Si vous ne visualisez pas correctement cette newsletter, cliquez ici pour l'afficher dans un navigateur web
Vous serez alors redirigé sur le site de Spectacles Sélection ou vous retrouverez toutes nos newsletters.
Si vous n'êtes pas déjà abonné à cette newsletter, vous pouvez demander à la recevoir en cliquant sur le lien suivant :
www.spectacles-selection.com/abonnements


     
Lettre n° 423
du 17 avril 2017
 

Nos sélections de la semaine

 
 

 

 


 
      THEATRE

 
 


Photo Vincent Pontet. Collection Comédie Française


 

BAJAZET de Jean Racine. Mise en scène et scénographie Éric Ruf.
Après l’œuvre majeure que représente « Bérénice », Racine s’offre un sujet neuf mais très prisé à son époque : le désir de se pencher sur l’Empire Ottoman, ses coutumes et ses mœurs. Il s’inspire d’une histoire vraie survenue trente ans plus tôt, dont le Comte de Cézy, alors ambassadeur à Constantinople, avait été instruit, et en fait une tragédie, réunissant ses thèmes de prédilection dans le contexte oriental que lui offrent les actes menés par les passions d’un Sultan et de son entourage, résolus à coups de trahisons.
En partant avec son armée pour assiéger Babylone, le sultan Amurat a remis tous ses pouvoirs à sa favorite Roxane. Il lui a particulièrement recommandé de surveiller Bajazet, son frère, dont il suspecte l’ambition à tel point que, depuis son camp, il lui adresse l’ordre de le mettre à mort. ... (Lire).


 


Photo Lot

 

L’ECUME DES JOURS de Boris Vian. Mise en scène Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps.
Colin est riche, danseur, esthète gourmet de la vie, tout à l’insouciance de sa vie qui lui file entre les doigts comme l’argent de sa prodigalité. Chick, son ami dévoué, brûle ses modestes revenus dans l’achat ruineux des œuvres de Jean-Sol Partre et fait une cour timide à Alyse. La souris mutine joue les témoins, le « pianocktail » fait jaillir les Vénus fragiles comme sorties d’un boogie-woogie. Et le jazz est omniprésent, et surtout Duke Ellington. Dans cet univers de fantaisie poétique, surgit, radieuse et fragile, la très belle, la très malade Chloé. Colin ne résiste pas à l’amour. Le mariage signe les adieux à l’insouciance de la vie, la maladie et la mort se déchaînent, dans la fatalité de ce délitement incoercible. ... (Lire).


 


Photo Victor Tonelli

 

L’HISTOIRE D’UNE FEMME. Texte et mise en scène Pierre Notte avec Muriel Gaudin.
Elle est tombée, l’homme est passé avec une claque rieuse sur les fesses. Eternelle banalité de ce geste du machisme quotidien. Mais c'est la fois de trop, alors elle se met à dire non. Non aux postures qu’on attend d’elle, non au chantage larmoyant du compagnon congédié, à la plainte agressive du père déserté, non à la drague ordinaire des mâles ordinaires, à leur obscénité graveleuse. Alors elle va transgresser, inverser les rôles ataviques des sexes, des âges, des générations, des bienséances. Et elle se tait et elle part, laissant dans son sillage les regards médusés, les incompréhensions, les peurs surtout. Ce que c’est que de ne plus jouer le jeu, n’est-ce pas ? ... (Lire).



 
      CINEMA

 
 


Photo Fuji television network - Bandai visual - AOI pro inc Gaga corporation

 

APRÈS LA TEMPÊTE. Comédie dramatique de Kore-Eda Hirokazu (2016 - Japon - Couleur - Scope - 1h58).
Un homme rend visite à sa mère et lui tend un sac en plastique en lui disant « Je t’ai apporté ton gâteau préféré ». Réponse de celle-ci « Tu as besoin d’argent ? ». Tout est dit. Après avoir écrit un livre qui a remporté un prix et obtenu un certain succès, Shinoda Ryota est en panne d’inspiration, a divorcé et gagne péniblement sa vie en travaillant dans une entreprise de détectives privés. Malheureusement il a la passion des courses où il perd tout ce qu’il gagne au point de ne plus pouvoir payer la pension alimentaire de son fils.
Kore-Eda Hirokazu dresse un tableau fidèle et sensible de ses quatre personnages. Nous suivons Ryota dans son travail de détective, traquant les femmes et les maris infidèles, trouvant des arrangements avec les victimes pour se faire un peu plus d’argent, espionnant son ex-femme pour voir avec qui elle sort maintenant.
... (Lire).

 

 
      EXPOSITIONS

 
 


Photo Archives Durand-Ruel

 

Camille Pissarro « Le premier des impressionnistes ». Né sur l’île de Saint-Thomas, dans les Antilles danoises, où ses parents d’origine bordelaise s’étaient installés, Camille Pissarro (1830-1903) a appris le dessin et la peinture sans maître, ni école des Beaux-Arts. Arrivé à Paris en 1855 il fait la connaissance de peintres tels que Daubigny et surtout Corot qui lui dit « Puisque vous êtes un artiste, vous n’avez pas besoin de conseils. Sauf celui-ci pourtant : il faut avant tout étudier les valeurs. Vous voyez vert, moi je vois gris et blond. » A leur contact il se passionne, comme les futurs impressionnistes, pour le plein air et le paysage. Mais surtout, durant toute sa vie, Pissarro ne cesse d’innover, tant en peinture qu’en gravure, qu’il apprend avec Degas. C’est le premier à supprimer le noir et l’ocre de sa palette, ne conservant que les trois couleurs primaires et leurs composés, obtenant une peinture claire, typique de l’impressionnisme. Il conseillera à Cézanne d’en faire autant. Ce dernier déclarera que Pissarro est « Le premier des impressionnistes », d’où le sous-titre de cette exposition. ... (Lire).

 

 
 
THÉÂTRE
   
 
SPECTACLES
   
 
CINEMA
   
 
EXPOSITIONS
   
 
OPERAS
   
 
DANSE
   
 
CONCERTS
(musique classique)
   
 
CONCERTS
(sauf musique classique)
   

 
  Spectacles Sélection
13 chemin Desvallières
92410 Ville d'Avray
  Les articles complets sont disponibles sur notre site spectacles-selection.com.

Si vous n'êtes pas abonné à cette newsletter, vous pouvez demander à la recevoir gratuitement en cliquant sur le lien suivant : www.spectacles-selection.com/abonnements
 
         
      Pour vous désabonner, cliquer ici : www.spectacles-selection.com/desabonnement