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      |  |   |  |  | Lettre n° 437du 13 septembre 2017
 |  | Nos sélections de la semaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Alexandre Icovic
 
 
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      TRAHISONS de Harold Pinter. Mise en scène  Christophe Gand.Deux  ans après leur rupture, Emma a donné rendez-vous à Jerry dans le bar qu’ils  fréquentaient autrefois. Ils ne se sont pas revus depuis ce jour où dans le  petit studio discret loué pour assouvir leur passion, ils ont mis fin à leur  relation. La conversation s’amorce avec les banalités d’usage avant qu’Emma ne donne  la raison de son appel. Elle et Robert, son mari et meilleur ami de Jerry, ont  décidé de se séparer. Fragilisée par cette décision, Emma s’est naturellement  tournée vers son ancien amant qui, lui, a visiblement tourné la page. Sa gêne  d’être là est palpable. Seule la crainte que Robert soit au courant de leur ancienne  liaison le taraude. ... (Lire).
 
 
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       Photo F. Rappeneau
 
 
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      CONFIDENCES  de  Joe Di Pietro. Adaptation Eric-Emmanuel Schmitt. Mise en scène Jean-Luc Moreau.« Toute  chose n’est pas bonne à dire », même lorsqu’un couple est uni. Celui que  forment Georges et Florence a su esquiver les écueils, chacun croyant en la  sincérité de l’autre. Mais lorsque, pour la première fois, Georges bat son fils  au tennis, lui et Florence « traitent l’information ». Maxime a  manifestement la tête, voire le cœur ailleurs, d’autant que sa jeune épouse  Amélie, récemment maman, tend à oublier son rôle de femme pour se consacrer à  celui de mère. L’aveu, long à formuler, consterne quelque peu les parents, surtout  quand Amélie, consciente de son comportement vis-à-vis de Maxime, leur confie la  surprise qu’elle vient de lui ménager.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Yann Kukucka
 
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      CHEVEUX.  Texte, jeu et mise en scène de Julie Fonroget et Laureline Collavizza. Les  cheveux. Pas assez, et voilà la virilité qui s’escamote. Trop, et la réputation  de la femme s’en trouve dévoyée. De quoi se faire des cheveux ! Qu’on le  veuille ou non, nul n’échappe au regard d’autrui en ce domaine. La pilosité est  source permanente de quolibets, de stigmatisations, de coercitions, de  fantasmes, quelles que soient les sociétés, les religions, les époques.
 Si  la calvitie est un traumatisme récurrent chez les hommes au point de bloquer  leur libido, certains rituels religieux ne trouveront rien à redire à ce qu’on  l’impose aux femmes. Force d’un côté, péché de l’autre. Samson versus  Marie-Madeleine, l’ultime poussée capillaire de l’un détruira les méchants Philistins ;  l’ample chevelure de l’autre essuiera les pieds divins ou voilera, à grand  peine, ce sein que l’on ne saurait voir en peinture. C’est qu’il a la vie  tenace, ce paradoxe, ou cette hypocrisie ?  ... (Lire).
 
 
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       Photo Evelyne Desaux
 
 
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      LA  DAME DE CHEZ MAXIM de Georges Feydeau. Mise en scène Johanna Boyé.Ce  qui caractérise Georges Feydeau, ce n’est à coup sûr pas la vraisemblance  linéaire de l’intrigue, mais avant tout son mouvement irrésistible. Une suite  sans répit de quiproquos s’enchaîne à partir d’un événement convenu, ici la  nuit plutôt arrosée et égrillarde d’un médecin banal. Marié à une bourgeoise  pieuse et coincée, il est allé s’encanailler auprès de la Môme Crevette, une  danseuse affriolante et plus que court vêtue, qu’il a eu l’idée saugrenue de  ramener chez lui. Au réveil, tout va déraper, l’oncle lointain dont on guette  l’héritage s’invite inopinément, force est de trouver sans réflexion préalable  une solution aux aléas qui vont découler du premier mensonge.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Marc Gino
 
 
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      JEAN MOULIN, ÉVANGILE.  Fiction historique de Jean-Marie Besset. Mise en scène Régis de Martrin-Donos.  L’histoire se  construit à partir des témoins qui l’ont référée sur le moment et des  historiens qui l’écrivent avec le recul exigé par le temps avec plus ou moins  d’objectivité, surtout lorsque les faits se sont déroulés dans la clandestinité.  Les résistants de la dernière heure et les traîtres arrangent les faits à leur  façon. Les héros et leurs proches ne sont plus là pour rétablir la vérité. Les  années, quant à elles, se chargent de brouiller les pistes, ne laissant  derrière elles que le squelette décharné de ce qui a vraiment eu lieu et de ce  que l’on veut bien entendre. C’est ce que l’on nomme « la version  officielle ».  ... (Lire).
 
