Parcours en images de l'exposition

OSSIP ZADKINE. L'INSTINCT DE LA MATIÈRE

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
et nos propres prises de vue


Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°470 du 9 janvier 2019



 

Entrée du musée Zadkine
I - MATIÈRE SOURCE
Scénographie
 
Panneau didactique
 

Ossip Zadkine. Tête Héroïque, 1909-1910. Granit. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1988. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.

MATIÈRE SOURCE

Substances en devenir, puissances formelles, les matières sont des forces, des flux. L’art de Zadkine naît de l’écoute de cette matière première. Dans ses souvenirs, l’artiste confesse son enracinement dans la « forêt psychique » de sa Russie natale, son approche sensorielle du bois, de la terre, de la pierre : Tête héroïque (1909).

Un retour aux sources qui trouve sa légitimité artistiqueà Paris, encore sous le choc de la rétrospective Gauguin au Salon d’automne de 1906. En consacrant l’ensauvagement du peintre, celle-ci donna une impulsion inédite au primitivisme, un courant majeur de la sensibilité moderne. Si Les Vendanges (1918), taillées à même le contour du tronc, rappellent cette influence, Zadkine sait aussi s’enécarter, guidé par sa sensibilité particulière au bloc, qui engendre la forme d’où vient la signification.

Dans Tête d’homme (1918) ou Joueuse de luth (1918), les formes paraissent surgir de la matière elle-même et ne faire qu’une avec la pierre. Unité qui transparaît également dans La Sainte Famille (1912-1913), oeuvre renvoyant à la tradition orthodoxe. Incisé dans la chair du marbre, l’instrument de Femme au violon (1918) fait corps avec la figure féminine.

Le matériau même insuffle l’íσεα : la forme visible de l’oeuvre. Du « dialogue avec la matière » naît l’émotion dont Le Prophète (1914), taillé directement dans un tronc de chêne, est l’expression...
 
Texte du panneau didactique
 
Ossip Zadkine. Le Prophète, 1914. Bois de chêne, 223 × 30 × 40 cm. Don de l’artiste en 1938. Musée de Grenoble, Grenoble. © Jean-Luc Lacroix / musée de Grenoble / Ville de Grenoble.
 

Ossip Zadkine. Maternité, 1919. Marbre partiellement teinté. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1993. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.

 
Ossip Zadkine. La Sainte Famille, 1912-1913. Mortier de plâtre et pigments. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1994. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Femme à la mandoline. Ancien titre : Jeune fille aux mains repliées, 1914. Bois laque noir. Legs du Dr Maurice Girardin en 1953. Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, Paris. © Eric Emo / Musée d’Art Moderne / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Femme à la mandoline ou Jeune fille aux mains repliées, 1914. Photographie prise dans l’atelier de Zadkine avant que l’œuvre ne soit laquée. © Musée Zadkine / Roger-Viollet.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Porteuse d’eau, 1923). Bois de noyer. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Eric Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Torse d’éphèbe, 1922. Bois d’acacia. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.   Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. La Danse, vers 1916. Plume et encre brune, lavis, crayon de couleur bleu. Papier vélin fin (pâte mécanique). Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine/Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. À la terrasse, 1922. Gouache, rehauts de gomme arabique, graphite, encre papier satiné type bristol épais (pâte mécanique). Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 2002. Musée Zadkine, Paris.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Do remember me, (1913). Plume et encre brune, craie sépia, graphite,  papier vélin fin. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine,  2001. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Femme au violon, 1918. Marbre. Collection particulière. Courtesy, galerie Fleury, Paris.
 
Ossip Zadkine. Couple, 1913. Plume et encre brune, lavis, graphite, papier Vélin fin sur papier vergé Ingres. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1997. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Trois nus, 1920. Aquarelle sur papier. Legs du Docteur Maurice Girardin, 1953. Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Paris.
Ossip Zadkine. Trois personnages, vers 1920. Lavis de gouache et tracés au graphite sur papier satiné, signé et daté en bas à droite à la plume et encre brune : Zadkine 19, vers 1920. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine / Roger-Viollet Adagp, Paris 2018.
II - RICHESSE PLASTIQUE
Scénographie
RICHESSE PLASTIQUE

Zadkine maîtrise parfaitement les pratiques et savoir faire artisanaux traditionnels. Possédant une science quasi alchimique des matériaux, il peut se livrer à toutes les tentatives de transmutations en bronze du bois, de la pierre, du marbre, de la terre cuite et du plâtre. La plasticité de son art naît des effets de matière, du goût pour l’ornement, les incrustations, les incisions et la polychromie. Le bois doré à la feuille du Fauve (1920-1921) ou de Tête d’homme (1922), le plâtre de L’Oiseau d’or (1924), le coloris de Rebecca (1927) ou du torse de Pomone (1960) sont autant d’expressions d’une richesse plastique conjuguant les influences du primitivisme. Un « primitivisme » qui se souvient autant des « dieux et fétiches nègres (…) que de leurs frères égyptiens grecs, assyriens. (…) Le jeune sculpteur (…) y puisera la vraie liberté pour arriver à l’expression » (Zadkine, 1919).

Durant une courte phase d’exploration cubiste, l’artiste se constitue une nouvelle grammaire fondée sur le signe plastique : Formes féminines (1922) taillées dans la pierre et Formes et lumières (1922) fondues en bronze doré.

