Parcours en images et en diaporamas de l'exposition

VASARELY
Le partage des formes

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
et nos propres prises de vue


Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°473 du 20 février 2019



Entrée de l'exposition
1 - LES AVANT-GARDES EN HÉRITAGE
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
LES AVANT-GARDES EN HÉRITAGE

Formé à Budapest au Mühely (« Atelier ») de Sándor Bortnyik, ancien élève du Bauhaus, Vasarely apprend à adapter le langage du modernisme à la communication commerciale. À son installation à Paris en 1930, il travaille comme graphiste publicitaire. Les « études plastiques » qu’il réalise alors sont marquées par cette conception de la forme efficace et préfigurent les travaux à venir. La série des « Zèbres », entreprise dans les années 1930, annonce ainsi les ondes et vibrations de la période cinétique. Si Vasarely est un héritier de la tradition constructiviste, son art en est aussi une perversion. Renonçant à un usage littéral des formes, Vasarely met en scène, par divers procédés illusionnistes, les pièges de la vision et la métamorphose incessante du monde. Très tôt, cet art rationnel s’annonce également comme un dérèglement maniériste.

 

 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely (1906-1997). Catcheurs, 1939. Crayon à la mine de plomb sur papier, 35,5 x 47,5 cm. Szépmuvészeti Múzeum – Vasarely Múzeum, Budapest.
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Deux zèbres, 1936. Gouache sur papier découpé et collé, 58 x 44 cm. Collection particulière, Paris.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Zèbres-A, 1938. Encre de Chine et huile sur papier, 48,7 x 59,8 cm. Collection particulière, en dépôt à la Fondation Vasarely, Aix-en-Provence. Photo © Fabrice Lepeltier. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Panneau didactique
 

Victor Vasarely (1906-1997).
- Convalescence, 1934. Gouache, crayon à la mine de plomb et encre sur papier, 15,6 x 14,8 cm.
- Asthénie, 1937. Gouache, encre, crayon à la mine de plomb et coton sur papier, 25,2 x 21,5 cm.
- Convalescence, 1937. Crayon à la mine de plomb et craie rouge sur papier calque, 24 x 21,9 cm.
- Convalescence, 1937. Impression, gouache et crayon à la mine de plomb sur papier, 24,2 x 20,4 cm.
- Surmenage scolaire, 1937. Craie, crayon à la mine de plomb, crayon noir et aquarelle
sur papier, 25 x 22,8 cm.
- Surmenage, 1939. Gravure, 23,4 x 21 cm.
De la série Dessins humoristiques pour médecins et hôpitaux. Les causes de l’épuisement mental et physique, 1934-1939. Szépmuvészeti Múzeum – Vasarely Múzeum, Budapest.

Scénographie
 
Portrait de Victor Vasarely.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Étude de mouvement (Anneaux-Baleine), 1939. Encre et gouache sur papier monté sur panneau, 58 x 63 cm. Collection particulière.
2 - GÉOMÉTRIES DU RÉEL
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
GÉOMÉTRIES DU RÉEL


C’est pendant les années de guerre, occupées par des lectures scientifiques, que s’affirme chez Vasarely une ambition artistique à part entière. À l'origine des trois grands cycles autour desquels s'organise son oeuvre au seuil des années 1950, on décèle les structures sous-jacentes du réel, perçu dans ses grands rythmes comme dans ses manifestations les plus dérisoires. La contemplation des galets et des objets roulés dans le flux et le reflux des eaux engendre les formes adoucies qui peuplent les oeuvres de la série« Belle-Isle ». Les réseaux de craquelures sur les carreaux de céramique d’une station de métro inspirent les contours des plans de couleurs de la série « Denfert ». Enfin, dans la série « Cristal-Gordes », lignes brisées et angles aigus transposent les formes cristallines et minérales du village du Luberon perché sur son rocher. Le cristal, aux effets optiques complexes, devient le modèle de sa peinture afin de manifester les troubles et étrangetés de la vision. Ces oeuvres offrent ainsi à Vasarely l'occasion de cerner le coeur d'une poétique de l’instabilité et de la mobilité.

