Parcours en images et en vidéos de l'exposition

BOLTANSKI
Faire son temps

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
et nos propres prises de vue

Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°497 du 19 février 2020




(00) Les numéros entre parenthèses sont repris de la brochure remise à l'entrée de l'exposition.

 

(1) - Christian Boltanski (né en 1944). Départ, 2015. Ampoules rouges, câbles électriques noirs, 185 x 283 cm. Courtesy Christian Boltanski et Galerie Marian Goodman.  Photo © Rebecca Fanuele. © Adagp, Paris, 2019.

 
(4) - Christian Boltanski (né en 1944). L’Homme qui tousse, 1969. Film 16 mm, couleur, sonore, durée : 2 min. 44 sec.  Caméra : Jean-Claude Valésy et Alain Thierry ; distributeur : Light Cone. Vue de l'exposition « Time / Zeit », Darmstadt, Institut Mathildenhöhe, 12 nov. 2006-11 fév. 2007. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris, achat, 1975. © Darmstadt, Institut Mathildenhöhe. Photo © Wolfgang Günzel. © Adagp, Paris, 2019.

Christian Boltanski (né en 1944). De gauche à droite :
(2) - 27 possibilités d'autoportraits, 2007. Photographies noirs et blanc. Edition 1/3. Collections Karmitz.
(6) - Les 62 membres du Club Mickey en 1955, les photos préférées des enfants, 1972. Photographies noir et blanc encadrée, cadre en fer blanc.
(11) - Entre-temps, 2003. Vidéoprojection noir et blanc, 1 min. 37 sec., silencieux, rideaux de cordes, dimensions variables. Photographies de Boltanski à différents âges, projetées en boucle. On voit l'artiste vieillir puis retourner à l'enfance.

© Centre Pompidou. Philippe Migeat.

(7) Christian Boltanski (né en 1944). L’Album de photographies de la famille D. entre 1939 et 1964, 1971. Tirages noir et blanc encadrés de fer-blanc,  22,5 × 31 × 4 cm (chaque cadre) ; 220 × 450 × 4 cm (l’ensemble). Institut d’art contemporain de Villeurbanne, Villeurbanne, en dépôt au Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
(7) Christian Boltanski (né en 1944). Christian Boltanski (né en 1944). L’Album de photographies de la famille D. entre 1939 et 1964 (détail), 1971. Tirages noir et blanc encadrés de fer-blanc,  22,5 × 31 × 4 cm (chaque cadre).
 
(3) Christian Boltanski (né en 1944). La chambre ovale, 1967. Peinture acrylique sur Isorel, 115 × 146,5 cm. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris, achat de l’État, 1968 ; attribution au Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, 2008. Collection Centre Pompidou, MNAM-CCI. Photo © Adam Rzepka / Dist. RMN-GP. © Adagp, Paris, 2019.
(12) Christian Boltanski (né en 1944). Théâtre d’ombres, 1984-1997. Œuvre en 3 dimensions, installation avec de la lumière. Projection de 20 figures sur trois murs. Figurines en carton, projecteurs, plate-forme mobile, structures en métal, ventilateurs. Dimensions variables. Photo © André Morain. © Adagp, Paris, 2019.

(14) Christian Boltanski (né en 1944). Miroirs noirs, 2005. Miroirs peints en noir de plusieurs dimensions. Ils s'apparentent à des photographies qui ne s'impriment pas, où l'on se voit comme un fantôme prêt à disparaître. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
(15) Christian Boltanski (né en 1944). Réserve des Suisses morts, 1990. Photographies, lampes à pinces, fils électriques, échelles en bois, linge blanc. Photographies des défunts parues dans les pages du journal suisse Le Nouvelliste du Valais pour illustrer l'avis de décès. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
Christian Boltanski (né en 1944). De gauche à droite :
(17) - Le Manteau, 1991. Manteau noir, ampoules LED, câbles noirs.
(16) - Les Véroniques, 1996. Photographies noir et blanc sur calque, boîtes en bois, grillage, tubes fluorescents, tissu.
© Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
(13) Christian Boltanski (né en 1944). Cœur, 2005. Ampoule qui clignote au rythme de l'enregistrement d'un battement de cœur. Vue d'installation à L'Institut Mathildenhöhe Darmstadt, Allemagne, 2006. Courtesy Christian Boltanski. Photo © Wolfgang Günzel. © Adagp, Paris, 2019.
 
(16) Christian Boltanski (né en 1944). Les Véroniques, 1996. Vue de l’exposition « Christian Boltanski: Storage Memory », Power Station of Art, Shanghai, 2018. © Courtesy Power Station of Art, Shanghaï. Photo © Jiang Wenyi. © Adagp, Paris, 2019.
(20) Christian Boltanski (né en 1944). Monuments. Photographies, douilles, ampoules, fils électriques. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
(20) Christian Boltanski (né en 1944). Monuments. Photographies, douilles, ampoules, fils électriques.
 
