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Lettre n° 413
du 1er février 2017
 

Nos sélections de la semaine

 
 

 


 
      THEATRE  
 


Photo Lot

 

PIÈGE MORTEL de Ira Levin. Adaptation Gérald Sibleyras. Mise en scène Éric Métayer.
Les premières mesures récurrentes de Lilies of the valley, musique de Jun Miyake, apportent à l’action son rythme enlevé, tout comme l’unique décor en renvoie l’atmosphère étrange. Nulle trace féminine, hormis un tricot en cours de réalisation, ne vient troubler la touche très masculine du bureau de Sydney Brown, décoré, entre autres, d’une imposante collection d’armes de différentes époques. L’auteur de pièces policières souffre du syndrome de la page blanche depuis un temps certain et vient de recevoir le tapuscrit d’un néophyte. Le jeune écrivain a suivi l’un de ses séminaires et, à considérer l’énervement du maître à la lecture du document, il en a retenu les leçons au-delà de toute espérance. Le diagnostic est sans appel : « Piège mortel » est une excellente pièce qui devrait rester des années à l’affiche à Broadway si elle est produite, ce qui ne fait aucun doute. Sydney Brown s’interroge. Comment s’attribuer la paternité de l’œuvre de ce « morveux » ? ... (Lire).


 

Photo Lot

 

LE CABARET BLANCHE de Cristos Mitropoulos et Léo Guillaume. Mise en scène Cristos Mitropoulos, Léo Guillaume.
La guerre qui tonne dans le lointain a créé des déserts. Familial, lorsque Pippo, trop petit pour être apte à jouer la chair à canon, entreprend un périple sans réponse sur les traces de son cousin, unique survivant de la tribu. Festif, quand les lieux de plaisir peinent à remplir leurs salles, faute d’un public masculin parti jouer les héros sans lendemain. Affectif, parce que ne survivent, dans les nuits parisiennes, que les déclassés, les marginaux, les inavoués ou inavouables. Ceux qui n’obéissent pas aux critères de la moralité ambiante, telle Blanche, travesti tyrannique qui dirige son cabaret, telle Violette sa jeune sœur qui oscille entre le trottoir menaçant et les lascives contorsions d’un orientalisme de pacotille, tel Sandrex clown grivois comme les chansons qu’il ne parvient pas à faire applaudir. Ceux qui se terrent faute d’autre lieu où vivre, des SDF en somme, Sans Destin Favorisé, que seule la musique maintient à fleur de survie, ... (Lire).


 


Photo Giovanni Cittadini Cesi

 

C’EST NOËL TANT PIS de Pierre Notte. Mise en scène et chansons Pierre Notte .
C’est Noël, tant mieux ? Une famille ordinaire s’apprête à passer la soirée dans la maison de la grand-mère dont c’est le dernier Noël avant l’hospice. Les parents, la soixantaine et 35 ans de mariage, attendent leurs deux fils et leur belle-fille. Le père met la dernière main au sapin, la mère rechigne à faire quoi que ce soit. Là-haut dans sa chambre, la grand-mère peine à respirer. L’ambiance n’est pas franchement au beau fixe ce que confirme l’arrivée des fils et de « la pièce rapportée ». C’est Noël, tant pis… ... (Lire).


 


Photo Laurent Lafuma

 

CENDRES DE CAILLOUX de Daniel Danis. Mise en scène Christian Bordeleau.
C’est une histoire de deuil inconsolable, de maison en ruines, de vie à reconstruire. Clermont dit Cailloux, veuf et père d’une petite Pascale, entreprend, pierre sur pierre, récolte après récolte, de déplier son cœur fripé par le chagrin. Sa fille grandit en témoin de ce père recroquevillé que la douleur abrutit et rend aveugle aux avances de la sémillante Shirley tombée en amour de ce cœur-corps à prendre. Mais il y a Coco, le bon à pas grand-chose, et sa bande de loosers éméchés, et leur stupide pari, et la jalousie opiniâtre. On pourrait espérer un happy end quelque temps entrevu. Les cailloux ont volé dans la mare, les yeux se sont désillés. Mais le cœur mortifié peut s’incendier comme les murs d’une maison, quand la loyauté exige sa livre de cendres. ... (Lire).



 
      EXPOSITIONS  
 


© Musée d'Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

 

FRÉDÉRIC BAZILLE (1841-1870). La jeunesse de l’impressionnisme. C’est la première rétrospective dans un musée national de ce peintre né à Montpellier.
Frédéric Bazille nait dans une famille de la grande bourgeoisie protestante qui le destine à la médecine. Tout en suivant les cours de cette discipline, à Montpellier puis à Paris, il suit des cours de dessin puis, en 1862, de peinture dans l’atelier du peintre suisse Gleyre. C’est là qu’il fait la connaissance de Sisley, de Renoir et de Monet qui deviendra son ami. Pendant sept ans il se partage entre Paris et Montpellier où il se rend durant l’été. Pour une raison inconnue (crise personnelle ?), Bazille s’engage en 1870 dans un régiment de zouaves, alors que Monet s’enfuit à Londres avec sa famille et que Cézanne se cache à l’Estaque. Trois mois plus tard il est tué au cours de son premier assaut, à Beaune-la-Rolande, près d’Orléans. Il n’a même pas vingt-neuf ans. ... (Lire).

 

 
 
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