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      |  |   |  |  | Lettre n° 574du 12 juillet 2023
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THÉÂTRE 
 
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       Photo Matthew Totaro
 
 
 
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      LE  VISON VOYAGEUR de  Ray Cooney et John Chapman. Adaptation Jean-Loup Dabadie. Version nouvelle  Sébastien Castro et Michel Fau. Mise en scène Michel Fau. Avec Michel Fau,  Sébastien Castro, Armelle, Nicole Calfan, Anne-Sophie Germanaz, Alexis  Driollet, Delphine Beaulieu, Arnaud Pfeiffer, Laure-Lucile Simon.La boutique de fourrures Bodley,  Bodley and Crouch fait fureur dans les années 70 à Londres. Les rôles des  associés sont bien répartis. Arnold Crouch crée les vêtements, Steve Bodley attire  la clientèle et sa femme Maud surveille les finances. Un vison blanc de toute  beauté vient de sortir de l’atelier. « Il est sublime ! On dirait que  c’est lui qui vous caresse », constate Crouch émerveillé par sa création,  fabriquée à partir de visons élevés avec amour dans le plus pur respect de la  gent animale. Un manteau qu’il évalue tout de même à 5 000 livres. Son enthousiasme  s’évanouit lorsque Bodley déclare avoir trouvé un stratagème un peu coûteux  mais imparable pour offrir la merveille à sa maîtresse sans éveiller les  soupçons du mari. Celui-ci, cependant, caresse un autre projet, bien que son  épouse soit déterminée à s’approprier la fourrure, quitte à sacrifier le peu de  vêtements qu’elle porte sur le dos. Passant d’épaules en épaules, le vison va  beaucoup voyager au grand désespoir de Bodley, de plus en plus empêtré dans ses  mensonges et au grand mécontentement du très strict Crouch. Pour sa part, Margaret,  la secrétaire dévouée, (formidable Armelle) a toutes les peines du monde à suivre  les événements … ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
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       Photo David Twist
 
 
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      ON NE COUCHE PAS AUX ENTERREMENTS de Christine Anglio. Mise en scène Manon Rony. Avec Christine Anglio et Laurie  Marzougui.Quelques cartons jonchent le salon  vidé de son mobilier. Fébrile, Isabelle attend Pauline, la meilleure amie de sa  sœur Ana, décédée quinze ans plus tôt. Elles se réunissent chaque année dans  l’appartement de celle-ci, suivant la promesse qu’elles lui ont faite de ne pas  se perdre de vue. Comment Pauline va-t-elle réagir à la vue de l’appartement  dévasté qu’Isabelle et son père ont vendu sans se donner la peine de la prévenir ?  Et comment va-t-elle prendre l’aveu que s’apprête à lui faire Isabelle après  toutes ces années de silence ?
 Difficile pour Isabelle d’aborder cette  confession. Dur, dur pour Pauline de la recevoir et de comprendre pourquoi tout  le village la déteste, même si elle n’est pas toute blanche non plus. La  réaction de Pauline est à la hauteur de ce qu’Isabelle craignait. C’est vrai,  quoi, on ne couche pas aux enterrements ! Au centre de la dispute, Michel.  Pourquoi ne pas convoquer son rôle dans l’affaire ? Pourquoi ne pas le  rendre un peu responsable après tout ? Surtout qu’une fois l’abcès crevé,  Isabelle a un autre secret à révéler et il est de taille !
 Réflexion faite, Isabelle et Pauline  n’auraient peut-être pas dû respecter cette promesse. ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
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 |  |   |  |  | SPECTACLES 
 
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       Photo Benjamin Delacoux
 
 
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      STOMP. Spectacle créé par  Luke Cresswell et Steve McNicholas avec huit artistes percussionnistes,  danseurs et comédiens.Fort de son succès mondial depuis sa  création en 1991, et après un passage à la Cigale en décembre dernier, STOMP se  produit à Bobino. On ne se lasse pas de retrouver la troupe britannique pour son  talent musical et sa scénographie époustouflante (Lettre n°443).
 Musiciens, danseurs et acrobates,  les huit comparses s’emparent de n’importe quel objet du quotidien pour en  tirer des sons les plus improbables. Balais, couvercles de poubelles, jerrycans,  bidons, ustensiles de cuisine, tubes, tuyaux et baguettes, claquements de  doigts ou de pieds, tout est bon pour engendrer un véritable concert de  percussions parfaitement synchronisées, d’une incroyable inventivité. La  lecture du journal, l’extraordinaire jeu des briquets « Zippo », le  ballet des chariots de supermarché ou celui des éviers sont mémorables. ... (Lire la suite).
   
