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Lettre n° 431
du 12 juin 2017
 

Nos sélections de la semaine

 
 

 

 


 
      THEATRE

 
 


Photo Brigitte Enguerand

 

HISTOIRE DU SOLDAT de Ramuz et Stravinsky. Mise en scène Stéphan Druet. Direction musicale Jean-Luc Tingaud. Chefs d’orchestre Olivier Dejours ou Loïc Olivier.
La rencontre de deux artistes est parfois le creuset d’une œuvre originale. De l’amitié qui lie Stravinsky et Ramuz naît en 1918, comme le décrit Ramuz, « une espèce de petit théâtre ambulant », « une lanterne magique animée » où la musique se joint à la narration pour créer un spectacle inspiré d’un conte populaire russe d’Afanassiev.
Un soldat en permission rentre dans son village où l’attendent sa mère et sa promise. Fatigué d’avoir si longtemps marché, il s’assoit au bord d’un ruisseau et sort de son paquetage un petit violon dont il joue quelques notes. Un passant entend le son de l’instrument. Il propose au soldat de le lui échanger contre le livre qu’il porte et dont il vante les mérites : « C’est un livre qui dit les choses avant le temps ». Contre son violon, l’homme lui remet ce livre « coffre-fort ». La fortune fait du soldat un homme libre de tout acheter, sauf l’essentiel. Il comprend alors qu’il est le jouet du diable mais signe un nouveau pacte. Du tentateur ou du tenté, qui gagnera la partie ?... (Lire).


 


Photo Lot

 

LUCRÈCE BORGIA de Victor Hugo. Mise en scène Henri et Anne-Marie Lazarini.
Comment avouerait-elle à Gennaro qu’elle est sa mère, qu’il est le fruit d’un inceste abhorré ? Il est jeune, plein de fougue, en quête d’une mère que son cœur innocent ne peut identifier qu’à une image de pureté. Elle est précédée d’une réputation détestable, pleine d’opprobre, de sang et de fureur. Le carnaval de Venise l’autorise à suivre l’objet de sa tendresse cachée. Démasquée, au sens propre, par les compagnons de Gennaro, elle ne se résigne pas à un aveu qui le ferait fuir. Elle préférera encourir la vengeance de son époux, le Duc d’Este, qui la croit adultère, et s’enferrer dans le mutisme au moment même où l’on croirait le dévoilement possible. Passée maîtresse dans l’art des poisons, elle ne l’est pas moins dans celui du contrepoison et choisit le sacrifice pour sauver son fils. En vain. Gennaro commettra l’irréparable avant de comprendre qui elle était en réalité. Parlerait-on de rédemption posthume ? Lucrèce peut-elle être sauvée par son calvaire et sa mort ? ... (Lire).



 
      EXPOSITIONS

 
 

© Musée Rodin (photo Christian Baraja)

 

RODIN. L’exposition du centenaire. A l’occasion du centenaire de la mort d’Auguste Rodin (1840-1917), le musée Rodin et la Réunion des musées nationaux Grand Palais se sont associés pour célébrer cet artiste. Ceux qui ont visité le musée Rodin (Lettre 393) ne feront pas de découvertes sur ce sculpteur et l’ensemble de son œuvre. Les organisateurs en étaient certainement conscients en préparant cette rétrospective puisqu’ils l’ont axée sur l’influence de Rodin sur les jeunes artistes de son temps, dont beaucoup ont travaillé dans son atelier, et sur les artistes contemporains qui ont vu ce qu’il y avait de novateur dans l’œuvre du Maître.
L’exposition se déploie en trois grandes parties : « Rodin expressionniste », « Rodin expérimentateur » et « Rodin l’onde de choc ». La scénographie est aérée et permet la plupart du temps de tourner autour des sculptures. [...]
Dans la première partie, après le fameux Buste de Rodin (1892) par Camille Claudel (1864-1943), nous voyons les œuvres phares de cette première période de Rodin, où il se libère du sujet au sens traditionnel du terme pour faire parler le corps, « un moulage où s’expriment les passions » comme il le définit. Parmi les grandes compositions de cette époque, nous avons les Bourgeois de Calais (1884-1889), présentés ici dans une épreuve moderne en plâtre (2005) et surtout La Porte de l’Enfer (1880-vers 1890) d’après Dante, dont on voit les principaux personnages composant cette porte ... (Lire).

 

 
 
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