Portrait de Christian Boltanski, 2018. FLV Munich.
(21) Christian Boltanski (né en 1944).
A gauche et à droite : Reliquaires. Photographies, boîtes à biscuits, lampes à pince, fils électriques.
Au centre : Fantômes de Varsovie, 2001. Photographies noir et blanc, cadres en métal, lampes, 166 x 198 cm. Images visibles des deux côtés. Photographies trouvées par l'artiste à Varsovie lors de l'expsoition "Revenir" en 2001. Etant donné le lien de l'artiste avec cette ville, il considère ces portraits presque comme ses ancêtres.
© Centre Pompidou. Philippe Migeat.
(21) Christian Boltanski (né en 1944). Reliquaire. Photographies, boîtes à biscuits, lampes à pince, fils électriques. Les lampes de bureau utilisées dans ces œuvres éblouissent les personnages, rappelant les pratiques policières.

(22) Christian Boltanski (né en 1944). Les Regards, 2011. Voiles, filins métalliques, ampoules, ventilateur, dimensions variables.
(23) Christian Boltanski (né en 1944). Réserve : Les Suisses Morts, 1991. Boîtes en métal, photographies noir et blanc, 12 × 23 × 21,3 cm (chaque boîte) ; 6 × 4 cm (chaque photo). IVAM, Institut Valencià d’Art Modern, Generalitat.
 
(22) Christian Boltanski (né en 1944). Les Regards (détail), 2011. Voiles, filins métalliques, ampoules, ventilateur, dimensions variables.
 
(23) Christian Boltanski (né en 1944). Réserve : Les Suisses Morts (détail), 1991. Boîtes en métal, photographies noir et blanc, 12 × 23 × 21,3 cm (chaque boîte) ; 6 × 4 cm (chaque photo). IVAM, Institut Valencià d’Art Modern, Generalitat.

(26) Christian Boltanski (né en 1944). Misterios, 2017 – installation. Vidéo projection sur 3 écrans, format 16/9, son stéréo, couleur, durée : 12 heures.
 
(26) Christian Boltanski (né en 1944). Misterios, 2017 – installation. Vidéo projection sur 3 écrans, format 16/9, son stéréo, couleur, durée : 12 heures. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
(26) Christian Boltanski (né en 1944). Misterios, 2017 – photographie. Archives Christian Boltanski. Photo © Christian Boltanski. © Adagp, Paris, 2019.
(27) Christian Boltanski (né en 1944). A gauche et à droite : La Vie impossible de C.B. (vues partielles), 2001. Voir ci-dessous. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
(27) Christian Boltanski (né en 1944). La Vie impossible de C.B. (vue partielle), 2001. Ensemble de 20 vitrines accrochées au mur. A l'intérieur de chaque vitrine une lampe fluorescente éclaire inégalement les archives de l'artiste. Bois, grillage métallique, tubes fluorescents, fils électriques, papier, photographies, 150 × 87 × 12 cm (chaque élément). Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris, achat à l’artiste, 2004. Collection Centre Pompidou, MNAM-CCI.
 
(27) Christian Boltanski (né en 1944). La Vie impossible de C.B. (vue partielle), 2001. Ensemble de 20 vitrines accrochées au mur. A l'intérieur de chaque vitrine une lampe fluorescente éclaire inégalement les archives de l'artiste. Bois, grillage métallique, tubes fluorescents, fils électriques, papier, photographies, 150 × 87 × 12 cm (chaque élément). Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris, achat à l’artiste, 2004. Collection Centre Pompidou, MNAM-CCI
 
(26) Christian Boltanski (né en 1944). Misterios, 2017 – photographie. Archives Christian Boltanski. Photo © Christian Boltanski. © Adagp, Paris, 2019.

(28) Christian Boltanski (né en 1944). Menschlich, 1994. Photographies noir et blanc, lampes. Ensemble de 1200 photographies prises entre 1970 et 1994, représentant des gens d'âge, de sexe ou d'origine différents et dont on ne discerne que le visage. Parmi eux figurent indistinctement des bourreaux et des victimes, bons et mauvais. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
Christian Boltanski (né en 1944).
(29) (au centre) : Les Portants, 2000. Miroirs noirs, portants sur roues, voiles imprimés transparents, tubes fluorescents. Images tirées du journal Détective. Sur les portants sont disposés deux portraits sur tissu représentant à chaque fois une victime et un assassin traités indistinctement.
(30) (sur le mur) : Mes Morts, 2002. Panneaux métalliques, tubes fluorescents, câbles électriques. Portraits de personnes disparues chères à Boltanski avec deux dates, celle de la naissance et celle de la mort. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
Christian Boltanski (né en 1944).
(31) Sur le sol : Les Tombeaux, 1996. Bois, métal, draps noirs, ampoules.
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid.
(32) Sur les murs : Les Concessions, 1996. Photographies, tissu noir, ventilateurs, dimensions variables.
Collection de Pont Museum, Tilbourg.
© Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
Christian Boltanski (né en 1944).
(31) Sur le sol : Les Tombeaux, 1996. Bois, métal, draps noirs, ampoules.
Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid.
(32) Sur les murs : Les Concessions, 1996. Photographies, tissu noir, ventilateurs, dimensions variables.
Collection de Pont Museum, Tilbourg.
 
