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                        | Titre de l'exposition  | 
                      
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                        | Entrée du musée de la Chasse et de la Nature  | 
                      
                      
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 Né  en 1962, Sean Landers vit et travaille à New York. Il débute sa carrière à la  fin des années 1989 dans un contexte dominé par l'art conceptuel, peu favorable  à l'art figuratif et encore moins aux références à l'art ancien. C'est pourtant  bien l'âme du courant surréaliste européen qui l'interpelle comme le fascinent  les figures de Picasso, Duchamp, Picabia, Ernst et surtout Magritte, maîtres  dont il partage la manière et les concepts. Le goût de l'absurde, du  trompe-l'œil et du faux-semblant domine nombre de ses œuvres, tandis qu'il  utilise volontiers dans ses tableaux l'écriture et le langage pour donner libre  cours à ses pensées les plus intimes ou à des considérations souvent désabusées  sur le monde qui nous entoure.Ainsi,  Sean Landers crée son propre univers, explorant la peinture au travers de séries  thématiques teintées d'humour et de mélancolie. Pour cette exposition, sa série  des animaux tartan sur fond de paysages iconiques de l'Amérique impressionne par  l'ampleur des compositions. Un florilège d'œuvres illustrant la variété de son  inspiration se déploie par ailleurs au cœur des collections du musée : forêt de  bouleaux aux troncs gravés de messages : portraits d'animaux ; Plankboy, avatar de l'artiste; et  tableau bibliothèque. Si ses œuvres ont en commun un hyperréalisme virtuose,  elles abordent différents sujets, souvent politiques, comme ici la place des  animaux et leur devenir, la pérennité de la nature ou encore les tourments de  l'artiste face à son œuvre et au reste du monde.
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                        | Texte du panneau didactique |  | Sean Landers. Plankboy,  2021. Bronze  peint à la main, 37 × 20 × 18 cm. Collection de l’artiste. © Sean Landers, courtesy Case Studyo, Ghent. 
                            Photo : Case Studyo. 
 
 
«Plankboy représente mon moteur artistique, où tout ce que je peins  et écris prend vie.», Sean Landers. Le personnage du Plankboy est un gimmick dans l'œuvre de Sean Landers, son alter ego.  Comme Pygmalion et sa Galatée, comme Gepetto et son Pinocchio, il est un avatar  explorant la culture pop, la mythologie et les questions existentielles que se  pose l'artiste. Créé il y a plus de deux décennies, Plankboy joue un rôle central dans l'œuvre de Landers, telle-une  signature, qui revient habiter régulièrement l'œuvre de l'artiste. Ici, en  bronze peint en trompe-l'œil d’un motif faux bois, on le retrouve plus loin dans  l'exposition en deux dimensions sous forme peinte.
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 1 - Rez-de-chaussée
 
 
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                        | Scénographie 
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                         «Tout ce que nous voyons cache quelque chose d'autre.». René Magritte  (1808-1967).
 Le premier animal du genre tartan est né dans  l'atelier de l'artiste en 2005, les toiles  exposées ici sont le résultat de dix ans de  recherche pour obtenir un savant mélange entre absurdité et monumentalité, surréalisme  et perfection technique. La justesse anatomique reproduite par Sean Landers est  rompue par la surprise que provoque leur robe. Une fourrure de tartan, pas si  étrange que cela, car les teintes choisies sont semblables aux pelages  naturels. Ce motif, hérité de la « période vache » de Magritte confère aux  bêtes de Sean Landers une remarquable immortalité, pour des animaux qui nous  sont parfois trop communs. Il place ses animaux dans leurs habitats respectifs,  au cœur de la nature, des paysages iconiques des États-Unis et notamment des  grands parcs nationaux.
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                        | Texte du panneau didactique. |  | Sean Landers. Cerf élaphe, 2015. Huile sur toile de  lin. Collection privée, Belgique. | 
                      
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                        | Sean Landers. Mouflon canadien, 2015. Huile sur toile de  lin. Courtesy de l’artiste & Rodolphe Janssen, Bruxelles. |  | Sean Landers. Antilope d’Amérique, 2015. Huile sur  toile de lin. Courtesy de l’artiste & Capitain Petzel, Berlin. | 
                      
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                        | Scénographie  | 
                      
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                        | Sean Landers. Chat sauvage (Grand Canyon, Arizona),  2015. Huile sur toile de lin. Collection privée. |  | Sean Landers. Ocelot, 2015. Huile sur toile de lin.  Collection privée. | 
                      