 

 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely (1906-1997). Belle-Isle, 1946. Galets et verre sur plâtre peint, 33,5 x 41 cm (avec cadre). Collection particulière, Paris. DR. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Dauvillier, 1938-1945*. Collage de photographies sur carton, 45 x 30,8 cm. Collection particulière, en dépôt à la Fondation Vasarely, Aix-en-Provence. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Heisenberg, 1938-1945*. Collage de photographies sur carton, 45 x 30,7 cm. Collection particulière, en dépôt à la Fondation Vasarely, Aix-en-Provence. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Mar Caribe, 1950-1956. Huile sur toile, 163 x 130 cm. Collection Erling Neby, Oslo. Photo Øystein Thorvaldsen. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Sénanque 2, 1948-1950. Huile sur Isorel, 81,5 x 70 cm. Collection Erling Neby, Oslo.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Ruhr, 1950. Huile sur toile, 114 x 195 cm. Collection Erling Neby, Oslo. Photo Øystein Thorvaldsen. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Hommage à Malévitch, 1954-1958. Huile sur toile, 120 x 195 cm. Collection Louis Bogaerts. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Kiruna, 1952-1962. Huile sur toile, 195 x 130 cm. Collection particulière, courtesy Patrick Derom Gallery. Photo © Vincent Everarts. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Kantara, 1957-1959. Huile sur toile, 162 x 130 cm. Collection Lahumière.
3 - ÉNERGIES ABSTRAITES
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
ÉNERGIES ABSTRAITES


Au début des années 1950, les séries « Photographismes » et « Naissances » marquent la réduction du langage de Vasarely au noir et blanc. Une des sources de cette évolution est la réversibilité de l’image photographique, positive ou négative. Dans la perspective d’une esthétique simple et logique, dotée d’une grande capacité de transmission de l’information, et dans le contexte de la cybernétique naissante, l’opposition noir/blanc offre un équivalent du langage binaire et oriente le processus créatif du côté de la programmation. Les contrastes du noir et du blanc engendrent en outre des phénomènes optiques qui déterminent une perception dynamique. L’exercice n’a rien d’un jeu formaliste : par ces moyens, Vasarely cherche à traduire les grandes énergies de l’univers. Porté par les ondes, vibrant au contact des particules, le regard traverse des champs d’énergie et des courants magnétiques. Il n’est plus confronté à des formes mais à des forces. Le tableau vibre, clignote, scintille de telle sorte que sa perception ne saurait s'effectuer immédiatement, en un flash, mais dans la durée. Vasarely est en train d’inventer ce que, dans la décennie suivante, on appellera l’op art, l’une des évolutions les plus significatives de l'abstraction géométrique depuis son apparition.
 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely (1906-1997). Naissances, 1958. Acrylique sur toile, 103 x 78 cm (avec cadre). Collection particulière, Suisse.
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Procion-neg, 1957-1960. Huile sur toile, 195 x 114 cm. Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, Paris.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Procion, 1959. Huile sur toile, 195 x 112 cm. Collection Lahumière.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Ilava, 1956. Huile sur toile, 195 x 130 cm. Collection Lahumière.
 
Victor Vasarely (1906-1997). T.M., 1958. Huile sur bois, 160 x 120 cm. Collection particulière.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Bi-forme, 1962. Panneaux de verre Saint-Gobain gravés, socle en métal, 205,4 x 139,5 x 46,7 cm (avec socle). Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, Paris.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Vega, 1956. Huile sur toile, 130 x 195 cm. Collection particulière, Belgique. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
4 - UN ESPÉRANTO VISUEL
Scénographie
UN ESPÉRANTO VISUEL


