687). Bergère  endormie, vers 1655. Huile sur toile.Florence, Fondazione  di Studi di Storia dell'Arte Roberto Longhi.
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