 
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       Photo Pierre François
 
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      DE PÉKIN À LAMPEDUSA. Texte  et mise en scène Gilbert Ponté avec Malyka R. Johany. Il était une fois une gazelle, qui  courait plus vite que le vent, dans les ornières de l’asphalte de Mogadiscio.  Elle ne savait pas, ne voulait pas savoir qu’au pays des shebabs de Somalie, la  femme n’est rien. Rien du tout, simplement un corps enfoui dans des voiles  opaques. Mais la gazelle têtue courait la nuit sur le stade désert, le jour  dans les rues de tous les dangers, les yeux levés vers les étoiles de la  victoire. La passion l’emporte toujours sur la résignation. Se mesurer aux  déesses du Panthéon, tu n’y penses tout de même pas, ma fille ? Eh si,  sélections, délégation officielle, finale, oui. Même si les baskets sont trop  grandes, même si personne ne la remarque vraiment derrière les stars de la  piste. Elle est à Pékin, elle vole sur le petit nuage de ses illusions de  championne. Plus rude sera la chute dans l’enfer des assassins patentés, dans  l’anonymat terrifiant des femmes.  ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS et SITES 
 
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       Photo © Hokkaido Museum of Modern Art
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      DERAIN, BALTHUS, GIACOMETTI. Une amitié artistique. L’entrée dans  les collections du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris de la Grande Bacchanale noire (1935-1945) de  Derain (1880-1954) est l’occasion de rendre hommage à ce « second Derain »,  celui des années 1920-1930 et surtout des toutes dernières années, incompris du  grand public, qui préfère ses années fauves à ses toiles tout imprégnées du  passé. Et pourtant « c’est en entrouvrant la porte du passé que Derain  fait remonter vers le XXe siècle toute l’énergie de la peinture des temps  lointains. » Giacometti (1901-1966) et Balthus (1908-2001) le comprennent  très vite. Ces trois artistes vivent une amitié exceptionnelle faite  d’admiration et d’estime réciproques. C’est ainsi que Balthus organisera en 1970,  à la Villa Médicis, une rétrospective de Giacometti et en 1976 une autre sur  Derain.Les quelque 350 œuvres (peintures,  sculptures, œuvres sur papier et photographies) provenant des plus grandes  institutions d’Europe, d’Amérique et du Japon montrent, tout au long d’un  parcours en huit sections, les ressemblances et les interactions entre ces  trois artistes. ...  (Lire).
 
 
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       Photo Spectacles Sélection
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      PANTHEON. Accès au dôme. Selon la volonté de Louis XV, l’église  Sainte-Geneviève a été construite au centre de Paris de 1764 à 1790. Le 4 avril  1791, l’Assemblée constituante décide de la transformer en Panthéon. La crypte  y accueillera désormais les sépultures des grands hommes : Voltaire,  Rousseau, puis des grands serviteurs de l’État, proches de Napoléon. Viendront  ensuite, après Victor Hugo, mort en 1885, ceux qui ont mérité de la patrie par  leur engagement citoyen ou leur défense des valeurs républicaines, tels Victor  Schoelcher, Jean Moulin, Marie Curie, Alexandre Dumas. Depuis 2013, le chef d’œuvre de l’architecte  Soufflot est en travaux. En effet il a beaucoup souffert, en particulier suite  à des manques d’étanchéité et à la corrosion des éléments métalliques insérés  dans les maçonneries. La première étape de cette vaste campagne de restauration  concernait la coupole, le lanternon et le tambour avec sa colonnade. Elle est  terminée et le public peut de nouveau accéder aux parties hautes du Panthéon. ...  (Lire).
 
 
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 |  |   | THÉÂTRE |  |  |  | 
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    |  | EXPOSITIONS |  |  |  |  
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    |  | CONCERTS(musique classique)
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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