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      |  |   |  |  | Lettre n° 581du 8 novembre 2023
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THÉÂTRE 
 
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       Photo Emilie Brouchon
 
 
 
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      SACHA  CONTRE GUITRY (TOUT CONTRE) de Sacha Danino. Mise en scène Ned Grujic. Avec Juliette Galoisy, Dominique  Bastien, Alexandre Guilbaud, Thomas Marceul.Kidnapper Sacha afin de l’emmener se  produire en Russie devant le Tsar Alexandre III, son parrain, a sans doute contribué  à semer la graine artistique dans la tête de l’enfant de cinq ans. Des années  plus tard, si Lucien Guitry, directeur du Théâtre de la Renaissance, voit d’un  mauvais œil les velléités théâtrales de son fils, il lui attribue tout de même un  rôle lors de la création de « l’Escalier », mais sous le pseudonyme  de Jacques Lorcey. Guitry, il n’y en a qu’un ! Une entrée en scène ratée dans  une autre pièce et la rivalité amoureuse des deux hommes pour Charlotte Lysès,  mettent le feu aux poudres…
 Pourquoi ne pas plonger dans une  biographie lorsque l’on est un quadra au chômage en mal de père, au grand dam  de son épouse, surtout lorsque l’ouvrage retrace une brouille longue de treize  ans? Alexandre y trouve un lien entre les relations rompues des Guitry et les  siennes qu’il tente de nouer avec un père aux abonnés absents. Postuler pour un  poste à la mairie où celui-ci est maire tourne court. Alors pourquoi ne pas  écrire une pièce, comme Sacha, dans l’espoir de voir, lui aussi, l’auteur de  ses jours assister à la première ? Sa présence enfin !
 Sacha Danino a l’idée originale de  faire dialoguer son héros avec les protagonistes de l’œuvre. Cette mise en  abîme voit se matérialiser les personnages et engendre des situations cocasses. ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
 
 
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       Photo Fabienne Rappeneau
 
 
 
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      L’EFFET  MIROIR de Léonore  Confino. Mise en scène Julien Boisselier. Avec François Vincentelli, Caroline  Anglade, Éric Laugérias, Jeanne Arènes.Après la publication de romans à  succès quelques années plus tôt, Théophile subit le syndrome de la page blanche  à la grande inquiétude de son éditeur et au désarroi de sa femme, lasse de  faire bouillir la marmite. L’achat d’un miroir déclenche chez l’auteur une  réelle inspiration. Contre toute attente, il se remet à l’ouvrage sous la forme  inattendue d’un conte ayant pour personnages des animaux marins. Qui dit conte,  dit enfant. Son éditeur et sa femme, aussi perplexes l’un que l’autre, tentent  de le détourner de cette idée saugrenue et de l’encourager à poursuivre  l’écriture de ses récits romantiques. Mais Théophile persiste et signe. À la  lecture du tapuscrit, c’est le cataclysme. Son entourage est persuadé de voir  dans les créatures qui peuplent ce conte aquatique une image négative d’eux-mêmes.  La stupéfaction de Théophile est à son comble. Il tente de les détromper mais personne  n’en démord. Au cours du dîner qui rassemble les deux frères et leurs conjointes,  les griefs se succèdent, les règlements de compte aussi.
 Voir la famille ou les amis  convaincus de se retrouver dans un personnage au comportement peu flatteur, est  le revers de la médaille pour tout écrivain qui tente de s’en défendre avec ou  sans raison. Et pourtant, la crise existentielle que traverse Théophile  n’est-elle pas celle du bigorneau de son histoire ?! ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
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 |  |   |  |  | SPECTACLES 
 
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       Photo Bernard Martinez
 
 
 
