Si vous ne visualisez pas correctement cette newsletter ou si vous voulez accéder directement aux articles, cliquez ici pour l'afficher dans un navigateur web.
Vous serez alors redirigés sur le site de Spectacles Sélection ou vous retrouverez toutes nos newsletters.
Si vous n'êtes pas déjà abonnés à cette newsletter, vous pouvez demander à la recevoir gratuitement en cliquant sur le lien suivant :
www.spectacles-selection.com/abonnements


     
Lettre n° 505
du 10 juin 2020
 

Nos sélections de la quinzaine

 
 

 

 

Encore quelques semaines de patience et vous pourrez voir les films, spectacles, expositions et sites dont nous rendons compte durant cette période de fermeture. En attendant, comme d'habitude, vous pourrez avoir une idée très complète des expositions et des sites présentés avec nos parcours en images et en vidéos.

 

 
      EXPOSITIONS ET SITES

 
 


Photo Sophie Lloyd

 

CHÂTEAU DE CHAMBORD. Avec sa silhouette très spécifique, sa façade de 156 mètres de longueur, d’une hauteur de 56 mètres en son centre, son donjon de 44 mètres, ses 426 pièces, 77 escaliers, 282 cheminées et 800 chapiteaux sculptés, le château de Chambord est unique. Ajoutons que ce qui ne devait être qu’un relais de chasse est entouré par un parc boisé de 5440 hectares entièrement clos par une enceinte de 32 km, ce qui en fait le plus grand parc forestier clos d’Europe. On ne connaît pas les noms des premiers architectes mais on sait que François Ier, le « prince architecte », initiateur du projet en 1519, s’impliqua beaucoup dans sa construction, s’inspirant des nouveaux principes de l’architecture Renaissance. Cette dernière repose sur la géométrie, les rapports mathématiques et la régularité. C’est ce qu’on retrouve tout au long de la visite, en particulier dans le donjon. On glosera encore longtemps sur celui-ci, sur son escalier central à double révolution, sur son plan en forme de croix grecque, deux éléments retrouvés dans les notes de Léonard de Vinci, entre autres « architecte » de François Ier, mort peu de temps avant le début de la construction du château. De même, la rupture de symétrie dans les quatre logis qui entourent l’escalier central restera source d’interrogations même si aujourd’hui des explications se font jour. Heureusement, comme on va le voir, le visiteur a bien d’autres motifs d’intérêt en se rendant à Chambord.
Avant les récentes mesures prises pour lutter contre la COVID-19, les espaces du château ouverts au public pouvaient se visiter librement, sans ordre particulier, avec un dépliant sur lequel on trouvait le plan des différents étages et les principaux centres d’intérêt. Qui plus est, ce dépliant mentionnait ce qu’il fallait voir en priorité si on ne disposait que d’une heure pour la visite, une absurdité pour un château aussi vaste.
La masse imposante du château, au milieu de la forêt que l’on traverse pour y parvenir, sa situation au bord du canal creusé en détournant le Cosson, une petite rivière parcourant le domaine, ses vastes jardins à la française, constituent le premier centre d’intérêt. Une fois traversée la vaste cour, au milieu d’une enceinte de bâtiments, la vue de l’énorme escalier au milieu du donjon est surprenante. On se rend très vite compte que celui-ci, où deux personnes peuvent monter en même temps, en se voyant mais sans se rencontrer, est exceptionnel et constitue la clé du projet de François Ier. .... (Lire la suite et voir le parcours).


 
 


Photo Spectacles Sélection


 

CHÂTEAU DU CLOS LUCÉ. En 1471, Estienne le Loup, conseiller de Louis XI, acquiert la terre du Cloux, située à quelque 400 mètres du château d’Amboise, où il surveille les travaux pour le compte du roi. C’est lui qui fait bâtir l’élégant logis en briques roses et pierre de tuffeau d’un blanc immaculé, qui s’organise autour d’une tour d’angle octogonale abritant un escalier à vis entouré de deux bâtiments à deux étages construits en équerre. En 1490, le domaine est acquis par Charles VIII et devient pendant deux cents ans demeure royale et résidence d’été des Rois de France. Louise de Savoie y élève ses enfants, le futur François Ier et Marguerite de Navarre, femme de lettres et auteur de l’Heptaméron. Au XVIIe siècle le domaine entre dans le patrimoine de la famille d’Amboise, qui le cède en 1854 à la famille Saint Bris, des industriels qui viennent s’installer dans la région et qui se prennent de passion pour ce château. Georges Saint bris et son épouse entreprennent les premiers travaux de restauration, font creuser un étang et créent un jardin à l’anglaise. Hubert et Agnès Saint Bris l’ouvrent aux visiteurs en 1954. Depuis lors les travaux de restauration et d’aménagements du logis et du parc vont bon train faisant du Clos Lucé, nom provenant peut-être de « Virgo Lucis », la Vierge de Lumière, l’une des fresques du petit oratoire du logis, l’un des domaines les plus visités des châteaux de la Loire.
Aujourd’hui la visite du logis se fait selon un parcours imposé, décrit dans un dépliant relativement détaillé, remis à l’entrée. Elle commence par une galerie, ancien chemin de ronde transformé à la Renaissance en une sorte de loge à l’italienne, qui conduit dans la chambre de Léonard de Vinci. .... (Lire la suite et voir le parcours).


 

 
 
THÉÂTRE
   
 
SPECTACLES
   
 
CINÉMA
   
 
EXPOSITIONS
   
 
OPÉRAS
   
 
DANSE
   
 
CONCERTS
(musique classique)
   
 
CONCERTS
(sauf musique classique)
   

 
  Spectacles Sélection
13 chemin Desvallières
92410 Ville d'Avray
  Les articles complets sont disponibles sur notre site spectacles-selection.com.

Si vous n'êtes pas abonné à cette newsletter, vous pouvez demander à la recevoir gratuitement en cliquant sur le lien suivant : www.spectacles-selection.com/abonnements

Vous êtes inscrits dans notre fichier d’envoi suite à une demande de votre part ou parce que d’autres personnes ont pensé que notre Lettre était susceptible de vous intéresser.
Pour vous désabonner, cliquer ici : www.spectacles-selection.com/desabonnement