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      |  |   |  |  | Lettre n° 430du 5 juin 2017
 |  | Nos sélections de la semaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Raynaud de Lage.
 Comédie Francaise
 
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      UNE VIE de Pascal Rambert. Mise en scène et scénographie Pascal Rambert.Dans  le studio d’enregistrement d’une radio, l’élégance du mobilier Knoll est  inattendue. Un critique d’art au costume impeccable s’apprête à interviewer un Invité, artiste peintre reconnu, venu là en  tenue négligée. La documentation que l’Interviewer a apportée est  impressionnante. Il a beaucoup lu pour préparer l’émission. L’Invité en éprouve  de la contrariété. Pour lui, se retourner sur le passé est tragique. Les  questions tournent autour de la signification des portraits auxquels s’est  particulièrement dédié l’artiste, des visages immenses, des sexes aussi. Pour lui,  il faut essayer d’y « mettre du corps » et c’est difficile :  « Il faut regarder par où l’être humain respire ». Ces visages où le critique  a cru déceler de la peur est l’expression de la jouissance. L’Invité tente  d’expliquer son approche artistique. Une phrase souvent prononcée par sa mère, « À  la bonne heure ! », lui vient à l’esprit. « Ma mère était dans  cette phrase… Je dis cette phrase et ma mère apparaît avec des pivoines… »,  « Les êtres chers vivent dans nos phrases mais il n’y a plus de visages … « C’est  pour cela que vous avez créé le jardin ? » lui demande alors l’Interviewer.  La question est là. Pourquoi s’être détourné des êtres, des visages, pour ne  plus peindre que la nature ?    ... (Lire).
 
 
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       Photo Pascal  Gély
 
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      PUZZLE. Adaptation du film « Portrait  d’une enfant déchue » de Jerry Schatzberg par Elisabeth Bouchaud. Mise en  scène Serge Dangleterre.Elle  est belle, il la regarde avec admiration et tendresse. Belle, elle l’a été  encore davantage du temps de sa splendeur de mannequin, qui faisait la  couverture des plus grands magazines. Lou vit dans une réclusion insulaire,  qu’elle a elle-même choisie et qu’elle ne supporte plus. Aaron, venu  l’interroger sur les étapes de sa vie, dans la perspective d’un film, révèle  par ses questions le portrait d’une femme complexe, intimement écartelée entre  la nostalgie de sa beauté enfuie, du moins le croit-elle, ses velléités  d’artiste, ses illusions de retour au monde d’avant, et surtout ses relations  névrotiques aux hommes. S’invente-t-elle les amours qu’elle évoque, depuis sa  prime adolescence ? A-t-elle réellement oublié ses amours effectives,  entre autres avec Aaron ? Feint-elle une amnésie dilatoire ?  Elle est  en pièces d’elle-même, au cœur d’une vraie souffrance, qu’elle exprime avant  tout par la fébrilité croissante de ses gestes, la montée en hystérie de ses  souvenirs, avant de retomber dans une apathie rêveuse où elle se terre, dans un  fauteuil, dans un châle, dans les traits du visage qui s’altèrent, dans les  sourires en rictus, dans le regard qui se voile.     ... (Lire).
 
 
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       Photo Alejandro  Guerrero
 
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      MISES EN CAPSULES. 16  pièces courtes.L’exercice  pourrait paraître périlleux : faire défiler chaque soir cinq pièces  courtes d’une demi-heure, avec un entracte de quinze minutes entre elles.  Chacune de ces prestations se retrouvera à jour fixe deux fois par semaine,  dans un ordre différent selon les jours fixés. Le spectateur est invité à ce  défilé varié, joué par des acteurs très différents, dans des mises en scène  dépouillées, presque minimalistes, roulement oblige.
 Les  sujets en sont divers, en duos ou en troupes plus nombreuses. Du malade mental  au délire à la limite du fantastique, de la quête biographique à la réalité  triviale, du pastiche déjanté à l’héritage douloureusement assumé, le  « combattant théâtral », que devient le spectateur, franchit des  étapes décapantes, amusantes, déconcertantes, jamais pesantes par le rythme qui  leur est insufflé par des acteurs pleins d’énergie et de souplesse verbale et  corporelle. Le maître-mot de l’ensemble reste l’humour, l’ironie féroce, le  sujet qui décoiffe, le regard décalé. Une mention toute particulière va aux  très beaux portraits de femmes qui émaillent ce parcours.
 Ce  serait dommage de se priver d’une telle facétie en paillettes multiples.    ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS 
 
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       Photo © Bridgestone Museum of Art
 Ishibashi Foundation
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      TOKYO - PARIS. Chefs-d’œuvre du Bridgestone Museum. Collection  Ishibashi Foundation. Il y a de par le monde des collectionneurs qui, dès  le début de la constitution de leur collection, ont voulu la faire partager au  plus grand nombre. C’est le cas de Paul Guillaume, dont la collection est  visible au Musée de l’Orangerie qui accueille la présente exposition. C’est  aussi celui de Shôjirô Ishibashi (1889-1976) qui commence sa collection à la  fin des années 1920 et ouvre le musée Bridgestone en 1952 à Tokyo. C’est le  fondateur de l’entreprise de pneumatiques Bridgestone, traduction des deux  idéogrammes de son nom signifiant « pierre » et « pont ».  Il nait avec l’ère Meiji et s’intéresse non seulement à la technologie mais  aussi aux arts occidentaux. Son premier goût le porte donc vers des peintures  de l’école yôga, c’est-à-dire de style occidental. Puis, à la fin des années  1930, il acquiert des œuvres occidentales, surtout impressionnistes, qui s’accordaient  tout particulièrement à son goût.Son fils, Kan’ichiro Ishibashi et  son petit-fils, Hiroshi Ishibashi, ont continué d’enrichir la collection, l’ouvrant  à l’art moderne jusqu’à l’abstraction d’après-guerre. La fondation Ishibashi conserve  aujourd’hui plus de 2600 œuvres. Profitant des travaux de l’actuel musée, les  chefs-d’œuvre de cette collection sont montrés à Paris au musée de l’Orangerie, ...  (Lire).
 
 
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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