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      LE  PIANISTE AUX 50 DOIGTS. L’incroyable  destinée de György Cziffra de et avec Pascal Amoyel.Un ultime moment de concentration  avant le concert. Les doigts de Pascal Amoyel caressent distraitement les  touches du piano et son esprit vagabonde. Une lettre retrouvée dans une  partition, libellée à son adresse 16 rue Ampère, le transporte vers un passé  commun avec l’un des plus grands pianistes de son temps qui, signe du destin,  vécut à cette même adresse. Il mesure alors la chance qu’il eut d’être l’élève  de György Cziffra avant d’évoquer le destin tragique de celui-ci, né de parents  tziganes dans un quartier déshérité de Budapest avant d’être broyé dans  l’horreur de la Seconde Guerre Mondiale puis par le régime soviétique. Les doigts  dans le cambouis ou maniant les pierres des carrières plutôt que courant sur un  clavier, György Cziffra passa des années loin de son art avant d’être reconnu  par le régime. Malgré des séquelles, cette éclipse n’altèra pas l’immense  dextérité qui le rendit célèbre et fit de lui l’un des plus grands virtuoses du  XXe siècle.
 Ponctuant les souvenirs de ce passé,  les extraits d’œuvres se succèdent au piano et même à la scie musicale. Du  piano, Pascal Amoyel en extrait des sons comme celui qui restitue de façon stupéfiante  celui d’un train qui s’ébranle. Liszt, Bartók, Chopin, Rapsodie, Nocturne ou  les multiples façons de jouer Happy Birthday à la manière de Strauss, Mozart, Beethoven, Debussy, Schönberg, Rachmaninov,  sidèrent un public fasciné.  ... (Lire la suite).
   
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo Paris Musées / Petit Palais
 
 
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      TRÉSORS EN NOIR ET  BLANC. Après la fin de l’Exposition universelle de 1900, le Petit Palais  devient le musée des Beaux-Arts de la  ville de Paris pour abriter une collection permanente allant de l’Antiquité à  la fin du XIXe siècle. Ce musée ouvre en 1902 et bénéficie cette année-là d’une  donation exceptionnelle des frères Eugène et Auguste Dutuit, qui cèdent leur  collection riche de près de 20 000 œuvres dont 12 000 gravures,  patiemment rassemblées par Eugène en près de cinquante ans. Il s’agit d’estampes  anciennes et le directeur de l’époque, Henri Lapauze (1867-1925), décide alors de  créer au sein même du Petit Palais un Musée de l’Estampe moderne afin de s’ouvrir  à la création contemporaine. Pour cela il sollicite des dons de la part des  artistes et de leurs parents, des galeries et des collectionneurs. En peu de  temps, plus de 3 000 estampes sont recueillies dont 1 500 sont exposées dans un  nouvel espace du Petit Palais, créé en 1908. Par la suite le fonds a continué  de s’accroître par des dons, des legs et des achats et compte aujourd’hui plus  de 20 000 estampes. Avec près de 180 œuvres présentées dans la présente  exposition, nous avons un petit aperçu de cette exceptionnelle collection.Le parcours est  divisé en trois grandes sections correspondant aux trois phases d’acquisition  du cabinet d’art graphique du Petit Palais. La première nous présente des  gravures acquises par Eugène Dutuit (1807-1886). Elles sont réparties en quatre  cabinets consacrés à Albrecht Dürer (1471-1528), Jacques Callot (1592-1635),  Rembrandt (1606-1669) et Francisco de Goya (1746-1828). À part pour Goya dont  il ne cherchait à collectionner que les estampes rares comme Les Ménines d’après Vélasquez et des  pièces uniquement tirées par Goya lui-même, tel que l’album des Caprices, soit un total de  soixante-quatre estampes, Eugène Dutuit avait réussi à rassembler la quasi-totalité  des œuvres de Dürer, Callot et Rembrandt. Mais ce qui est le plus remarquable c’est  qu’il s’était attaché à ne collectionner que des épreuves de très grande  qualité. Parmi celles-ci nous pouvons admirer, de Dürer, le fameux Rhinocéros (1515), Hercule à la croisée des chemins (vers  1498-1499) inspiré des Gladiateurs de Pollaiolo, également présents, La Grande Fortune (1501-1502), Adam et Ève (1504), Le  Chevalier, la Mort et le Diable (1513), Melencolia  I (1514), Saint  Jérôme dans sa cellule (1514), sorte d’autoportrait du graveur, et  quelques autres tout aussi remarquables....  (Lire la suite).
 
 
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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