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      |  |   |  |  | Lettre n° 420du 27 mars 2017
 |  | Nos sélections de la semaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Lot
 
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      LE SERMENT  D’HIPPOCRATE de  Louis Calaferte. Mise en scène Patrick Pelloquet.« Bon  Maman » s’effondre dans le salon, tandis que sa fille Madeleine, son  gendre Lucien et Papa le père de ce dernier en arrivent au fromage. Affolement  scandé de règlements de comptes conjugaux, indignation de l’autre ancêtre  intempestivement privé de dessert, on finit par appeler le docteur. Le médecin  de famille est parti à la chasse, a-t-on idée ! Deux praticiens vont se  succéder, Blondeau père et fils, au chevet de la syncopée qui s’est entre temps  réveillée, ne se plaint de rien, petite chose fragile malmenée par les deux  médecins qui s’acharnent sans aucun égard sur son corps-objet. Les diagnostics  divergent, l’un plaide pour l’intestin, l’autre pour le foie, avec la même  faconde hautaine et tyrannique. Ah, que le monde médical serait beau si on  pouvait se passer du malade, pour se consacrer à la seule maladie… Les prescriptions  délirantes se complètent, devant le couple Madeleine-Lucien qui acquiesce,  fasciné par le savoir de la Faculté. « Bon Maman » se rebiffe, mais  on la fera taire manu militari. ... (Lire).
 
 
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       Photo X
 
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      LE HORLA de Guy de Maupassant. Mise en scène  Slimane Kacioui avec Florent Aumaître. Un  homme évoque la tiédeur printanière, sa maison charmante, des bateaux qui  passent langoureusement sur la Seine toute proche, le trois-mâts comme un grand  oiseau blanc. Dans ce paysage idyllique, une première ombre, les sensations en  délicatesse, la fièvre qui s’invite, un doute qui assaille, l’humeur s’est  modifiée sans raison. Dans « ce sommeil perfide, caché près de moi »,  une présence insistante cherche à étrangler le narrateur. Ainsi s’inaugure une  lente descente aux enfers de la folie, zébrée de rémissions de courte durée,  d’échappées vers la ville ou vers le lieu de recueillement, ailleurs, loin. Le  journal en soliloque raconte les tentatives avortées pour se désengluer de  cette succion de vie, une fébrilité croissante entre cauchemar et veille de  moins en moins distincts. Les carafes se vident sans soif, l’hypnose de la  cousine s’assortit d’étranges sollicitations, les hallucinations se font  pressantes dans une temporalité qui prend une étrange élasticité. Le  « malaise inexplicable » oppresse le souffle, questions et  exclamations se conjuguent, haletantes, avec les prières angoissées à une  divinité peut-être salvatrice.    ... (Lire).
 
 
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       Photo Lot
 
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      LA PASSATION de Christophe Mory. Mise en scène Alain Sachs avec Pierre Santini, Éric  Laugerias.Ils  s’affrontent depuis des années et les urnes ont parlé. Le score est sévère. Le  président en place depuis cinq ans doit abandonner sa fonction à celui qui vient  de remporter les suffrages d’une population adepte du changement, parfois persuadée  que l’herbe est plus verte ailleurs. C’est le moment délicat de la fameuse  passation, dans le bureau du président sortant, loin des regards… quoique. Les commentateurs  des chaînes de télévision supputent sur le temps de l’attente, sur les dossiers  importants qu’ils doivent évoquer. Et cette fois, ils prennent leur temps. Frustré  par son échec et convaincu qu’il lui aurait fallu un second mandat pour mener  jusqu’au bout les reformes qu’il a entreprises, le vieux renard tente  d’expliquer au jeune loup les choses essentielles qu’il doit connaître :      ... (Lire).
 
 
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       Photo La Birba Compagnie
 
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      MICHAEL KOHLHAAS, l’homme révolté d’après Heinrich von Kleist. Seul en scène de  Gilbert Ponté. Tout est affaire de cercles concentriques. Cercle du quotidien  sans histoire de Michael Kohlhaas amoureux de ses chevaux, de sa femme, de ses  enfants. Cercle du monde proche, première fracture dans cet équilibre souriant,  avec ses petits féodaux sans vergogne, qui font vaciller le juste. Cercle plus  large de la Justice, de la Loi revendiquées, jusqu’à la  « Supplication » à l’Empereur. Michael Kohlhaas, fort de son bon  droit et de son sens immanent de la justice, franchit ces cercles à mesure que  croissent en lui le gouffre de la vengeance et le poison de la folie. D’une  presque banale histoire de morgue aristocratique va se lever la révolte  contagieuse et vengeresse des petits et sans grade, constamment floués par  l’impunité des hobereaux. Puisqu’il n’obtient pas réparation par la Loi,  Kohlhaas se fera le glaive d’une justice spontanée, aveugle et sanguinaire, qui  le débordera, même au moment où, touché par la grâce de la rédemption, lui-même  rend les armes et appelle à l’apaisement.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Gilles Rammant
 
 
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      JAMAIS, JAMAIS ! D’après Peter Pan et l’œuvre de James Matthew Barrie. Adaptation Jérémie  Sonntag, Florian Goetz et Viviane Gay.Quel  adulte ne s’est pas endormi en rêvant de Peter Pan volant dans les airs,  secondé par la Fée Clochette, pour aller délivrer les enfants perdus qu’a  raptés le vilain Capitaine Crochet ? Et le terrifiant crocodile et ses  dents monstrueuses, qui a avalé le réveil, pour une fois du côté des gentils  puisqu’il débarrasse le monde du méchant ? Et la nuit en devient  chantante, au matin on se lève la joie au cœur, les yeux encore pleins des  étoiles de la tendresse, de Wendy qui ressemble tant à Maman.    ... (Lire).
 
 
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       Photo Daniel Arnaudet / Jean Schormans
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      VALENTIN DE BOULOGNE. Réinventer  Caravage. Valentin est né en 1591 à  Coulommiers. Son père est peintre et vitrier et c’est certainement lui qui  forma son fils. Nous ignorons tout de sa jeunesse jusqu’à l’année 1614 où nous  savons avec certitude qu’il est à Rome, où il est peut-être arrivé dès 1609. Comme  pour toute une génération de peintre, son œuvre est marquée par la révolution caravagesque  même si Caravage (1571-1610) a quitté la ville en 1606. Il adapte avec son  propre tempérament les éléments de ce style caractérisé par le réalisme, un  clair-obscur dramatique, la peinture d’après le modèle vivant, des sujets tirés  de la vie quotidienne et des scènes d’histoire violente telles que Judith et Holopherne ou David et Goliath. A  partir de 1624, bien que français, il devient membre de la « Bent ». Il  s’agit de la confrérie des « Bentvueghels » (les oiseaux de la bande),  association de peintres flamands et lorrains qui hantent les tavernes et autres  endroits mal famés, où Valentin trouve bon nombre de ses sujets. Peu à peu il  devient l’un des peintres les plus en vue de Rome, à l’instar de son  compatriote Nicolas Poussin. ...  (Lire).
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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