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo Robert McKeever
 
 
 
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      BASQUIAT x WARHOL, À  QUATRE MAINS.  Andy Warhol naît en 1928 à Pittsburgh. Il s’installe à New York en 1949 et  devient l’un des illustrateurs et graphistes les plus cotés des États-Unis. En 1962 il commence à  utiliser un procédé de reproduction mécanique, la sérigraphie avec lequel il  réalisera à la fin des années 1970 des portraits de célébrités qui assureront l’essentiel  de ses revenus. Avec son principal galeriste, le suisse Bruno Bischofberger, il  fonde en 1969 Interview Magazine dont  Paige Powell, née en 1950, deviendra plus tard éditrice associée.Warhol a  déjà 32 ans quand naît Jean-Michel Basquiat, à New York. Sa mère, Matilde,  encourage son intérêt pour l’art en le menant dans des musées tels le MoMA ou  le Brooklyn Museum of Art. En 1968 il est renversé par une voiture et restera  un mois à l’hôpital après une ablation de la rate. En 1977, avec son camarade  de lycée, le graffeur Al Diaz, Basquiat envahit les murs de New York sous le  nom de SAMO. Il y met fin en 1979, année où il commence à peindre, réussissant  même à vendre à Warhol, dans un restaurant de Soho, deux cartes postales, des  collages qu’il réalise avec son amie Jennifer Stein. En 1981 Basquiat participe  à l’exposition collective « New York / New Wave » qui met en exergue  ces jeunes artistes de New York Downtown puis bénéficie de plusieurs  expositions personnelles, tout d’abord à Modène, en Italie, en 1981, puis à New  York et Los Angeles en 1982. C’est alors que Bruno Bischofberger devient son  représentant exclusif et le présente le 4 octobre à Warhol, à la Factory, l’atelier  mythique de ce dernier. Impressionné par cette rencontre, Basquiat se fait  photographier avec Warhol et s’éclipse. Deux heures après, son assistant porte à la  Factory Dos Cabezas, double  portraits dans lequel Basquiat s’est représenté à égalité avec Warhol, le père  du pop art. Celui-ci dira «Je suis jaloux, il est plus rapide que moi» ! ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
 
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       Photo  Fotoearte
 
 
 
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      BASQUIAT SOUNDTRACKS.  Tandis que la Fondation Louis Vuitton, qui s’est associée à la présente  exposition, ouvre ses espaces aux œuvres réalisées conjointement par Basquiat  et Warhol, le Musée de la Musique nous dévoile les relations complexes entre  Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et la musique. En effet c’est d’abord en tant  que musicien que Basquiat s’est fait connaître à la fin des années 1970,  faisant une brève carrière en 1979-1980 au sein du groupe expérimental Gray, qu’il  cofonde avec Michael Holman, où il joue de la clarinette et du synthétiseur.  Gray se produit dans les principaux lieux de la scène downtown mais ne réalise aucun album jusqu’à sa dissolution en  1980. Plus tard, en 1983, Basquiat produit un disque, Beat Bop, mettant en exergue les talents du rappeur Rammellzee. Ce  sera son unique participation dans ce domaine.Le parcours de l’exposition commence par situer Basquiat  dans l’univers musical de downtown New York à son époque, avec le jazz, sa musique préférée compte tenu de ses  origines africaines, comme lui, mais aussi le hip-hop et le rap. Il rêve d’une  musique composée avec les bruits de la ville. À vrai dire Basquiat aime toutes  les musiques et l’une de ses dernières œuvres, Eroica, présente à la fin du parcours, doit son nom à la Symphonie n°3  de Beethoven, dite Eroica.
 On dit que Basquiat possédait 3000 disques et qu’il  travaillait toujours dans son atelier avec une ambiance sonore, parfois même  avec plusieurs sources différentes. Quel est le lien entre la musique de ses  débuts et la peinture dans les années 1980 ?  ...  (Lire la suite).
 
 
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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