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      |  |   |  |  | Lettre n° 468du 12 décembre 2018
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Felix Lahache
 
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      LETTRE D’UNE INCONNUE d’après le roman de Stefan Zweig. Traduction Sylvie Howlett. Mise en scène  Laetitia Lebacq, assistée par Patricia Marquet, avec Laetitia Lebacq.Son  enfant est mort hier, plus personne ne la retient sur terre. Mais comment  quitter ce monde sans laisser une trace de l’amour inconditionnel qu’elle a  voué à un homme, amour qu’elle n’a jamais avoué et surtout pas à lui ? Une  lettre - testament, c’est ce qu’elle va laisser derrière elle pour l’informer enfin,  lui qui n’a jamais décelé cet amour lors des rares rencontres et étreintes qui  les ont unies.
 Le  roman épistolaire de Stefan Zweig décrit étape par étape la genèse et le  déroulement de cette passion qui transporte la personne qui la vit, la dévore  et la consume. L’émoi de la première fois, le cœur qui s’emballe, la gorge qui  se serre à chaque absence, le bonheur inouï mais la douleur aussi que provoque  une passion non partagée.
 Elle  avait treize ans quand elle vit l’écrivain emménager dans l’appartement en face  du sien et, à la seconde, son cœur fut captif. Il décida de ne plus battre que  pour lui, l’adolescente devint femme d’un coup.   ... (Lire).
 
 
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       Photo Ben Dumas
 
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      LE  DOUBLE d’après Fiodor Dostoïevski. Adaptation et mise en  scène Ronan Rivière, avec Ronan Rivière, Jérôme Rodriguez, Michaël  Giorno-Cohen, Jean-Benoît Terral, Laura Chetrit, Antoine Prud’homme de la  Boussinière et Olivier Mazal au piano.Un emploi de fonctionnaire au  ministère de Pétersbourg, un petit appartement dans un quartier agréable et pour  seule compagnie celle de Pietrouchka, son fidèle domestique, Jacob Pétrovitch  Goliadkine est heureux de son sort. Il ne se lasse pas d’observer le monde qui  l’entoure. Pourtant, les moqueries qu’il perçoit dans son dos l’affectent. Il  aimerait acquérir une meilleure considération en se vêtant par exemple au goût  du jour. Mais sa tentative ne remporte pas le succès espéré malgré les conseils  de son collègue et ami Nikolaï Sémionovitch. Sa timidité le freine aussi. Clara,  la fille de son supérieur Olsoufi Ivanovitch, ne parvient pas à le sortir de sa  réserve. Partagé entre l’envie et la peur de se rendre à l’anniversaire de la  jeune fille, il se décide trop tard et déclenche sans le vouloir le  mécontentement du père et de la fille. Éconduit par Clara, de  retour chez lui dans le clair-obscur de la nuit, une sorte de mirage lui  apparaît, celui  d’un homme qui lui ressemble, une sorte de double de lui-même.   ... (Lire).
 
 
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       Photo Sven Andersen
 
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      LETTRES À NOUR de Rachid Benzine. Mise en scène Charles Berling et Rachid Benzine, avec Éric  Cantona et Nacima Bektaoui.Comment  peut-on infliger pareille douleur à un père aimant qui a élevé son enfant seul ?  La lecture de la lettre de Nour foudroie ce professeur de philosophie,  respectueux du Coran, lorsqu’elle lui apprend qu’elle lui a menti. Elle n’est pas  allée chez sa tante mais a rejoint un combattant de Daech à Falloujah, à 5 000  kilomètres de chez eux, un certain Akram, un homme « très instruit, très  courageux et très fort » rencontré par l’intermédiaire d’Internet. Elle l’a  épousé, a revêtu le vêtement noir des femmes. Ensemble, ils vont libérer l’Irak  des mécréants, chasser le tyran du pays. C’est une guerre sainte qu’ils entreprennent.  Elle est heureuse, épanouie. Elle clame haut et fort son bonheur.
 Que  répondre à cette première missive exaltée et à toutes celles qui vont suivre  sinon la supplier de revenir, tenter de lui faire comprendre qu’elle se trompe,  qu’elle ne peut cautionner les actes barbares des monstres qu’elle côtoie, ni  rester dans ce pays en guerre. Elle a à peine vingt ans. Elle a entrepris des  études brillantes, un avenir radieux l’attend. Mais Nour a choisi librement de  servir sa religion et son mari et, d’après elle, c’est le paradis.    ... (Lire).
 
