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      |  |   |  |  | Lettre n° 517du  3 février 2021
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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        Nous publions cette Lettre par égard pour tous ceux qui ont   travaillé à la réalisation des spectacles, films et   expositions sélectionnés. Vous    aurez un aperçu complet des expositions grâce au parcours  illustré de chacune d'entre   elles. |  |  
  
 
 
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 |  |   |  |  | THÉÂTRE 
 
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       Photo Jonathan Michel
 
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      DANS LES MURS. Texte de Vincent Farasse. Mise en scène Didier  Girauldon. Avec Guillaume Clausse et Jocelyn Lagarrigue. Sur  un espace scénique minimaliste, des volumes mobiles matérialisent les pièces de  l’appartement, les portes s’ouvrent vers l’intime ou le collectif. Deux hommes  vont s’y côtoyer, confesser, heurter, dans une situation ambiguë et  déconcertante. Chacun d’entre eux est un intrus à sa manière. Le premier à  occuper les lieux revendique le droit imprescriptible de tout travailleur  honnête à se loger décemment, le second invoque le respect dû à la propriété.  Qui sont-ils ? Où est le propriétaire des lieux, qui semble s’être escamoté si  bizarrement ? Dans une atmosphère de roman policier, l’affrontement met  aux prises un homme fragile et fébrile aux marges du délire, engoncé dans sa  révolte et ses certitudes, acculé à l’aveu et à la violence du désespoir, et  face à lui, un inquisiteur souriant et tenace, qui le pousse dans les  retranchements de ses incohérences, jusqu’au point de rupture où lui-même  laisse exploser, à son tour, une virulence hors de propos. Deux carrés de  chocolat font-ils la différence entre leurs hargnes respectives ?
 On  prend vite conscience que le véritable protagoniste de ce drame tragique et  grinçant est le lieu habitable. Édénique mais concentrationnaire dans le jardin  en contrebas, ou refuge aléatoire et menacé dans l’univers des pauvres. ...  (Lire la suite)
 (En salle prochainement).
 
 
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 |  |   |  |  | CINÉMA 
 
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       Photo Les Films du Bal
 
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      FUNAMBULES. Documentaire d’Ilan Klipper (2020 - France - couleur -  1h15).Ilan Klipper n’est pas seulement un réalisateur de documentaires (Flics, Commissariat). Il a aussi réalisé  des films de fiction comme Le Ciel étoilé  au-dessus de ma tête (Lettre n°454). Funambules est un mélange de  documentaire et de fiction. Ilan Klipper explique qu’il a choisi ses acteurs,  des personnes qui ont franchi la frontière qui nous sépare de la folie et qui  vivent maintenant « de l’autre côté du miroir », parmi « ceux  qui avait quelque chose en plus quand on les filme ; ceux qui permettent d’accéder  à un univers étrange, poétique ». Et c’est bien de cela qu’il s’agit. Le  comportement de ses interprètes – ils sont mentionnés au générique, comme les  personnes de leur entourage, et ont été rémunérés comme l’aurait été des  comédiens – est tout à fait étrange et nous plonge dans un univers insolite,  voire incroyable.
 Le film alterne entre les différents  protagonistes dont trois sont plus spécialement mis en avant car ils s’y prêtaient  bien. La première, Aube, 30 ans, vit recluse chez ses parents, angoissés par ce  qu’elle deviendra quand ils ne seront plus là. Elle mime des présentations d’objets  à la radio, rêve de refaire de la GRM, d’avoir une histoire d’amour … avec  un punk. Son univers est fait de formes et de couleurs qui se mélangent, ce que  le réalisateur exprime au début et à la fin du film par des images de grains  colorés qui s’agitent en tous sens et par des éclairages colorés de la maison  où elle vit.  ... (Lire la suite) (En salle prochainement).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat
 
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      MATISSE, COMME UN ROMAN. Henri Matisse (1869-1954) est né il y a 150  ans. Pour marquer cet anniversaire, le Centre Pompidou lui rend hommage avec  une exposition magistrale qui couvre la totalité de sa carrière depuis ses  premières toiles des années 1890 jusqu’à ses grandes compositions en gouache  découpée auxquelles il consacra les dernières années de sa vie.Le parcours de l’exposition est  conçu en neuf sections principales riches de plus de 230 œuvres et 70 documents  et archives. Une centaine d’œuvres sont issues de la collection du Musée  national d’art moderne, l’une des plus significatives par son importance,  représentative de toutes les techniques approfondies par l’artiste : dessin,  peinture, gravure, sculpture, gouache découpée. Parmi les autres contributeurs,  on note les deux musées Matisse, celui du Cateau-Cambrésis (son lieu de  naissance) et celui de Nice (où il est mort) et le musée de Grenoble qui a  prêté, entre autres, l’immense tableau Intérieur  aux aubergines (1911), sur lequel on a beaucoup glosé et qui est le seul des  « intérieurs symphoniques » resté en France.
 Au défi de faire le portrait de  Matisse, l'écrivain Louis Aragon avait répondu : oui, si c'est un roman. Il publiera  en 1972 Henri Matisse, roman. C’est  ce qui a inspiré Aurélie Verdier, la commissaire, non seulement pour le titre  de cette rétrospective mais aussi pour mettre en regard de chaque section des  commentaires d’écrivains, critiques et poètes ainsi que les propres écrits de  Matisse dont on possède des milliers de lettres. On appréciera en particulier  sa définition d’un tableau « fauve » (1905-1906).
 L’exposition commence avec un  tableau de Cézanne, Trois baigneuses (1879-1882),  acquis par Matisse en 1899, malgré ses difficultés financières. Ce tableau, véritable  talisman, le confortait dans ses recherches et lui permettait d’affirmer : « Si Cézanne a raison, j'ai raison, et je  savais que Cézanne ne s'était pas trompé. » Ce n’est qu’en 1936 qu’il s’en sépare en en faisant don au Petit Palais. ...
 (Lire la suite et voir le parcours).
 
 
 
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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