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       |  |  | Lettre n° 600du 18 septembre 2024
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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   |  |  | THÉÂTRE 
 
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               Photo Florian Cleret
 
 
 
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      LES  MARCHANDS D’ÉTOILES d’Anthony Michineau. Mise en scène Julien Alluguette.  Avec Guillaume Bouchède, Stéphanie Caillol,  Nicolas Martinez, Axelle Dodier, Julien Crampon, Anthony Michineau.Le décor minutieux, d’une belle  authenticité met instantanément dans l’ambiance. Nous sommes à Paris en juin  1942. Au sous-sol d’un dépôt de tissus, patrons et employés ont entrepris  l’inventaire en catimini. Raymond Martineau, patron du magasin familial, n’a  pas requis auprès des autorités la permission de travailler après l’heure du  couvre-feu. Yvette sa femme, Paulette sa fille, Louis, employé depuis longtemps  et Joseph, la jeune recrue, s’affairent. Les affaires marchent. Opportuniste,  le marchand écoule sans problème les pièces d’étoffe de couleur jaune… Des  coups de feu suivis des coups portés à la porte les glacent. Maxime fait son  apparition. Collabo de la première heure, sa « chasse aux juifs »  l’amène à s’assurer que l’un d’eux qu’il vient de blesser, n’a pas trouvé  refuge au dépôt. Il dit bien connaître Louis, très mal à l’aise d’avouer cette  relation. Mais Maxime n’en reste pas là. Il revient arguant que l’inventaire  n’a pas été déclaré. Il se fait fort d’obtenir le tampon de l’administration  contre un «petit cadeau» que le couple s’empresse de lui donner. La  routine du commerce, jusque là paisible, est bouleversée par les incursions de  plus en plus insidieuses de Maxime. Les secrets peu à peu dévoilés dérangent  les consciences et les plongent tous dans la plus grande détresse. ...  (Lire la suite).
     
 
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       Photo  Fabienne Rappeneau
 
 
 
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      VISITES  A MISTER GREEN de Jeff Baron. Adaptation et mise  en scène Thomas Joussier avec Thomas Joussier et Patrick Préjean.Un désordre indescriptible règne  dans le petit appartement aussi accueillant que son propriétaire. Négligé et  d’une humeur ombrageuse, Mister Green hésite à ouvrir une porte à laquelle plus  personne ne frappe depuis le décès de sa femme adorée quatre mois plus tôt.  Ross parvient tout de même à entrer. Il se présente: après un léger accrochage en  voiture avec ce piéton indiscipliné, le juge a requis une peine de six mois de  travaux d’intérêt général à son encontre. Il doit rendre visite à sa  « victime » chaque semaine afin de lui prêter assistance. L’accueil  est glacial. Enfermé dans sa coquille, Green éconduit Ross mais le juge  persiste. Alors le « condamné » n’a pas le choix. Il revient à  reculons.
 Une première information adoucit le  vieil homme: Ross est juif comme lui. Bon ! Un juif qui ne connaît  rien aux coutumes, donc à l’usage des placards et de la vaisselle mais qui lui  apporte une soupe délicieuse et surtout kascher ! Universitaire, cadre plein  d’avenir et de bonne famille, Ross impose sa présence avec tact. D’une visite à  l’autre, le dialogue s’instaure entre les deux hommes, l’un toujours bourru,  l’autre diplomate. La relation devient presque affectueuse jusqu’à l’aveu de  Ross sur ses préférences sexuelles. Certain de ses opinions, Green campe sur  ses positions. Chez les juifs on n’est pas gay. Chez les juifs on n’épouse pas  un goy… ....  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
 
 
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       Photo  Jerome Mignard
 
 
 