À l’orée des années 1960, Vasarely met au point un « alphabet plastique » constitué d’un lexique de six formes géométriques simples incrustées dans des carrés de couleur pure. Affirmant « la convergence de toutes les formes créatrices vers une civilisation-culture à l’échelle de la terre », l’artiste offre à la planète mondialisée une langue visuelle et universelle que ses propriétés combinatoires rendent propre à toutes les adaptations pour devenir la source d’un véritable « folklore planétaire ». À partir de 1965, chacune des six couleurs pures de l’alphabet plastique devient réfractable en douze à quinze valeurs chromatiques intermédiaires. Ce nouveau nuancier introduit dans la mosaïque contrastée et papillotante des oeuvres issues du premier alphabet des effets de dégradés particulièrement raffinés. Afin de maitriser les très nombreuses possibilités combinatoires de cet alphabet, Vasarely les fait entrer dans un jeu systématique et informatisable de permutations et de progressions. « La complexité devient ainsi simplicité. La création est désormais programmable », écrit-il. Cette abstraction pré-digitale dévoile ainsi sa profonde connivence avec la pensée cybernétique.
 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely (1906-1997). Étude 5, présentoir 3, de la série « Historique », 1958-1959/1975. Collage sur carton, 82 x 76 cm. Fondation Vasarely, Aix-en-Provence.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Orion-or, 1970. Acrylique sur toile, 205,5 x 207 cm. Courtesy Galerie Templon, Paris-Bruxelles.
 
Victor Vasarely (1906-1997). DAC Bleu, 1963. Acrylique sur bois, 110 x 110 x 60 cm. Collection particulière.
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Au premier plan : Grand Iboya MC 174, 1970. Édition de 8 (chaque exemplaire étant différent des autres). Éléments en Luran collés sur bois, 160 x 15 x 15 cm. Collection particulière.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Unités, 1967. Sérigraphie sur métal montée sur bois, 110 x 65 cm. Collection particulière.
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Beryll, 1963-1965. Acrylique sur toile, 160 x 160 cm. Collection particulière.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Lacoste W., 1969. Eléments en plastique collés sur contreplaqué, 165,5 x 165,5 cm. Musée d’art contemporain [MAC], Marseille.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Orion MC, 1963. Acrylique sur bois, 128 x 122 cm. Collection particulière.
 
Victor Vasarely (1906-1997). F. R. EG 1-2, 1968-1974. Acrylique sur toile, 180 x 180 cm. Collection d’art Renault.
5 - POP ABSTRACTION
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
POP ABSTRACTION


Ayant défini, avec l’alphabet plastique, un vocabulaire susceptible de connaître actualisations et déclinaisons diverses, Vasarely oeuvre à la diffusion la plus large de ses formes. Celle-ci emprunte différentes voies et notamment celle du multiple. Sérigraphies, petites sculptures ou encore posters témoignent du désir d’expansion de l’art de Vasarely au-delà du milieu institutionnel. L’immense succès populaire
qu’il rencontre dans les années 1960-1970 a sans doute dépassé ses propres espoirs. Ses formes s'affichent alors partout : dans le design et la décoration, les journaux de mode et les vitrines des magasins, sur les couvertures de livres et de magazines, les pochettes de disques et les plateaux de télévision ou de cinéma. La presse s’empare du phénomène : « On vend du Vasarely au mètre dans les grands magasins ». Ce à quoi Vasarely répond : « Je ne suis pas pour la propriété privée des créations. Que mon oeuvre soit reproduite sur des kilomètres de torchon m’est égal ! Il faut créer un art multipliable.» La culture visuelle de toute une époque s'est emparée sans complexe de ses images, rare exemple d’appropriation sociale du langage d’un artiste.
 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely et Yvaral. Logo Renault, 1972. Enseigne en Plexiglas thermoformé et rétro éclairé. 240 x 172 x 24 cm (sans le jambage). Collection particulière. Photo © Fabrice Lepeltier. © Adagp, Paris, 2018.
Ensemble d’ouvrages de la collection « Tel » publiée par Gallimard et illustrés par Victor Vasarely du no1 au no95, 1976-1985.
Collection particulière, Paris.
 