(32) Christian Boltanski (né en 1944). Les Concessions (vue partielle), 1996. Photographies, tissu noir, ventilateurs, dimensions variables. Collection de Pont Museum, Tilbourg.
 
(33) Christian Boltanski (né en 1944). Après, 2016. Photographies imprimées sur voile. Plexiglas, ampoules transparentes, lampes à pince. Kewenig Galerie, Berlin. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.
 
(34) Christian Boltanski (né en 1944). Crépuscule, 2015. Ampoules, douilles, fils électriques noirs, dimensions variables. Chaque jour une des ampoules composant l’installation s’éteint. Le temps d’une exposition, l’œuvre qui au début est très éclairée s’assombrit progressivement. Image sur le passage du temps et la précarité de l’existence. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.

Christian Boltanski (né en 1944).
(36) (au centre) : Le Terril Grand-Hornu, 2015. Vêtements noirs en tissu, lampe, dimensions variables (cf l'oeuvre Personnes, réalisée au Grand Palasi à Paris en 2010 dans le cadre de la manifestation "Monumenta").
Collection Musée des Arts contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
(35) (le long des murs) : Les Registres du Grand-Hornu, 1997. Boîtes en fer blanc, étiquettes, photographies noir et blanc, lampes de bureau. Documents d'archives relatifs aux ouvriers travaillant dans les mines du Grand-Hornu en Belgique de 19250 à 1940.
Collection Musée des Arts contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles, achat, 1998.
© Centre Pompidou. Philippe Migeat.
Christian Boltanski (né en 1944).
(38) (sur le sol) : Prendre la parole, 2005.Bois, manteaux noirs, lampes de bureau, ampoules, lecteur enregistreur, hauts-parleurs avec captuers de mouvement, dimensions variables. Chaque personnage pose des questions sur la vie et son passage quand un visiteur s'approche.
(35) (le long des murs) : Les Registres du Grand-Hornu, 1997. Boîtes en fer blanc, étiquettes, photographies noir et blanc, lampes de bureau. Documents d'archives relatifs aux enfants travaillant dans les mines du Grand-Hornu en Belgique de 1912 à 1939. Collection Musée des Arts contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles, achat, 1998.
 
(35) Christian Boltanski (né en 1944). Les Registres du Grand-Hornu, (détail), 1997. Boîtes en fer blanc, étiquettes, photographies noir et blanc, lampes de bureau. Documents d'archives relatifs aux ouvriers travaillant dans les mines du Grand-Hornu en Belgique de 19250 à 1940. Collection Musée des Arts contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles, achat, 1998.
 
(36) Christian Boltanski (né en 1944). Le Terril Grand-Hornu (vue partielle) 2015. Vêtements noirs en tissu, lampe, dimensions variables (cf l'oeuvre Personnes, réalisée au Grand Palasi à Paris en 2010 dans le cadre de la manifestation "Monumenta"). Collection Musée des Arts contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
 
Initialement réalisée sous forme d’installation dans le désert d’Atacama au Chili (4 000 mètres d’altitude), « Animitas » renvoie aux autels mémoriels. Filmée en un seul plan fixe, du lever au coucher du soleil, prolongée au sol par une étendue de fleurs fraîches, l’œuvre diffuse le son de 800 clochettes japonaises balancées par le vent. Fixées au sol, elles dessinent la carte céleste du jour de naissance de l’artiste. Leur tintement évoque « la musique des astres et la voix des âmes flottantes ».
Une installation semblable a été réalisée sur l’île de Teshima au Japon (« La Forêt des murmures », 2016), sur l’île d’Orléans au Québec (« Blanc », 2017 [voir ci-dessous]) et près de la mer Morte (2017).

Pour voir un extrait de la vidéo,
cliquez ici ou sur l'image

 

Les bruits parasites proviennent des visiteurs. La vidéo intégrale dure 13h16s.

(39) Christian Boltanski (né en 1944). Animitas, 2014. Talabre, San Pedro de Atacama, Chile. Film, couleur, son, 13h 16 s. © Centre Pompidou. Philippe Migeat. (voir ci-contre un extrait de la vidéo).
   
(39) Christian Boltanski (né en 1944). Animitas blanc, 2017. Musée national des Beaux-Arts du Québec. © Centre Pompidou. Philippe Migeat.