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      |  |   |  |  | Lettre n° 439du 11 octobre 2017
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Antonia Bozzi
 
 
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      LA VIE EST UN SONGE de Calderón. Mise en scène Clément  Poirée avec John Arnold, Louise Coldefy, Thibaut Corrion, Pierre Duprat,  Laurent Ménoret, Morgane Nairaud, Makita Samba, Henri de Vasselot. Un  univers scénique entre ténèbres et lumière, un clair obscur presque oppressant  où évoluent des personnages fantomatiques brusquement cernés de halos et de  fulgurances. Est-on éveillé, est-on plongé dans le songe et le cauchemar ?  Toute la pièce va entretenir l’ambiguïté jusqu’à un dénouement heureux dont on  peut se demander s’il n’est pas lui-même une fantasmagorie.
 Sigismond,  séquestré depuis l’enfance au nom d’un oracle fallacieux, donnerait presque  raison à son père, le roi Basile, tant sa libération, brève et artificielle,  confirme les pires pressentiments quant à sa violence innée.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Bernard Palazon
 
 
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      L’ORCHESTRE EN SURSIS de Pierrette Dupoyet. Mise en scène  et interprétation Pierrette Dupoyet. On  croit tout connaître, savoir, avoir entendu, avoir vu, des horreurs des camps,  de la barbarie nazie. Mais a-t-on conscience que l’inhumanité paraît plus innommable  encore, quand elle se voit confrontée à ce qui est, ou devrait être, aux  antipodes de l’abomination, la musique ? La musique, ceux et celles qui la  composent et l’interprètent, l’harmonie à laquelle elle contribue, la musique  consolatrice. Auschwitz nous tend ce miroir. Au cœur de l’horreur, il y eut un  lieu où l’on survivrait peut-être parce qu’on était musicien, où, avec les  moyens de pire fortune, on entrebâillait pour les déportées un horizon  possible, celui de la liberté.   ... (Lire).
 
 
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       Photo Alejandro Guerrero
 
 
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      INTRA MUROS d’Alexis Michalik. Mise en scène de l’auteur avec Jeanne Arènes, Bernard  Blancan, Alice de Lencquesaing, Paul Jeanson, Fayçal Safi et le musicien Raphaël  Charpentier.En  prologue, un court monologue est adressé au public sur le métier d’acteur qui  endosse deux vies, la sienne et celle de son personnage, les deux se confondant  pour former une entité dont le but est de transmettre des émotions. Après cette  mise en condition, la représentation peut commencer.
 Créer  un atelier théâtre en centrale. Alice, assistante sociale stagiaire, a soumis  l’idée à Richard, professeur d’art dramatique et metteur en scène en mal de  projet, faute de crédits. Après quelques hésitations, Richard décide de tenter  l’expérience en faisant participer Jeanne, une comédienne. Ils se retrouvent  devant les grilles de la centrale   ... (Lire).
 
 
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       Photo Céline Nieszawer
 
 
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      RAMSÈS  II de Sébastien Thiéry. Mise en scène Stéphane Hillel, avec François Berléand,  Évelyne Buyle, Éric Elmosnino, Élise Diamant.Sur le mur de l’entrée, l’ombre de  Mathieu, un bouquet à la main, le précède. Élisabeth lui ouvre la porte de leur  maison de campagne et l’accueille chaleureusement suivi de Jean, tous les deux  un peu étonnés de le voir arriver seul sans leur fille Bénédicte. Rentré tout  juste d’un voyage en Égypte avec sa femme, Mathieu sort de son sac, pour son  beau-père, une réplique d’un masque mortuaire destiné à protéger le défunt des  mauvais esprits. Fin connaisseur de ce pays, Jean est ravi du cadeau et  s’enquiert sur tout ce qu’ils ont visité, remémorant sa propre expérience et  certains lieux, « chargés », selon lui. Mathieu semble absent et  répond de façon laconique lorsque Jean insiste pour savoir où se trouve sa  fille. « Là-haut » répond-il     ... (Lire).
 
