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      |  |   |  |  | Lettre n° 451du 28 mars 2018
 |  | Nos sélections de la quinzaine |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Laurencine Lot
 
 
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      HAMLET de William Shakespeare. Traduction et adaptation Xavier Lemaire et Camilla  Barnes. Mise en scène Xavier Lemaire avec 11 comédiens.Nuit  et brouillard sur les remparts du château d’Elseneur. Les veilleurs entrevoient  l’ombre d’un spectre, peut-être celle du roi défunt. Celui-ci hante bien les  lieux, cherchant à livrer à son fils, le prince Hamlet, les véritables  circonstances de sa mort. Y aurait-il quelque chose de pourri dans le royaume  du Danemark ? Alors qu’il se reposait à l’ombre d’un arbre, son frère  Claudius a versé un poison mortel dans son oreille. Deux mois ont passé.  Claudius a accédé au trône et épouse aujourd’hui la reine Gertrude sa belle-sœur,  veuve du roi défunt et mère d’Hamlet. Le prince qui a très mal supporté la mort  de son père vit encore plus mal le remariage d’une mère tant aimée. Il nourrit  alors la vengeance réclamée par son père, hésite, face à son ampleur, à la  mettre en œuvre puis s’y résout.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Lucie  Sassiat et Suzanne Barbaud
 
 
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      LA MALADIE DE LA FAMILLE M. de Fausto Paravidino. Mise en  scène Simon Fraud avec Justin Blanckaert, Antoine Berry-Roger, Clément Bernot,  Andréa Brusque, Laura Chétrit, Victor Veyron, Boris Ventura Diaz.Un village  sans attrait, oublié des transhumances nationales. Le médecin y joue le rôle  des confesseurs désertés, témoin et confident des amours et des drames du  quotidien. Luigi, le père en voie de gâtisme, tyrannise les trois enfants, leur  mère a mystérieusement tiré sa révérence et Marta, l’aînée, tente de maintenir  une cohérence domestique entre les séductions chaotiques de Maria la cadette,  les dérives mentales du père et l’immaturité du fils Gianni. Les garçons du  village, entre deux bières, caillassent les vaches pour combler le vide  insondable de leurs existences. C’est un monde sans lueur, inerte et glauque,  au passé obscur et à l’avenir improbable. Quelques horions entre petits mâles  rivaux font couler le sang, qu’éponge le médecin, impuissant à consoler les  hystéries passagères.     ... (Lire).
 
 
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       Photo Guy  Delahaye
 
 
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      LETTRES À ÉLISE de Jean-François Viot. Mise en  scène Yves Beauchesne avec Lou Chauvain et Elie Triffault. Un  jeune homme feuillette distraitement un album de photos. S’en échappe le carnet  jauni des lettres échangées entre Elise et Jean, ceux de l’album. Un vieil  atlas recopié à la craie sur la paroi translucide du fond trace le parcours des  belligérants.
 1914,  le poilu Jean Martin, instituteur auvergnat, quitte sa tendre épouse et ses si  jeunes enfants. Les lettres échangées prolongent avec une simplicité souriante  leur quotidien distendu. Des histoires de campagne, en somme, celle des labours  au pays, celle des sinistres en filigrane et des orages à venir sur le front  des combats. Jean dessine une fresque en expansion, les dates, les dessins de  la délicieuse Camille, la petite Jeanne à naître, les problèmes de  mathématiques appliquées pour Arthur. Elise, en contre-jour, raconte l’égoïste  comtesse et son fils planqué de l’arrière, le maniement de la charrue, la  charge pédagogique qui lui incombe désormais, la trivialité des soucis,  l’angoisse des femmes. Jean partage avec elle en riant la vache du lieutenant,  les chaussettes multicolores, les écharpes tricotées par l’amour des épouses  délaissées.    ... (Lire).
 
 
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       Photo Pascal  Victor
 
 
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      LA RÉVOLTE d’Auguste de Villiers de l’Isle-Adam. Mise en scène Charles Tordjman avec  Julie-Marie Parmentier, Olivier Cruveiller.Félix  exulte. En quatre ans,  sa fortune a  triplé. À l’origine de ces profits, Élisabeth, son épouse, qui tient sa  comptabilité et opère les placements. Il n’a que des compliments à faire à  cette épouse avisée, économe, qui tient de surcroît parfaitement son ménage. Ce  soir Élisabeth a donné congé aux domestiques, elle achève à minuit ses dix  heures de travail.  Les compliments de  Félix la laissent froide. L’indifférence qu’elle éprouve à son égard s’est  affirmée durant ces années de désillusions. Elle espérait autre chose que cet  enfermement au service d’un époux dénué de tout charisme, uniquement préoccupé  par l’argent. Elle attendait « le rêve ». Elle est restée bloquée là,  mère d’une petite fille, prisonnière d’une tâche qu’elle abhorre. Mais cette  nuit est celle de la révolte. Elle a soigneusement préparé son départ et  n’hésite même pas à laisser son enfant derrière elle. Elle en annonce posément  les raisons à Félix, sans cris, sans larmes.  ... (Lire).
 
