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      |  |   |  |  | Lettre n° 560du 21 décembre 2022
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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       Photo Pascal Gely
 
 
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      FLAMMES  DE SCIENCE – PRIX NO’BELL.  Texte Elisabeth Bouchaud. Mise en scène Marie Steen. Avec Clémentine Lebocey,  Roxane Driay, Benoit Di Marco.Après Flammes de science  -  Exil intérieur, qui retrace la vie de  la physicienne Lise Meitner (n°559), rendez-vous était pris pour celle de  Jocelyn Bell, astrophysicienne d’origine irlandaise.
 Si le parcours professionnel de Lise  Meitner se situe dans des années tragiques de l’histoire, propices à une forte  dramaturgie, celui de Jocelyn Bell, née en 1943, a lieu dans l’Angleterre des  années 60, une période historique moins troublée, excepté l’envie, pour les  étudiants britanniques, d’adopter en 68 le mouvement des étudiants français !  C’est pourquoi ce volet se concentre sur le caractère et le génie de la jeune  étudiante et son impossibilité, durant ses années de thèse, à s’imposer comme astrophysicienne,  face à un environnement exclusivement masculin. Elle est quotidiennement chahutée  par ses paires à l’université, pour être la seule fille à étudier la physique. Anthony  Hewish, son directeur de thèse - excellent Benoit Di Marco - s’approprie sa  découverte et obtient le Prix Nobel en 1974 sans que le nom de Bell ne soit  évoqué, malgré les réactions de ses confrères, scandalisés par cette injustice.  Mise à l’écart, seul le nom de Pulsar qu’elle donna à sa découverte, fut adopté.
 Bien accompagnée par Roxane Driay, dans  le rôle de Janet, colocataire et amie dont le parcours intellectuel est tout  aussi édifiant, Clémentine Lebocey, dopée par une mise en scène virevoltante,  insuffle au personnage de Jocelyn Bell cet enthousiasme qui était certainement  son moteur. On assiste là à la naissance d’une scientifique de génie de vingt  ans, très peu sûre de son niveau, mais dont le caractère passionné et positif  lui permet de poursuivre ses recherches sans jamais s’appesantir sur les  contrariétés.. ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo Spectacles Sélection
 
 
 
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      LES CHOSES. Une histoire  de la  nature morte. « Les choses », quel titre banal pour désigner une  grande exposition au Louvre ! Que dire aussi de ces « natures  mortes » où l’on peut représenter des plantes bien vivantes ? Avec  leur « still life », les anglo-saxons sont plus proches que nous de  la véritable nature de ces « choses » représentées par les artistes.  Sous la banalité de ce titre, l’auteure et commissaire Laurence Bertrand  Dorléac, nous invite à une revue chronologique et thématique de l’histoire de  ces choses telles que les ont vues les artistes, depuis la préhistoire jusqu’à  nos jours.Le parcours est conçu en quinze  sections auxquelles il convient d’ajouter une œuvre monumentale de l’artiste  camerounais Barthélémy Toguo, Le Pilier  des migrants disparus (2022), installée sous la pyramide.
 La première salle nous présente  un ensemble d’objets allant de la préhistoire, avec un dessin d’une œuvre  retrouvée sur le cairn de Gavrinis dans le Morbihan, jusqu’à une hache  néolithique emballée sous plastique dans un pain d’argile par Hubert Duprat (Volos, 2013). Entre les deux on  remarque, entre autres, une stèle égyptienne, la Madeleine à la veilleuse de Georges de la Tour (vers 1642-1644),  des compositions de Boltanski et deux films. En effet, la commissaire s’est  intéressée à toutes les formes artistiques aussi bien la peinture et la  sculpture que la photographie, le cinéma et la vidéo. Dans cette salle  l’extrait du film L’Épouvantail (1920) de Buster Keaton, où ce dernier utilise les « choses » avec  maestria, est particulièrement bien choisi.
 Il n’est pas possible de rendre  compte en détail de cette exposition où quelque 170 objets sont présentés.  Arrêtons-nous cependant sur quelques-uns particulièrement significatifs par  leur originalité ou leur perfection, comme ces mosaïques romaines représentant  un memento mori et des victuailles.  Elles nous rappellent qu’il faut profiter de la vie pendant qu’il en est temps ! ...  (Lire la suite).
 
 
 
 
 
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       Photo Spectacles Sélection
 
 
 
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      ZEP. Titeuf - 30 ans de dessins. Né en 1967 à Onex, dans le canton  de Genève, Philippe Chappuis, dit Zep, a donné naissance à Titeuf, un peu par  hasard, en 1993, alors qu’il dessinait des souvenirs d’enfance sur un carnet de  croquis. Aujourd’hui son personnage est devenu une icône mondiale. Plus de 20  millions d’albums de Titeuf ont été vendus dans plus de 25 pays. Il était donc  normal de fêter le trentième anniversaire de Titeuf dans une grande galerie  parisienne.L’exposition réunit une sélection  de dessins illustrant l’ensemble du parcours graphique et la vie du célèbre personnage  de BD : crayonnés préparatoires, couvertures, planches originales, depuis  1993 jusqu’à aujourd’hui. C’est une façon, pour les jeunes visiteurs, de  comprendre comment se fait une BD.
 La plupart des dessins exposés se  suffisent à eux-mêmes. Ils expriment les interrogations du petit garçon sur l’amour,  le sexe, la vie en société et à l’école. Tout cela est fait avec tendresse et s’exprime  la plupart du temps avec des gags, comme dans les commentaires sur les vins :  il a du nez, de la robe, agréable en bouche, illustrés avec les étreintes d’un  couple.
 On peut voir aussi toute la  galerie des personnages de Titeuf, certains récurrents (la copine), d’autres  apparaissant épisodiquement. Zep a également parodié Astérix en introduisant  Titeuf dans la célèbre bande dessinée. On le voit demander à Astérix et Obélix  s’ils ont peur et avouer qu’en fait lui a surtout peur d’embrasser une fille « Par  exemple est-ce que je dois mettre ma langue ? Et si je la mets est-ce qu’elle  va me mordre ? », etc..  ...  (Lire la suite).
 
 
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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