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      |  |   |  |  | Lettre n° 453du 25 avril 2018
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo  Brigitte Enguérand.
 Collection Comédie-Française
 
 
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      L’ÉVEIL  DU PRINTEMPS. Tragédie enfantine de Frank Wedekind. Mise en scène Clément  Hervieu-Léger. Traduction François Regnault. Scénographie Richard Peduzzi avec  23 comédiens.N’est-ce  pas paradoxal ? Le jour de ses quatorze ans, Wendla croit encore que ce  sont les cigognes qui apportent les bébés quand sa mère lui propose de remiser enfin  sa robe d’enfant qu’elle refuse d’abandonner, pour revêtir celle d’une jeune  fille. Ses camarades n’en savent pas davantage qui pouffent entre elles à la  vue d’une bande de garçons, élevés eux-aussi dans l’ignorance du sexe opposé.  Moritz ne sait rien de la reproduction. Faible de caractère et mauvais élève de  surcroît, son ami Melchior l’a pris sous son aile. Il lui promet de lui passer  en cachette un précis qu’il a écrit sur ce sujet tabou. Ces enfants sont élevés  dans les règles strictes d’une éducation dispensée par la société puritaine du  XIXe siècle qui ne les prépare en rien aux changements physiques et  psychologiques que la puberté est en train d’opérer sur eux. Seule la mère de  Melchior a élevé son fils sans interdit, le mettant seulement en garde lorsqu’elle  le voit lire Faust : « À  ta place, j’aurais attendu une ou deux années mais… fais ce que tu sens ». Ce  qui devait arriver survient.   ... (Lire).
 
 
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       Photo Isabelle  Jobard
 
 
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      MON  LOU. Textes de Guillaume Apollinaire. Mise en scène Christian Pageault avec  Moana Ferré. Des  lettres à foison, à profusion. Guillaume Apollinaire, un jour de septembre  1914, est tombé en fol amour de l’incandescente Lou, l’élégante, la pulpeuse, à  l’orée délicate et éblouie d’un amour qui monte en passion jusqu’à l’orgasme  érotique. Pendant quelques mois de trouble et d’ambiguïté, ils vont s’échanger  des lettres, surtout celles d’un poète éperdu de désir qui y trouve ample  matière à son inspiration. Leurs très brèves rencontres seront des incendies de  volupté. Le corps de Lou est insatiable, l’inspiration de Guillaume est un  tumulte de métaphores charnelles, guerrières, et il s’enivre de son désir  sublimé par la séparation et la frustration. Elle lit avidement, impatiemment,  les flots de son amant. Elle se répand sur une gigantesque lettre déployée à  l’image des draps froissés de leurs ébats. Il écrit, elle ne répond pas, la  jalousie et l’incompréhension devant le silence de la bien-aimée viennent tarauder  le désespoir de l’amant.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Gulliver  Hecq
 
 
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      ON  PURGE BÉBÉ de Georges Feydeau. Mise en scène Frédéric Jessua avec Isabelle  Jeanbrau, Etienne Coquereau, Frédéric Jessua ou Léonard Bourgeois-Taquet, Julia  Mevel, Nicolas Struve. Parce  que leur jeune fils se refuse à la purgation qui le soulagerait d’une  constipation occasionnelle, le couple de ses parents décline l’arsenal de la  mauvaise foi et des querelles enchaînées et déchaînées, dans ce que la  conjugalité peut avoir de plus trivial. Le porcelainier Bastien Follavoine  attend fébrilement de négocier un contrat de… pots de chambre incassables, qui  assurerait sa fortune. Son épouse, promène sa manie du rangement et un seau peu  ragoûtant, à peine vêtue d’un déshabillé peu propice à recevoir les invités du  déjeuner.   ... (Lire).
 