 
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       Photo Pascal  Victor
 
 
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      UNE ACTRICE de Philippe Minyana. Mise en scène Pierre Notte avec Judith Magre, Pierre  Notte, Marie Notte.Pierre  est au piano, Marie chante et Judith les regarde en souriant.
 Judith  Magre est venue là pour une « interview », pour relater des faits  marquants sur sa vie et son métier d’actrice avec une réticence comparable à  celle qu’elle exprime à l’idée qu’un livre soit écrit sur elle. Elle raconte  tout d’abord une brève histoire, celle « terrible » d’un certain  André, un court monologue de Philippe Minyana. Puis, Pierre à ses côtés, elle s’assied  sur un banc. À bâtons rompus, ils sautent sans y toucher d’un sujet à l’autre.  Mais Judith Magre vit dans le présent ou l’avenir. Elle n’aime pas se retourner  sur le passé. Elle sent fort bien où Pierre veut la mener et lui sait fort bien  où elle ne veut pas aller. Le temps ne semble pas avoir de prise sur elle. Lumineuse,  avec une étonnante énergie, elle confie quelques anecdotes, laissant parfois  l’une d’elles en suspens. Quelques mots sur des parents aimés, sur une enfance  en province où « tout était trop parfait », sur ses quinze ans et sa  fuite à Paris, sur ses premiers pas sur scène. ... (Lire).
 
 
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       Photo Mercilaprod
 
 
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        HUGO, L’INTERVIEW de Yves-Pol Deniélou. Mise en scène  Charlotte Herbeau avec Yves-Pol Deniélou. Décidément,  Victor Hugo ne cessera jamais de nous étonner et de nous émerveiller par la  pertinence intemporelle, la vivacité toujours d’actualité, de son propos.
 Victor  Hugo est ici « en chair et en os », convoqué à titre de fantôme par  les voix off de ceux et celles qui lui posent les questions les plus diverses  au cours d’une émission littéraire. Il y répond avec précision, humour,  émotion, il évoque les souvenirs d’enfance qui ont contribué à façonner l’homme  qu’il est devenu, il raconte ses indignations, ses rencontres avec ceux qu’on  torture et mène à la mort, au nom de leurs idéaux. Le maître-mot de tous ses  récits est la Liberté. Indéfectible, inaliénable, celle qui justifie les  sacrifices, les exils, les renoncements. Et, au travers de ses propres mots,  dont Yves-Pol Deniélou a intelligemment tissé une tapisserie vivifiante, se  dégage la figure du Poète, de l’homme de théâtre, du penseur politique, du croyant  que révulse tout fanatisme.      ... (Lire).
 
 
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       Photo Églantine
 
 
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        LES MÉTRONAUTES. Texte et mise en scène Arthur Deschamps  avec 9 musiciens et comédiens.On  est dans le métro, trivial, quotidien. Un chef de rame plus qu’original donne  le rythme à la course incessante des usagers, scandant les périples par le nom  des stations, les bruitages de la mécanique, l’annonce lancinante et polyglotte  des incidents de parcours ou des risques de vol à la tire. Tout compte fait, la  fresque ordinaire des Parisiens, qui s’y croisent autour du pilier central  auquel ils tentent de s’accrocher pour éviter les soubresauts, qui se disputent  les sièges inconfortables, qui se frôlent et se repoussent. On y rencontre les  types humains coutumiers, les chanteurs et autres mendiants sans succès, le  séducteur désopilant, le militaire en retraite, l’hystérique avec ses sacs qui  aboie sans crier gare, la disgracieuse qui aimerait bien elle aussi être dans  le regard de la drague. Parfois, la narcoleptique se répand sur le sol, dans la  parfaite indifférence de ceux qui la contournent, de vieilles connaissances se  retrouvent, on échange des excuses épineuses. Le clown se love dans la  tendresse d’un manteau, le poète dans un rire inextinguible raconte sa  sempiternelle fable du « fluchu ».      ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS ET SITES 
 
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       Photo Vincent van Gogh Museum
 
 
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      LES HOLLANDAIS A PARIS, 1789-1914. Van Gogh, Van Dongen, Mondrian… De 1789 à 1914, plus d’un millier d’artistes hollandais se rendent en France,  attirés par la Ville-Lumière et le dynamisme de sa vie artistique. Certains n’y  font que de brefs séjours, par exemple à l’occasion des expositions  universelles, d’autres profitent des possibilités qui leurs sont offertes :  enseignement, richesse des musées, marché de l’art en plein essor, opportunités  de carrière. C’est ainsi que Gérard van Spaendonck (1746-1822), un spécialiste  de la peinture de fleurs, premier peintre mis en exergue dans cette exposition,  est nommé professeur de dessin botanique au jardin des Plantes et forme des  artistes célèbres comme Pierre-Joseph Redouté et Jan Frans van Dael.Van Spaendonck ouvre la voie à d’autres  artistes néerlandais comme Ary Scheffer (1795-1858) qui devient l’un des  artistes les plus en vue sous le règne de Louis-Philippe. Dans sa maison et son  atelier de la rue Chaptal, devenus aujourd’hui le Musée de la Vie romantique,  il reçoit nombre de personnalités du monde artistique, politique et littéraire,  prêtant son atelier à de nombreux élèves. ...  (Lire).
 
 
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    |  |  CONCERTS(sauf musique classique)
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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