 
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       Photo Céline Nieszawer
 
 
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      LA NOUVELLE de Éric Assous. Mise en scène Richard Berry avec Richard Berry, Mathilde  Seigner, Héloïse Martin, Rudy Milstein, Félicien Juttner.Il  pleut des cordes. L’orage gronde et en annonce un second d’un autre ordre !  Face à la grande baie vitrée de la maison de campagne donnant sur le jardin, un  arbre centenaire tamise la lumière de la salle de séjour rénovée par Simon, le  maître des lieux. Il y a quelques mois, il a fait la connaissance de Mado, une  généraliste beaucoup plus jeune que lui, divorcée et mère de deux filles. Concilier  seule travail et éducation lui a forgé le caractère, son franc-parler en  témoigne, un rôle qui sied à ravir à Mathilde Seigner. Le souhait de refaire  leur vie ensemble s’est imposé, ils en ont avisé verbalement leurs enfants  respectifs. Aujourd’hui, ils attendent, un peu fébriles, l’arrivée des deux  fils et de la belle-fille de Simon pour le moment délicat des présentations.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Michel Voïta
 
 
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      NOCES de Albert Camus. Adaptation, mise en  scène et interprétation Michel Voïta. Comment  imaginer qu’on puisse entrer dans le flux des mots de Camus sans en sortir  ébloui ? Dès la première fois, et ensuite toutes les autres fois où on y  reviendra, comme par addiction à la beauté sans égale d’un univers sensoriel,  sensuel, autant que d’une réflexion vitale à laquelle nous convie l’auteur de  « Noces ». Un flot, oui, d’eau, de lumière, de chaleur, d’images.  Comme la métaphore du monde si tangible dans lequel il est heureux de vivre,  d’aimer, de percevoir la mort, de nourrir ses souvenirs et ses manques, ses  indignations et ses espérances. Et Michel Voïta donne à voir, à sentir, à  jouir, à déguster une présence jamais démentie.  ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | SPECTACLES 
 
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       Photo Cirque Éloize
 
 
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        CIRQUE ÉLOIZE. CIRKOPOLIS. Mise en scène Jeannot Painchaud et Dave  St-Pierre avec 14 artistes. C’est le neuvième spectacle créé par cette société  de cirque québécoise, la deuxième après le Cirque  du Soleil. Le spectacle s’inspire de Métropolis,  le film de Fritz Lang (1927) dans lequel il existe une ville haute, occupée par  de riches oisifs et une ville basse où triment les ouvriers. Cette ville  futuriste est illustrée par les images vidéo projetées sur l’immense toile de  fond de la scène, prolongeant ainsi celle-ci dans un univers de béton, de  machines et d’engrenages, très réussi.Après un intermède dans la salle,  sans véritable intérêt, pour nous faire patienter avant la levée de rideau, le  spectacle commence par une illustration de cette ville basse. Un employé croule  sous les feuilles de papier qu’il doit tamponner, tandis qu’une multitude de  gens vêtus de gris verdâtre courent dans tous les sens autour de lui, lui  apportant sans cesse plus de documents. Vient alors un numéro de main à main  sur une table, puis un numéro de danse qui se poursuit avec une roue cyr. Le  spectacle commence vraiment et c’est une totale réussite. Les numéros et les  intermèdes clownesques s’enchaînent sans temps mort. ...  (Lire).
 
 
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       Photo Pixelle
 
 
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      WELCOME TO WOODSTOCK.  Spectacle de Jean-Marc Ghanassia. Mise en scène Laurent Serrano. Directeur  musical Philippe Gouadin. Scénographie Jean Haas. Création vidéo Olivier Roset.  Chorégraphie Cécile Bon. Martine,  Florence, Francis, Tom, Corinne et Paul vivent en communauté dans une chambre  d’étudiant, au grand dam des voisins. Ils viennent de différentes classes  sociales, ont fait connaissance sur les barricades de mai 68 et sont encore ébranlés  par l’échec de leur révolution. Las de vivre dans une société qu’ils estiment  sclérosée, ils rêvent d’union libre, d’amour et de sexe et surtout d’en finir  avec le système petit bourgeois. Pourquoi ne pas partir loin des sentiers  battus dans une sorte de road trip ? Pourquoi ne pas partir pour « Woodstock » ?  La proposition remporte l’adhésion de tous excepté celle de Corinne. Marxiste  et féministe de mère en fille, c’est la plus engagée. Elle, projette plutôt d’aller  faire la révolution avec Che Guevara. ...  (Lire).
 