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                        | Sean Landers. Renard polaire, 2014. Huile sur toile de  lin. Courtesy de l’artiste & Petzel, New York. |  | Sean Landers. Painted Desert (Markbor), 2015. Huile  sur toile de lin. Courtesy de l’artiste & Petzel, New York. | 
                      
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                        | Combat de cerfs naturalisés. Cerfs de Belval, Ardennes. Collection du Musée de la  Chasse & de la Nature.  | 
                      
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                        | Scénographie. Photo David Giancatarina. |  | Sean Landers. Musk Ox (bœuf musqué), 2015. Huile sur toile  de lin, 172,7 x 132,1 cm. ©  Sean Landers, courtesy Rodolphe Janssen, Brussels. Photo: Hugard &  Vanoverschelde Photography. | 
                      
                      
                       
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 2 - Salon bleu
 
 
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                        | Scénographie. |  | Sean  Landers. L’impérieuse nécessité du narcissisme  pour l’esprit artistique (Jaguar), 2014. Huile sur toile de lin, 127  x 165,1 cm. © Sean Landers, courtesy Petzel Gallery, New York. Photo: Larry  Lamay. | 
                      
                       
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 3 - Salon de compagnie
 
 
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                        | Scénographie. Photo David Giancatarina.  | 
                      
                        | Surnommé le « glouton »  pour son appétit débordant, ce prédateur redouté – que l'on peut également  observer dans la Salle des trophées du musée - s'apprête à savourer son butin au  pied des montagnes Rocheuses. Son audacieux pelage tartan tranche avec le  paysage sauvage. Loin des scènes de chasse traditionnelles, entre ses  puissantes pattes un lapin se montre comme échappé d'un tableau voisin de Jean-Siméon  Chardin (1699-1779). L'artiste, là encore, s'affiche dans cette composition et  grave sur la souche les années de sa jeunesse : 1975-1980.
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                        | Sean Landers. Glouton, 2014. Huile sur toile de lin. Collection privée. |  | Scénographie. Photo David Giancatarina.  | 
                      
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                        | Sean Landers. Brueghel l’archer (sanglier), 2015. Huile  sur toile de lin. Collection privée, Anvers. |  | Benedikt Fruth (1745-1819). Sanglier attaqué par des chiens. | 
                       
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 4 - Antichambre
 
 
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                        | Lion naturalisé. Don  de la collection Rodrigue d’Arenberg. Collection du Musée de la Chasse & de  la Nature. |  | Lion naturalisé. Don  de la collection Rodrigue d’Arenberg. Collection du Musée de la Chasse & de  la Nature. | 
                       
                      
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                         «La  vie imite l'art bien plus que l'art n'imite la vie», Oscar Wilde (1854-1900).
 Au  centre de cette toile envoûtante trône un lion hiératique et assurément, le roi  des animaux. Sa majesté est figée sous une épaisse neige d'hiver; le sol se vêt  d’un manteau blanc. La robe du lion, imitant le bois - comme le firent René  Magritte et plus tard Max Ernst - fait vaciller notre perception jusqu'à  l'illusion. C'est ainsi que tel un mirage, la réalité rugit: un vrai lion  naturalisé siège face à lui. L'artiste nous invite à repenser notre frontière entre  réalité et chimère, entre matériel et immatériel, entre poils et toile.
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                        | Sean  Landers. Lion in Winter (Lion  en hiver),2019. Huile  sur toile de lin, 177,8 x 132,1 cm. © Sean Landers, courtesy Capitain Petzel, Berlin. Photo:  Christopher Burke Studio. |  | Texte du panneau didactique | 
                      
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 5 - Salon du cerf et du loup
 
 
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                        | Scénographie. Photo David Giancatarina.  | 
                       
                      
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                          Peintre  de paysage, Sean Landers nous transporte au pied des majestueuses Maroon Bells  (Colorado). Ce lieu mythique devient le nouveau théâtre d'expression de l'ambivalence  de sa peinture. Au centre de la toile, un cerf élaphe s'érige en symbole. Cet  animal vénéré, roi incontesté de nos bois, créature mi-animale, mi-forêt, incarne  l'idéal de la faune. Comme son voisin naturalisé, dans une pose hiératique presque  archétypale, le cerf de Landers est l'incarnation de la chasse.
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                        | Sean  Landers. Maroon Bells (Cerf), 2015.Huile sur toile de lin, 208,3 x 157,5 cm. © Sean  Landers, courtesy Rodolphe Janssen, Brussels. Photo: Jason Mandella. |  | Texte du panneau didactique. | 
                       
