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      |  |   |  |  | Lettre n° 418du 13 mars 2017
 |  | Nos sélections de la semaine |  | 
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       Photo Lot
 
 
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      LE SONGE D’UNE NUIT D’ÉTÉ de William Shakespeare. Texte français Jean-Michel Déprats. Mise en scène Lisa  Wurmser. Thésée  s’apprête à célébrer son mariage avec Hippolyta, la reine des Amazones. Une  dispute risque cependant de gâcher la fête. Egée prend Thésée à témoin. Il  destine sa fille Hermia à Démétrius. Mais Hermia aime Lysandre d’un amour  réciproque. Elle refuse de se laisser courtiser par Démétrius, lui-même aimé d’Héléna,  qu’il n’aime pas ! Thésée et Egée restent sourds aux arguments de la jeune  fille. Elle doit choisir entre cette union ou la mort. Pour vivre leur amour, les  deux amants n’ont d’autre choix que celui de s’enfuir en passant par la forêt. Imprudente,  Hermia révèle son secret à Héléna. Celle-ci prend le parti de suivre le couple,  bientôt talonnée par Démétrius mis dans la confidence. C’est ce moment que  choisit un petit groupe d’artisans pour répéter dans la forêt le spectacle qu’il  souhaite donner devant la cour le jour des noces. Or, au clair de lune, jeunes  gens et « artistes » entrent sans le savoir dans le royaume des fées  et de Titania et Obéron leurs souverains, dont les querelles troublent la  nature     ... (Lire).
 
 
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       Photo Antonia Bossi
 
 
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      TIMON D’ATHÈNES de William Shakespeare. Mise en scène Cyril Le Grix. Timon  est riche, d’une prodigalité sans mesure, tout à sa joie de vivre et de  partager avec ses amis. Voraces, âpres à dépouiller sans vergogne le généreux  donateur qu’ils inondent de leurs flatteries. Vient l’orage prévisible des  revers de fortune, et les oiseaux parasites de s’envoler sans un regard. Au  fidèle intendant venu quémander une juste rétribution des largesses d’antan,  les vautours opposent le refus de leur mauvaise foi. Et Timon se réfugie dans  le désert de son acrimonie. Haillons, coque de bateau en ruine, solitude  insondable. Pour seule compagne, le flot ininterrompu de sa haine de  misanthrope à l’aune de la générosité de naguère. Au creux du sable, il  découvre un trésor et, par l’odeur de l’or alléchés, les charognards reviennent  aussitôt rôder. Timon résistera aux flatteries des nouvelles sirènes, tout en  distribuant à la volée son nouveau trésor, avant de s’escamoter dans le néant.
 Le  propos de Shakespeare est plus amer que jamais dans cette tragédie, aucune  illusion, aucun pardon.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Jean-Christophe Lemasson
 
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      LES VIBRANTS de Aïda Asgharzadeh. Mise en scène Quentin  Defalt.Quand  l’absurde boucherie de 1916 sème les Gueules Cassées, la bouche faite pour le  baiser se fait gouffre baveux, le nez s’atrophie, le désespoir s’installe,  irrémédiable, terrifiant, suicidaire. De bandages en prothèse, le bel Eugène  n’a plus désormais que la grimace et la répulsion pour quotidien, malgré la  sollicitude de son infirmière Sylvie. Et pourtant, dans son paysage de  désespérance, passent alors la prothèse de Sarah Bernhardt, son irréductible  enthousiasme gouailleur et grondeur, ses projets insensés de rédemption par  l’enchantement du théâtre. Rien ni personne ne pourrait l’empêcher de donner de  la joie aux soldats revenus du front et de tout, de forcer Eugène à vibrer  encore. Croire pour faire croire, vibrer pour faire vibrer. Cyrano est  convoqué, et le nez en creux se fera nez en trop.  ... (Lire).
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    |  |  |  | SPECTACLES 
 
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       Photo Dominique Jacovides - Bestimage
 
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      SATURDAY NIGHT FEVER LE MUSICAL.  Mise en scène et  direction artistique Stéphane Jarny avec 25 danseurs-chanteurs-comédiens.Sur  la scène qu’il ne quittera pas de la soirée, Monty le MC raconte. Dans les  années 70, une bande de jeunes du quartier de Brooklyn vit dans la fièvre.  Fièvre de combattre les bandes ennemies, fièvre de séduire les filles, fièvre  de se démarquer, fièvre de sortir de la médiocrité par tous les moyens. Né dans  une famille italienne, Tony est l’un d’eux. Vendeur dans une quincaillerie, son  ambition le porte vers la danse. Un concours est organisé le samedi à l’Odyssée 2001, un dancing du quartier.  Il s’entraîne avec Annette, une copine, afin de remporter le premier prix doté  de 500 dollars. Mal aimé de ses parents qui lui préfèrent Franck, son frère  devenu prêtre, Tony recherche l’affection dont il est sevré et la  reconnaissance de son talent. Plus mûr que ses copains, il éconduit gentiment  Annette, amoureuse de lui, dans l’attente d’une rencontre plus sérieuse. Un  soir, il remarque Stéphanie, une beauté rousse, excellente danseuse. ...  (Lire).
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    |  |  |  | EXPOSITIONS 
 
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       Photo Spectacles sélection
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      KIMONO. Au bonheur des dames. Le sous-titre fait référence au  célèbre roman d’Emile Zola décrivant l’ascension fulgurante des grandes  entreprises commerciales et la disparition du petit commerce à la fin du 19e  siècle. A la même époque, après les guerres intestines entre seigneurs, le  Japon vit une période apaisée tout en étant fermé aux influences orientales. La  Maison Matsuzakaya, fondée en 1611, au début de l’époque d’Edo, ancien nom de  Tokyo, fabrique alors de somptueux vêtements qui ont fait sa renommée. Nous  pouvons en admirer quelques-uns dans cette exposition qui rassemble pas moins  de 150 pièces, les plus fragiles étant remplacées par d’autres en cours d’exposition  pour ménager leurs coloris.Le parcours est avant tout  chronologique. Après une brève introduction sur l’origine du kimono et la  présentation de la Maison Matsuzakaya, il commence avec l’époque Edo (1603-1868).  Aucun vêtement ancien mais des paravents montrant, en particulier, des kimonos  suspendus sur des supports horizontaux, illustration d’une coutume permettant  de faire état de sa richesse....  (Lire).
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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