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Lettre n° 620
du 16 juillet 2025
 

Nos sélections de la quinzaine

 
 

 

 


 
      THÉÂTRE

 
 


Photo H. Louvet



 

AMOUR, GLOIRE ET SECRETS de Erwin Zirmi. Mise en scène Vincent Messager. Avec Andréa Ferréol, Alexandra Vandernoot, Édouard Collin ou Vincent Messager, Erwin Zirmi, Mélissa Gobin-Gallon ou Morgane Touzain-Macabizau ou Alaïs Anger Borotra.
Elle a toujours caché son âge avec un soin jaloux et, depuis des décennies, Amandine Beaumont de La Pratte reste la star du cinéma français. Appartement de 400 m2, Bentley avec chauffeur, elle vient de signer le contrat d’un film à la production hollywoodienne. Entourée d’une bande de parasites qu’elle épaule régulièrement, l’argent lui file entre les doigts. Elle ignore totalement l’état de ses comptes tenus par Matéo, son secrétaire.
Nous sommes en 2008. La faillite de la banque Lehman Brothers et les agissements de Bernie Madoff défraient la chronique et vont lui rappeler un peu durement que l’argent ce n’est pas important… Jusqu’à ce qu’on n’en ait plus !
Amandine apprend avec stupeur l’annulation du tournage du film. Dans la foulée, Matéo qui n’hésite pourtant pas à vendre de la drogue pour éponger les dettes, lui annonce la mort dans l’âme que ses biens immobiliers sont hypothéqués et son compte en banque dans le rouge!. C’est le moment où sa fille s’aperçoit enfin que son mari la trompe, que son petit-fils adoré a encore un besoin pressant d’argent et qu’une jeune et jolie costumière polonaise fait son apparition avec une idée derrière la tête. Comment gérer les événements? Querelles et désespoir se succèdent jusqu’à ce que le passé s’invite et, avec lui, une bonne dose de résilience et pourquoi pas de quoi rebondir! ... (Lire la suite).





 

Photo Fabienne Rappeneau



 
LA SOIRÉE AVAIT SI BIEN COMMENCÉ de Sophie Depooter et Thibaut de Lussy. Mise en scène Guillaume Melanie. Avec Enora Malagre, Thibaut de Lussy, Charlotte Gouillon, Nicolas Audebaud.
Quarante ans, cela se fête. Agnès ne déroge pas à la tradition. Elle a invité en secret Alexandre et Claire, leurs amis d’enfance qui travaillent dans la même entreprise que son mari Paul-Antoine. Agnès est sur un petit nuage, elle s’apprête à annoncer une nouvelle de taille. Après 15 ans de mariage, alors qu’ils n’y croyaient plus, elle est enceinte. Le repas est prêt. Alexandre et Claire arrivent avec leur cadeau, un tableau du peintre de prédilection de Paul-Antoine. Malgré les essais culinaires d’Agnès pour le moins surprenants, la soirée s’annonce bien. Mais un petit grain de sable va gripper la machine si bien huilée en la personne d’une jeune femme de 20 ans, fille de leur patron. ... (Lire la suite).






 
      EXPOSITIONS ET SITES

 
 


Photo Palais Galliera,
musée de la Mode de la Ville de Paris.




 

WORTH. Inventer la Haute Couture. Voici une exposition inédite narrant l’histoire de la maison de couture Worth. Son fondateur, Charles Frederick Worth (1825-1895) est né en Angleterre où il se forme dans deux maisons de nouveautés. Il arrive à Paris en 1846 et débute comme commis chez Gagelin, un marchand renommé, avant de se faire rapidement un nom. C’est chez Gagelin qu’il fait la connaissance de Marie Vernet (1825-1898), une «demoiselle de magasin», qu’il épouse en 1851 et qui deviendra sa conseillère et son ambassadrice en portant ses créations. Ce sera le premier mannequin vivant de l’histoire. Elle sera aussi à l’origine de la rencontre avec Pauline de Metternich, femme de l'ambassadeur d'Autriche en France, qui sera l'une des premières clientes de la maison Worth.
En 1858, Charles Frederick Worth fonde la maison «Worth & Bobergh» avec le Suédois Otto Gustav Bobergh, au premier étage du 7 rue de la Paix. Le parcours suit alors une chronologie s’étendant du Second Empire (1852-1870) à l’entre-deux-guerres et montre comment la griffe Worth, grâce à la vision internationale de son fondateur, est devenue une référence incontestée, contribuant à consolider la place de Paris comme capitale mondiale de la mode.
La première partie retrace les débuts de la maison, son essor et sa clientèle, de 1858 à la veille de la Première Guerre mondiale. Par l’entremise de la princesse de Metternich, Worth habille la cour impériale jusqu’à l’Impératrice Eugénie qui restera sa cliente après la chute du Second Empire. Les robes exposées dans cette section montrent comment Worth fait évoluer la forme des crinolines en y ajoutant une multitude de garnitures, dentelles, broderies passementeries et galons.
En 1870, Worth et Bobergh mettent un terme à leur collaboration. Worth continue seul l’aventure, profitant de l’Exposition universelle de 1878 pour accroître sa renommée et apposer sa griffe «Worth» sur ses créations. Les sections suivantes nous présentent toutes sortes de vêtements portés par ses clientes. On y voit des tenues de jour, des tea-gowns (robes d’intérieur), des corsages, des capes du soir, des «visites», des manteaux d’opéra, des robes de bal, tout un ensemble de silhouettes portées au gré d’une journée. En 1894 la revue La Grande Dame constate que la vie de château impose de changer quatre fois de tenue par jour. «Le costume tailleur pour le matin, de lainage l'après-midi, la toilette d'intérieur à cinq heures et la robe du soir, qui «apparaît décolletée et d'étoffe luxueuse dès l'heure du dîner»». Les tableaux représentant des soirées mondaines montrent l’incroyable toilette des dames à cette époque. Il y avait aussi des bals costumés et l’imagination débordante de Worth permettait toutes les fantaisies depuis des imitations de costumes du XVIIIe siècle jusqu’à un costume de Zénobie, reine de Palmyre.
La cinquième section présente d’une manière spectaculaire des robes conçues pour des «clientes et moments d’exception» tels le couronnement de l’impératrice Élisabeth d’Autriche (Sissi), les couronnements d’Alexandre III, en 1883, et de Nicolas II, en 1896. ... (Lire la suite).





 
 
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