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 6 - Salon des chiens
 
 
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                        | Scénographie 
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                          Créée  pour l'exposition, cette toile fusionne la majesté des forêts aux troncs gravés  de messages en arrière-plan à un portrait imposant d'un labrador. Un tableau  énigmatique, à mi-chemin entre une épitaphe silencieuse et des notes en marge  d'une page raturée. On y lit toute l'ironie cinglante propre à l'artiste: «Yves  Klein saute dans le vide. Le reste d'entre nous envoie des cartes postales». Ainsi,  Sean Landers se joue du visiteur peu attentif, qui capté par la perfection technique  de la représentation, pourrait ne pas percevoir le message de l'artiste.
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                         Sean Landers. Votre serviteur, 2023. Huile sur toile  de lin. Courtesy de l’artiste & Petzel, New York.
 |  | Texte du panneau didactique. | 
                      
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 7 - Salon des oiseaux
 
 
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                        | Scénographie 
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                        | Scénographie  | 
                      
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                        | Sean  Landers. Polar Bear Cub (North Slope, AK) [Ourson polaire (North Slope, Alaska)], 2015. Huile sur toile de lin, 132,1 x 116,8 cm. © Sean  Landers, courtesy Rodolphe Janssen, Brussels. Photo: Christopher Burke Studios. |  | Sean Landers. Red  Rooster, 2022. Huile sur toile de lin, 91,4 x 76,2 cm. © Sean Landers, courtesy Petzel Gallery, New York. Photo:  Christopher Burke Studio. | 
                       
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 8 - Salle des trophées
 
 
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                        | Scénographie 
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                        | Sean Landers. M. Lapin, 2003. Bronze. Collection de  l’artiste. |  | Sean Landers. Roi éléphant, 2003. Bronze. Collection  de l’artiste. | 
                       
                        | C'est en tant que sculpteur  que Sean Landers a débuté sa carrière artistique. Ses premiers travaux en  bronze datent du début des années 90. Il aborde rapidement des thèmes  classiques, s'en remet aux portraits puis à la mythologie, avant de donner  libre cours à son imagination. En 2003, il crée une série de neuf personnages  truculents, aux figures déconcertantes et extraordinaires. Il y confond une  nouvelle fois les limites entre réel et fantastique. 
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 9 - Salle de la Forêt
 
 
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                        | Scénographie 
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                          Sean  Landers. Stopping by Woods on a Snowy Evening (Une soirée enneigée dans les bois), 2015. Huile sur toile de lin, 152,4 x 198,1 cm. © Sean  Landers, courtesy Rodolphe Janssen, Brussels. Photo: Christopher Burke Studio.
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                        |  |  | Si jusqu'alors on constate  une prédominance pour l'absurde dans le travail de Sean Landers, on découvre rapidement  qu'un double sens traverse son œuvre. C'est grâce aux recherches de René  Magritte, qui développa une esthétique des mots, que Sean Landers impose sa  magie. Dans ses toiles, les mots deviennent sujets, explicites ou implicites, imagés  où figés même s'il ne cesse d'utiliser l'image en créant parfois un langage (comme  le Plankboy). Il insère dans cette sombre  forêt de bouleaux des passages du poème éponyme Stopping by the Wood on a Snowy Evening de Robert Frost, écrit en 1923. Parmi ces fragments poétiques,  l'artiste insère des paroles de musique du  groupe Steve Miller Band (Fly like an  Eagle) ou encore ses propres pensées souvent ironiques, parfois cyniques: “Jellyfisb adrift in time, equally unaware of  in what we float.” [«Méduses à la dérive dans le temps, tout aussi  inconscientes que nous de ce dans quoi nous flottons.»]
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                        | Christine Germain-Donnat (directrice du musée de la Chasse et de la Nature), Sean Landers, Rémy Provendier-Commenne (commissaire de l'exposition). |  | Texte du panneau didactique. | 
                      
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                        | Scénographie. Photo David Giancatarina.  | 
                      
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                          En  2020, Sean Landers entreprend une nouvelle série de portraits animaliers. Dans  un emprunt à René Magritte et à son nu féminin Découverte (1927), où un corps est partiellement recouvert d'un  motif imitant le bois, Sean Landers applique sur ses animaux le même décor de  faux bois. Cette technique, évoquant à la fois la nature et l'intervention  humaine, surprend. Les animaux, ainsi parés, remettent en question notre  perception du réel, de la faune et de son interaction avec le monde moderne.  C'est ainsi que l'artiste continue à explorer les thèmes de l'identité et de la  transformation à travers sa production.
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                        | Sean Landers. Wood Chimp (Chimpanzé de bois), 2020.Huile  sur toile de lin, 96,5 x 81,3 cm. © Sean Landers, courtesy Rodolphe Janssen, Brussels. Photo:  Christopher Burke Studio. |  | Texte du panneau didactique. | 
                      