 
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       © Mucha Trust 2018
 
 
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      ALPHONSE MUCHA. Depuis la rétrospective du Grand Palais en 1980,  cette exposition est la première consacrée à cet artiste à Paris. Avec 195  œuvres elle rend compte non seulement de ses travaux dans le style Art nouveau,  mais aussi dans tout ce qu’il fit après l’Exposition universelle de 1900, une  œuvre bien moins connue mais plus ambitieuse. Mucha, né en 1860 en Moravie,  commence des études de beaux-arts à Munich, puis s’installe à Paris en 1887  pour étudier à l’Académie Julian, grâce au soutien financier du comte Eduard  Khuen-Belasi, dont il avait décoré le château. En 1889, n’ayant plus ce soutien  financier, il commence à travailler comme illustrateur pour des éditeurs de  Paris et de Prague. Le 1er janvier 1895 paraît son affiche pour Gismonda, une pièce jouée par Sarah  Bernhardt. La grande tragédienne est tellement contente qu’elle s’attache les  services de Mucha par un contrat de six ans pour concevoir les décors, les  costumes et les affiches de ses productions.
 La première partie de  l’exposition, « Un Bohémien à Paris », est essentiellement consacrée  à ses affiches pour Sarah Bernhardt. On y voit aussi des photographies et une  évocation de son amitié avec Gauguin, avec qui il partagea son atelier. La  section suivante, « Un inventeur d’images populaires » déploie tout  ce qui a rendu Mucha célèbre. C’est véritablement avec lui qu’est né, entre  1885 et 1890, l’Art nouveau. En 1900 il est devenu un maître de l’affiche et le  décorateur le plus recherché et le plus copié de Paris. ...  (Lire).
 
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       Photo © RMN Grand Palais / Franck Raux
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      GUSTAVE MOREAU. Vers le songe et l’abstrait. Gustave Moreau  (1826-1898), l’un des principaux représentants en peinture du courant  symboliste, légua à l’état sa maison, qu’il avait transformée en musée, et  toutes ses œuvres, soit près de 25 000 pièces, afin de montrer « la  somme de travail et d’efforts de l’artiste pendant sa vie ». Parmi toutes  ses œuvres, il y en a un certain nombre, non figuratives, sur lesquelles les  critiques se sont interrogés, dès l’ouverture du musée en 1903 et plus tard à  partir de 1955. La présente exposition rouvre le débat sur la nature de ces œuvres  en présentant une centaine de peintures et aquarelles dans la galerie du  premier étage et dans les ateliers du deuxième et du troisième étage, au milieu  des collections permanentes.La première section s’ouvre sur  le magistral tableau « Le Triomphe  d’Alexandre » (1890). À côté de ce chef-d’œuvre dont la réalisation  commença en 1874, nous voyons l’une des deux compositions préparatoires sur  laquelle sont uniquement localisées les grandes masses colorées. Nous voyons  aussi des dessins représentant le roi de l’Inde du Nord, Porus, porté par des  esclaves, et des éléphants portant des palanquins. Ces dessins se retrouvent,  minuscules, dans le tableau final. Cette entrée en matière montre la  dissociation que fait Moreau au moment de l’élaboration de son travail :  la construction de la composition par la couleur et la définition des motifs  par le dessin. De la superposition des deux naît la composition définitive. ...  (Lire).
 
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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