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      |  |   |  |  | Lettre n° 447 (supplément)7 février 2018
 |  | Nos sélections de la quinzaine (supplément) |  | 
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 |  |   |  |  | THEATRE 
 
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       Photo Guillaume Ledun
 
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      PENSER  QU’ON NE PENSE À RIEN C’EST DÉJÀ PENSER QUELQUE CHOSE de Pierre Bénézit. Mise en scène   Pierre Bénézit avec Olivier Broche, Vincent Debost, Anne Girouard. Un lieu improbable, quelques chaises  en désordre. Deux cousins, Paulbert et Gérald, répètent un dialogue sans  consistance où il est question de voix au téléphone. Paulbert râle, menace de  faire sa valise. Gérald, faussement naïf et souriant, attend placidement le  énième retour du bougon coutumier. Survient Barbara en quête de vin et de  renseignement sur une rue proche, où l’attendent les amis d’un dîner prévu. La  vieille voisine s’en chargera, dit Gérald, mais dans la lenteur de ses pas  menus. Patience donc, on va meubler l’attente, on daube sur le propriétaire  rapace, sur la rareté des contrats, sur le vide de l’existence. Questions  décousues et réponses déconcertantes s’enchaînent alors entre les cousins et  l’intruse.    ... (Lire).
 
 
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       Photo Chantal Depagne Palazon
 
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      DOM SGANARELLE de Jean-Philippe Ancelle. Mise en  scène Jean-Philippe Ancelle avec Jean-Philippe Ancelle et Michel Pilorgé. Au théâtre,  on appelle mise en abîme l’emboîtement d’une pièce dans une autre pièce. Ici,  on assiste à une multiple mise en abîme, le Dom Juan de Molière, ses deux  personnages qui s’interchangent, entremêlent leurs parcours intimes, leurs  souvenirs d’antan dans les mêmes rôles, qui donnent à voir la répétition d’une  éventuelle représentation. Passé et présent s’entrecroisent, celui de Molière et  de sa parole, étonnamment contemporaine, celui des acteurs vieillissants, de  leurs amours déliquescentes, en déshérence. La vie au-dehors s’invite par la  voix du Commandeur, par celles des autres, épouse, directeur. Les deux  comédiens, complices de si longue date, n’ont guère d’illusions sur ce qu’ils  furent et ce qu’ils sont devenus, mais ils se glissent avec une souplesse  retrouvée dans les gestes mutuels. Nostalgiques et rieurs.    ... (Lire).
 
 
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 |  |   |  |  | DANSE 
 
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       Photo Gregory Batardon
 
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      BÉJART BALLET LAUSANNE. LA FLÛTE ENCHANTÉE. Chorégraphie Maurice  Béjart. Musique Mozart. Gil Roman dirige la compagnie depuis la mort du maître  en 2007. S’il invite des chorégraphes pour créer de nouveaux ballets avec sa  compagnie de plus de quarante danseurs, il préserve aussi le répertoire du  Béjart Ballet Lausanne et en particulier les œuvres de Maurice Béjart. C’est ce  qu’il fait en nous présentant ces jours-ci La  Flûte enchantée, créée à Bruxelles en 1981. C’est un ballet exceptionnel  car il illustre la totalité de l’opéra, donné dans la magnifique version de  Karl Böhm de 1964 à la tête de la Philharmonie de Berlin. Pendant près de trois heures, c’est  un feu d’artifice de solos, de pas de deux, de pas de trois et plus, au son de  la musique  et des chants. La  retransmission musicale est si captivante que l’on se croît parfois à l’opéra,  en regrettant l’absence de sous-titres !  Chaque danseur interprète le rôle de l’un des  personnages de l’opéra. Quand la Reine de la Nuit chante son fameux air, la  danseuse qui tient ce rôle se lance dans un solo époustouflant. Et il en est de  même tout au long du spectacle. ... (Lire).
 
 
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    |  |  |  | EXPOSITIONS et SITES 
 
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       Photo Spectacles Sélection
 
 
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      BEAU DOUBLÉ, MONSIEUR LE MARQUIS ! Sophie Calle et son invitée  Serena Carone. Le Musée de la Chasse et de la Nature a proposé à Sophie  Calle d’investir ses murs, au milieu des collections permanentes. À son tour, cette  dernière a invité son amie Serena Carone, sculpteur, qui expose quelques-unes  de ses œuvres réalisées au cours des vingt dernières années.Sophie Calle, née en 1953, se  fait remarquer en 1980 avec Les Dormeurs,  des gens qu’elle invite à dormir quelques-heures dans son lit, sans discontinuer  pendant huit jours, qu’elle photographie tout en prenant des notes sur leur  sommeil. Elle continue ainsi en utilisant divers supports, la photographie bien  sûr, mais aussi le livre, la vidéo, le film, la performance, etc. Ici nous  avons plutôt affaire à une installation à travers tout le musée, où elle  présente quelques-unes de ses œuvres passées, suivie d’une exposition de ses  derniers travaux. C’est en quelque sorte la continuation de la rétrospective de  2003-2004, M'as-tu vue, au Centre Pompidou.
 L’œuvre de Sophie Calle interroge  la limite poreuse entre sphère publique et sphère privée et le caractère  interchangeable des positions du voyeur et de l’exhibitionniste. ...  (Lire).
 
 
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       Photo © Mick Vincenz
 
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      DADA AFRICA. Sources et influences extra-occidentales. Né en 1916,  à Zurich, en pleine guerre, le mouvement Dada, un nom trouvé au hasard dans le Petit  Larousse, exprime un rejet des valeurs traditionnelles de la civilisation qui  aurait conduit au désastre de cette période. Très vite il se répand dans d’autres  villes telles que Berlin, New York et Paris. Les artistes qui se revendiquent  de Dada sont aussi bien des poètes - Hugo Ball, Tristan Tzara, André Breton -  que des peintres ou sculpteurs - Marcel Janco, Jean Arp, Max Ernst, Francis  Picabia. Dada fait appel à toutes les formes artistiques et les mélange. Il  s’intéresse aux arts extra-occidentaux, ceux d’Afrique en particulier, mais  aussi d’Océanie et d’Amérique, comme le fit naguère Gauguin. Dès 1917, la  galerie Corray, à Zurich, expose côte à côte, sans hiérarchie (« Tout Dada  est président ») des objets africains et des œuvres dadaïstes. Les arts  traditionnels font place à des formes d’art hybrides qui puisent leur  inspiration dans des cultures lointaines, considérées jusque-là comme  primitives. Il n’y a plus de frontières entre arts primitifs et arts populaires.  La culture académique explose en éclats. ...  (Lire).
 
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    |  | Spectacles Sélection 13 chemin Desvallières
 92410 Ville d'Avray
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