 

 

Extraits de films dans lesquels on peut voir
des emprunts à Victor Vasarely

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Vidéo
 
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Orion noir no 2, 1968. Tapisserie d’Aubusson ; lissiers : Tabard Frères et Sœurs. Coton écru (chaîne), laines polychromes (trame), 260 x 246 cm. Collection particulière, en dépôt à la Fondation Vasarely, Aix-en-Provence.
 
Vernon Dewhurst. Photomontage pour la pochette de l’album David Bowie, 1969.
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Victor Vasarely et Ambrogio Pozzi. Service de table en porcelaine Manipur, 1978. Édité par Rosenthal. Collection particulière. Photo © Fabrice Lepeltier. © Adagp, Paris, 2018.
 
Quelques objets s'inspirant des œuvres de Victor Vasarely.
 

Victor Vasarely (1906-1997). Série Novae, [années 1970] :
- Grande assiette. Porcelaine, diam. : 34 cm.
- Petite assiette. Porcelaine, diam. : 25 cm.
- Vide-poche. Porcelaine, 22 x 22 cm.
- Vase. Porcelaine, 30 x 13 cm.
Édité par Rosenthal. Collection particulière.

 
Scénographie
Scénographie avec, de Victor Vasarely (1906-1997), Salle à manger du siège de la Deutsche Bundesbank, Francfort-sur-le Main
(installation avec 3 côtés).
 
Scénographie: présentoir de diverses œuvres sérigraphiées.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Kroa MC, 1970. Aluminium anodisé, 50 x 50 x 50 cm. Collection particulière.
Victor Vasarely (1906-1997). Salle à manger du siège de la Deutsche Bundesbank, Francfort-sur-le Main, 3,2 x 11,60 x 7, 80 m
(installation avec 3 côtés).
Photo Wolfgang Günzel ©Kunstsammlung Deutsche Bundesbank. © Adagp, Paris, 2018.
6 - VERS L'ARCHITECTURE
Scénographie
VERS L'ARCHITECTURE


En 1954, le chantier de la cité universitaire de Caracas offre à Vasarely sa première occasion de concrétiser ses idées sur la façon d’intégrer l’art à la ville, aux côtés de Jean Arp, Alexander Calder ou Fernand Léger. L’ambition d’un art social qui accompagne le développement de l’« alphabet plastique» trouve son débouché logique dans l’utopie d’une « Cité polychrome du bonheur » et, plus concrètement, dans la réalisation de nombreuses intégrations architecturales. Les plus fameuses d’entre elles voient le jour au cours des années 1970 : dans le nouveau bâtiment de la gare Montparnasse à Paris, au siège de la régie Renault, à Boulogne-Billancourt, sur la façade de l’immeuble de la station de radio RTL, à Paris, ou encore dans une salle à manger de la Deutsche Bundesbank à Francfort-sur-le-Main. Mais c’est avec la Fondation portant son nom, à Aix-en-Provence, que Vasarely concrétise l’un de ses projets les plus audacieux. Les nombreuses études réalisées dans les années 1960 et 1970 témoignent de l’importance qu’avait prise pour Vasarely l’utopie de la « Cité polychrome du bonheur », véritable adaptation de son alphabet à l’architecture de masse. Les immeubles étaient bien devenus pour lui, davantage que les cimaises des musées, le lieu du partage de ses formes.

 

 
Texte du panneau didactique
 
Projet du Centre architectonique, 1972. Maquette initiale réalisée par l’Atelier Vasarely à Annet-sur-Marne. Bois peint, plexiglas sérigraphié, aluminium anodisé et carton, 14 x 102 x 60 cm. Fondation Vasarely, Aix-en-Provence.
 