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      LA  LONGUE ROUTE de  Bernard Moitessier. Adaptation, mise en scène et jeu Thierry Lavat.Au moment où Bernard Moitessier et  son copain Loïc préparent «la longue route», un périple autour du  monde à la voile, le Sunday Time leur  coupe l’herbe sous le pied en organisant le Golden Globe Challenge, une course  autour du monde à la voile sans escale en solitaire, dotée d’un prix attractif.  Les deux hommes décident de rallier Plymouth afin de tenter l’aventure. Le  départ est donné le 22 août 1968. Bernard Moitessier s’embarque avec des  appareils photos et un poste de radio pour recevoir des nouvelles mais sans  radio pour se signaler. Un ingénieux système, connu de tous les marins, lui  permettra de tenir au courant les organisateurs et son entourage. Il répond à  l’appel du grand large avec son voilier Joshua, son copain de toujours. Si la lenteur qui caractérise les premières  semaines de la course engendre un coup de cafard, le rythme rapide repris par  le voilier est propice à la lecture et à la contemplation et compense les  incidents de parcours. Le journal de bord est tenu quotidiennement. Joshua file au gré des vents bienfaisants  qui lui procurent des moments intenses de détente et de bonheur. Seul en mer, le  navigateur est en harmonie avec l’océan et l’univers. Les mois passent, il  n’est pas pressé de rentrer. À  Noël, c’est le cap Horn  et un coup de cafard vite réprimé. Il ressent une grande paix, il sait qu’il va  réussir.
 Bernard Moitessier boucle son tour  le 18 mars 1969. En passe de remporter la course et contre toute attente, il abandonne  officiellement. Il a décidé de «quitter la terre pour habiter la  mer». Son message: «Je continue sans escale vers les îles du  Pacifique parce que je suis heureux en mer et peut-être aussi pour sauver mon  âme». ... (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
 
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       Photo The Philadelphia Museum of Art
 
 
 
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      SURRÉALISME. En  1924 André Breton publie son Manifeste du  surréalisme et réunit autour de lui des artistes de toutes les disciplines qui  partagent ses idées. Pour commémorer le centième anniversaire de ce mouvement,  le Centre Pompidou nous présente une vaste exposition réunissant plus de 500 peintures,  dessins, sculptures, films, photographies, documents littéraires etc. Les œuvres  exposées, parmi lesquelles on trouve les plus emblématiques du mouvement provenant  des plus grands musées du monde (Le Grand  Masturbateur de Salvador Dali, Les  Valeurs personnelles de René Magritte, Le  Cerveau de l’enfant et Chant d’amour de Giorgio de Chirico, La Grande Forêt de  Max Ernst, Chien aboyant à la lune de  Joan Miró) nous donnent une vision exhaustive du surréalisme, depuis sa  création jusqu’à sa dissolution officielle en 1969.La scénographie de Corinne Marchand s’inspire de celle de  Marcel Duchamp en 1947, qui avait conçu une exposition sur le surréalisme en  forme de labyrinthe. Le visiteur déambule ainsi de salle en salle en tournoyant  autour d’un noyau central où l’on accède par un souterrain obscure où l’on entrevoit  des photographies des principaux initiateurs du mouvement. Ce long couloir  débouche dans une vaste salle circulaire où est exposé le manuscrit original du Manifeste, tandis qu’une vidéo à 360°  nous explique la naissance du surréalisme par la voix reconstituée d’André  Breton.
 Les commissaires, Didier Ottinger et Marie Sarré, ont  privilégié une approche thématique du surréalisme. Tout d’abord, ils mettent en  avant les mythologies qui structurent son imaginaire poétique. La première  présentée, «Entrée des médiums», montre l’intérêt de ces artistes pour le  sommeil hypnotique, la voyance, l’écriture automatique, les frottages (Max  Ernst) ou les peintures de sable (André Masson). Vient ensuite le rêve dont l’interprétation  est inspirée par les travaux de Freud. «Le rêve ne peut-il être appliqué  à la résolution des questions fondamentales de la vie?» s’interrogent Breton et  Paul Éluard. Plus loin, «Le Royaume des mères» illustre ce thème emprunté à  Goethe, la faculté des mères, «c'est-à-dire des matrices et des moules [...] où  toute chose peut être instantanément métamorphosée en toute autre». Enfin, avec  «La pierre philosophale», c’est l’alchimie qui est mise en avant comme source d’inspiration.  D’ailleurs, des alchimistes figuraient parmi les membres du mouvement.
 D’autres salles présentent certaines des sources d’inspiration  littéraires des surréalistes....  (Lire la suite).
   
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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