 
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       Photo Julien Vachon
 
 
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      LA VIE PARISIENNE… OU  PRESQUE d’après  Jacques Offenbach. Adaptation David Koenig. Mise en scène Philippe d’Avilla. Il  est d’autant plus impossible de raconter une intrigue, qui fourmille de tant de  personnages, qu’elle est ici réduite à la fois dans l’ampleur de ses cinq actes  initiaux et dans un nombre d’acteurs que l’ébriété de l’un d’eux a encore  davantage réduit à la portion congrue ! En très très gros, on peut dire  qu’il s’agit d’amours mouvementées entre un baron en mal d’aventures grivoises,  un guide usurpé, une baronne pseudo-suédoise et encore moins belge, une  gantière et un bottier, un major déjanté, une demoiselle de très petite vertu  et une épouse bafouée, une lettre ambiguë. Et la liste serait encore longue.  Qui séduit qui ? Vaste question… Quatre acteurs tentent de donner corps à  cette kyrielle, secondés et épaulés par un pianiste de leur bande, le tout dans  des décors qui ne leur appartiennent pas, et des costumes aussi fantaisistes  que leur entreprise théâtrale. ...  (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS et SITES 
 
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       Photo Art Gallery of New South  Wales / Jenni Carter Lewis Collection.
 
 
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      DAVID HOCKNEY. Rétrospective. La Tate Britain de Londres, le  Metropolitan Museum de New York et le Centre Pompidou se sont associés pour  célébrer les 80 ans de cet artiste hors du commun né en 1937.En effet, après des études de  peinture dans sa ville natale de Bradford, en Angleterre où, comme celle de ses  professeurs, sa peinture est empreinte de réalisme (Constructeurs, vers 1954), il poursuit son apprentissage au Royal  College of Art de Londres. Là, il assimile la peinture d’Alan Davie, de Jean  Dubuffet, de Picasso et de Francis Bacon. C’est chez ce dernier qu’il puise  l’audace de traiter l’homosexualité d’une manière explicite, alors que celle-ci  était encore condamnée en Grande Bretagne à cette époque (Brossage de dents, début de soirée (22h) W11,  1962). Ces différents apports l’amènent à intituler une de ses premières  expositions « Démonstration de versatilité » ...  (Lire).
 
 
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       Photo Collection Van Cleef & Arpels.
 
 
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      MEDUSA. BIJOUX ET TABOUS. Cette exposition réunit plus de 400  bijoux de toutes les époques, de la préhistoire au bijou fantaisie  d’aujourd’hui, en passant par le Moyen-Âge, les bijoux amérindiens et les  diverses modes actuelles (punk, rap …). Si les plus anciens ont été réalisés  par des artistes anonymes, dans la mesure où l’on considère le bijou comme une  œuvre d’art, la plupart de ceux présentés ici sont l’œuvre de grands artistes  (Man Ray, Alexandre Calder, Salvador Dali, Louise Bourgeois, Lucio Fontana,  Niki de Saint-Phalle, Fabrice Gygi, Sylvie Auvray …), de bijoutiers  d’avant-garde et de designers (René Lalique, Suzanne Belperron, Art Smith,  Bless, Tony Duquette …), de bijoutiers contemporains (Gils Bakker, Otto Künzli,  Dorothea Prühl, Sophie Hanagarth …) ou de joailliers (Cartier, Van Cleef &  Arpels, Buccellati …). Plus de 270 artistes et créateurs sont ainsi exposés.Il fallait bien sûr un fil  conducteur pour présenter autant de pièces. Anne Dressen, la commissaire, a  choisi quatre thématiques : l’identité, la valeur, le corps, et le rite. ...  (Lire).
 
 
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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