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                          Sean Landers. Cette chose, 2017. Huile sur toile de  lin. Courtesy de l’artiste &  Petzel, New York.
                           |  | Sean  Landers. Plankboy (Pygmalion), 2019.Huile sur toile de lin, 109,2 x 149,9 cm. © Sean Landers, courtesy Rodolphe Janssen,  Brussels. Photo: Christopher Burke Studio. | 
                       
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 10 - Chambre de la tique
 
 
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                        | Scénographie 
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                        | Sean Landers. Je vis, 2023. Huile sur toile de lin. Courtesy  de l’artiste & Petzel, New York. |  | Sean  Landers. Bang !,  2023. Huile sur toile de lin. Courtesy de l’artiste & Petzel, New York. | 
                      
                      
                        | «Les  titres des tableaux ne sont pas des explications et les tableaux ne sont pas  des illustrations des titres.»René Magritte (1898-1967).
  Pour l'exposition, Sean Landers crée deux portraits  sans précédent dans son œuvre. Pour la première fois, en arrière-plan des animaux,  on retrouve ses emblématiques forêts d'écritures. Là encore, les arbres deviennent  son médium d'expression. Comme les surréalistes avant lui, les mots projetés en  arrière-plan sont de nouveaux sujets. Les troncs sont porteurs de pensées quasi  philosophiques et métaphysiques. Ils interrogent sa propre existence, sa place dans  le monde, et raillent notre humanité. Ces nouvelles toiles s'inscrivent dans la  tradition classique de la composition du portrait, mettant en avant  l'individualité des sujets. Ils s'inscrivent parfaitement dans les recherches  de Jakob von Uexküll, à qui cette salle est dédiée, qui fut l’un des premiers  scientifiques à étudier le ressenti des animaux et leur perception du monde.  | 
                      
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                        | Scénographie. Photo David Giancatarina.  | 
                      
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                          «Il  possède la beauté sans la vanité, la force sans l’insolence, le courage sans la  férocité et toutes les vertus de l'homme sans ses vices.»Lord Byron  (1788-1824), Épitaphe à un chien.
 
 Dans  sa récente série Adrift, Sean Landers  présente des portraits de chiens dérivant dans des bateaux sur l'Atlantique  Nord. Ici, un gros plan d’un labrador blanc aux expressions anthropomorphes. La  précision photographique avec laquelle est peint le modèle offre une réflexion sur  notre propre voyage à la dérive dans ce vaste océan de l'existence. Le sujet  reflète la vulnérabilité de l’art face à un avenir incertain. Landers y voit le  symbole de ce qu'est une peinture: «un vaisseau pour l'artiste vers l'au-delà».
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                        | Sean Landers. Labrador blanc, 2023. Huile sur toile de  lin. Courtesy de l’artiste & Petzel, New York. |  | Texte du panneau didactique. | 
                       
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 11 - Un refuge dans les bois
 
 
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                        | Scénographie 
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                         Au  cœur des bois, un refuge. Dans cette salle évoquant la cabane d’Aldo Leopold, forestier,  chasseur et environnementaliste américain, se trouve une étonnante bibliothèque.  L'artiste utilise le dos des livres pour y écrire un récit: L'impérieuse nécessité  du narcissisme pour l'esprit artistique. D'un côté, des souvenirs personnels de  Sean Landers, évoquant sa grand-mère peintre. De l'autre, le texte justifie et  explore le narcissisme de l'artiste. Sur une étagère, au milieu de ces livres, trône  une boule à neige renfermant un jaguar, objet de curiosité ou rappel pour le  visiteur attentif qui aura aperçu le même félin dans une œuvre à l'étage  inférieur du musée...
                           Texte du panneau didactique.
 
 
 
   
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                        | Sean Landers. Jaguar (L’impérieuse nécessité du narcissisme  pour l’esprit artistique), 2014. Huile sur toile de lin. Collection privée. |  |  | 
                      
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                        |  |  | Sean Landers. Jaguar (L’impérieuse nécessité du narcissisme  pour l’esprit artistique), 2014 (détail). Huile sur toile de lin. Collection privée. | 
                      
                      
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