 
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       Photo   Ian
 
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      LA MÉCANIQUE DU CŒUR d’après Mathias Malzieu. Adaptation  et mise en scène Coralie Jayne. Comment  Jack pourrait-il espérer survivre quand le pire froid du monde a gelé son  cœur ? Sa mère effrayée a déserté, mais Madeleine la sage-femme a mis en  œuvre, une fois de plus, son inventivité et son opiniâtreté à faire vivre le  nouveau-né. Aidée de ses acolytes coutumiers, elle lui greffe un improbable  coucou suisse en guise de cœur. A Jack désormais d’éviter tout ce qui pourrait  emballer cette mécanique fragile,  ne pas  toucher aux aiguilles, passer au grand large de la colère et surtout de  l’amour. Tous  y veillent pendant dix  années, avec force œufs de souvenirs, cocktail de larmes, déchaînements jazzy,  avec le grand Arthur que sa propension aux boissons fortes a privé de travail  policier et de charmante épouse. Mais Jack grandit, découvre enfin la ville et  ses cacophonies, ses tentations amoureuses. Son cœur s’emballe pour la  rougeoyante Miss Acacia. Il est désormais trop tard pour la prudence.     ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | SPECTACLES 
 
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       Photo Laurencine  Lot
 
 
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      COMÉDIENS ! Concept  et mise en scène Samuel Sené. Livret et paroles des chansons Éric Chantelauze.  Musique Raphaël Bancou avec Marion Préïté, Fabian Richard, Cyril Romoli.Nous  pourrions presque dresser un inventaire à la Prévert ! Sur les quatre  petits mètres de la scène, un perroquet tutoie un piano et son tabouret rond,  deux fauteuils, une malle en osier et une guitare. Il est quatorze heures,  Pierre et Coco sont fébriles. Impossible de caser l’armoire et la cheminée  qu’ils plaçaient sur les six mètres de la scène où ils ont créé la version  musicale de « Au diable vauvert », célèbre vaudeville d’un certain  Rousseau. La première a lieu ce soir et affiche complet. Il leur faut  impérativement trouver une parade pour pallier à l’absence du mobilier  indispensable et régler les derniers détails. Guy, le troisième comédien, se  fait attendre. Remplaçant, il n’a eu que quatre jours pour mémoriser le rôle, bien  des choses restent à régler avant le spectacle. ...  (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo MNHN_JC Domenech
 
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      MÉTÉORITES. Entre ciel et terre. Le Muséum national d’Histoire naturelle  présente une exposition tout à fait spectaculaire sur ces objets qui  alourdissent de 20 000 tonnes par an le poids de la terre. En fait, il s’agit  presque toujours de poussières interplanétaires dont les plus grosses (environ  1 mm) sont à l’origine des étoiles filantes. Mais il tombe aussi des météorites  dont la masse est supérieure à 1 kg. Il y en aurait 5 tonnes par an. Ce sont  ces dernières que l’on peut étudier, quand on les trouve, et que l’on peut voir  ici. La première partie, « La  chute », nous raconte l’histoire des météorites et nous explique la  différence entre un météoroïde, un météore et une météorite. Dans l’Antiquité,  ces pierres étranges étaient considérées comme des manifestations divines, des  pierres magiques, faisant parfois l’objet de cultes. Les Aztèques les  considéraient comme les excréments des dieux. Le fer naturel n’existant pas sur  terre, les premiers objets - armes ou bijoux - étaient fabriqués avec le fer  météoritique comme cette précieuse dague trouvée dans la tombe de Toutânkhamon.
 Pendant longtemps les savants ne  se sont pas intéressés à ces pierres de peur d’être pris pour des hommes  superstitieux.  ...  (Lire).
 
 
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       Photo Spectacles Sélection
 
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      TINTORET. Naissance d’un génie. A l’occasion du 500e  anniversaire de la naissance de Jacopo Robusti, cette exposition rend hommage à  ce génie de la peinture vénitienne du XVIe siècle, connu sous le nom de  Tintoretto (1518 ou 1519 - 1594), surnom qu’on lui a donné compte tenu de ses  origines familiales - son père était teinturier - et de sa petite taille. Avec  57 œuvres dont 40 de Tintoret, seul ou avec son atelier, il ne s’agit pas d’une  rétrospective. En effet, les commissaires se sont intéressés aux quinze  premières années de la carrière de Tintoret, une période controversée, durant  laquelle ce jeune artiste ambitieux déploie tous ses talents pour se faire  connaître et s’attirer les commandes d’une clientèle cultivée et influente.Le parcours en sept sections met  donc en évidence les caractéristiques de ces premières années d’activité.  ...  (Lire).
 
 
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 |  |   | THÉÂTRE |  |  |  | 
    |  | SPECTACLES |  |  |  |  
    |  | CINÉMA |  |  |  |  
    |  | EXPOSITIONS |  |  |  |  
    |  | OPÉRAS |  |  |  |  
    |  | DANSE |  |  |  |  
    |  | CONCERTS(musique classique)
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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