 

Diaporama présentant la Fondation Vasarely
à Aix en Provence
(12 photographies)

 

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Diaporama présentant des réalisations
architecturales de Vasarély

(18 photographies)

 

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Diaporama présentant des réalisations
architecturales de Vasarély
(27 photographies)

 

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Diaporama présentant des réalisations
architecturales de Vasarély

(20 photographies)

 

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7 - RÊVERIES COSMIQUES
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
RÊVERIES COSMIQUES


Entre science et fiction, le cosmos et ses multiples dimensions offrent le cadre des effervescences formelles du dernier Vasarely. Il s’agit, selon l’artiste, de donner corps aux « mondes qui, jusqu’ici, ont échappé à l’investigation des sens : monde de la biochimie, de l’onde, des champs, de la relativité.» L’imaginaire poético-scientifique de Vasarely se révèle à travers des titres où les mots trouvés au hasard dans des atlas géographiques sont remplacés par des références aux « signaux des mondes », aux « métagalaxies », aux « paysages interstellaires », au « bruit des quasars » et au « battement des pulsars ». Ses Polychromies multidimensionnelles altèrent la grille moderniste en y introduisant les illusions d’optique de la perspective axonométrique, qui rendent réversibles le plein et le creux. « Porté par les ondes, je fuis en avant tantôt vers l’atome, tantôt vers les galaxies, en franchissant les champs attractifs ou repoussants ». Avec Vasarely, le tableau est tour à tour un vaisseau spatial, une machine à téléporter et un moyen de communication avec les dimensions suprasensibles.

 

 
Texte du panneau didactique
 
Victor Vasarely (1906-1997). Re-Na, 1968-1974. Acrylique sur toile, 180 x 180 cm. Collection d’art Renault. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI/B. Prévost/Dist. RMN-GP. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Meh (2), 1967-1968. Huile sur toile marouflée sur contreplaqué, 180 x 180 cm. Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, Paris. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI/B. Prévost/Dist. RMN-GP. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Vega 222, 1969-1970. Acrylique sur toile, 200 x 200 cm. Collection Erling Neby, Oslo. Photo Øystein Thorvaldsen. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Basq, 1973. Acrylique sur toile, 158 x 117 cm. Collection d’art Renault.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Torony-Gordes, 1972. Acier peint, 86 x 38,5 x 16 cm. Collection particulière.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Szem, 1970. Acrylique sur toile, 170 x 170 cm. Collection particulière. Photo © Éditions du Griffon, Sully Balmassière. © Adagp, Paris, 2018.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Vonal Zold, 1968. Acrylique sur toile, 180 x 180 cm. Collection particulière. Photo © Éditions du Griffon, Sully Balmassière. © Adagp, Paris, 2018.
Scénographie. Photo © Centre Pompidou / Philippe Migeat.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Oerveng, du portfolio Progression 3, 1974. Poster offset, 41 x 41 cm. Éditions du Griffon, Neuchâtel. © Éditions du Griffon, Neuchâtel. © Adagp, Paris, 2018.
 
Citation de Victor Vasarely
8 - Sortie de l'exposition et biographie de Vasarely
Scénographie
 
Victor Vasarely (1906-1997). Kei-Ho positif, 1974. Sérigraphie sur aluminium, 150 x 200 cm. Collection d’art Renault. Nota: image polluée par l'ombre de la structure vitrée sur le tableau.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Bételgeuse négatif, 1974. Sérigraphie sur aluminium, 150 x 200 cm. Collection d’art Renault. Nota: image polluée par l'ombre de la structure vitrée sur le tableau.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Bételgeuse positif, 1974. Sérigraphie sur aluminium, 150 x 200 cm. Collection d’art Renault. Nota: image polluée par l'ombre de la structure vitrée sur le tableau.
 
Victor Vasarely (1906-1997). Kass positif, 1974. Sérigraphie sur aluminium, 150 x 200 cm. Collection d’art Renault. Nota: image polluée par l'ombre de la structure vitrée sur le tableau.