La préciosité des matériaux rapproche certaines oeuvres de l’esthétique de l’Art décoratif, à commencer par Femmeà la mandoline ou Jeune fille aux mains repliées (1914) recouverte de laque, une technique remise au goût du jour par les décorateurs avec lesquels Zadkine collabore, Eileen Gray (1878-1976) qui expose Tête de femme (1924) dans la galerie qu’elle a ouverte sous le nom de Jean-Désert ou encore André Groult (1884-1966) qui procède au laquage du Torse d’hermaphrodite (1925-1931).
 
Texte du panneau didactique
 
Ossip Zadkine. Femme à l’oiseau, 1959. Granit. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Ossip Zadkine taillant le bois de Rebecca ou La grande porteuse d’eau, dans son atelier de la rue d’Assas. Photographie Thérèse Bonney, vers 1930. Paris, Musée Zadkine.
 
Ossip Zadkine. Rebecca ou La Grande Porteuse d’eau, 1927. Plâtre peint. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Déméter ou Pomone, 1960. Bois d’acacia polychrome. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Déméter ou Pomone, 1958. Bois d’ébène. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Tête aux yeux de plomb, 1919. Pierre calcaire. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Buste de Jeune Fille ou Jeune Fille aux mains repliées, 1914-1917. D’après un original en pierre. Bronze poli. Epreuve d’artiste. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1991. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Musicienne, 1919. Pierre calcaire d’Euville. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1993. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Cavalier, famille et Arlequin, 1934. Crayon, gouache et pinceau, papier vélin épais. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 2006. Musée Zadkine, Paris.
Ossip Zadkine. Le Fauve ou Le Tigre, 1920-1921. Bois doré.
Acquis à l’artiste en 1921. Musée de Grenoble, Grenoble. © Jean-Luc Lacroix/Musée de Grenoble/Ville de Grenoble.
Citation
II - RICHESSE PLASTIQUE
Zadkine et le cubisme
Scénographie
Zadkine et le cubisme

La « conversion » de Zadkine au cubisme date de la création de Sculpture ou Formes féminines (1922), Formes et lumières (1922), et s’achève avec celle de La Belle Servante (1926-1928). « Je ressentais obscurément, écrit-il dans Le Maillet et le Ciseau, que ce monachisme cubiste, excluant la couleur, pétrifiait désirs et tentatives juvéniles (…). » Nourri des simplifications magistrales de Cézanne, des constructions primitivistes de Derain et de Picasso, le cubisme de Zadkine est surtout l’occasion de revenir à la frontalité du bloc. Une frontalité que le sculpteur anime par une géométrisation de lignes aux arêtes vives, par des inversions, des emboîtements de volumes concaves / convexes. Mais ses Formes sont d’autant plus rythmiques qu’il joue tantôt de la noirceur, tantôt des reflets du bronze poli pour faire rayonner dans l’espace ses « stèles » chromatiques.
 
Texte du panneau didactique
 
Ossip Zadkine. Sculpture ou Formes féminines, 1922. Pierre ou grès recouvert d’une patine noire. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 

Ossip Zadkine. Femme à l’éventail, 1923. D’après une pierre de pouillenay bronze (original). Exemplaire sans cachet de fondeur. Portant l’inscription originale. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.

 
Ossip Zadkine. La Belle Servante, 1926-1928. Pierre calcaire. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Sculpture ou Formes et Lumières, 1922. D’après un original en marbre, bronze poli. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Deux nus dans un intérieur, 1920. Lavis de gouache, graphite, papier légèrement grainé. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 2002. Musée Zadkine, Paris.
II - RICHESSE PLASTIQUE
Le goût de l'Art déco
Scénographie
Le style Art déco

Indissociable de la modernité du XXe siècle, l’Art déco est un style aussi élaboré que difficile à circonscrire, tant ses applications sont diverses, ses sources d’inspiration éclectiques. Il marie haute tradition et innovation, artisanat de luxe et production en série, raffinement et fonctionnalisme, matières précieuses, bois exotiques et matériaux industriels. Dans le studio du couturier Jacques Doucet – quintessence de « l’esprit » Art déco –, Picasso, le Douanier Rousseau, Matisse, Zadkine, Brancusi, Modigliani… voisinent avec des masques africains et du mobilier de Pierre Legrain, Rose Adler, Gustave Miklos, Eileen Gray…
L’exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes qui ouvre en avril 1925 à Paris aura une influence décisive sur l’architecture, le mobilier, les objets d’art, la mode. Zadkine est invité à réaliser un des bas-reliefs de la Pergola de la Douce France, face à l’entrée de l’exposition. En sculpture, l’Art déco s’exprime par le retour au lisse, à la simplification des lignes, à la géométrisation et à la densité des volumes.
 
Texte du panneau didactique
 
Amédéo Modigliani (1884-1920). Portrait de Zadkine. Paris, musée Zadkine. © Musée Zadkine/Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Torse d’hermaphrodite, 1925-1931. Bois d’acacia laqué. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Torse de femme, 1961. Bois d’ébène. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Tête d’homme, 1924. Granulite. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Tête d’Homme, 1922. Bois doré à la feuille. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 2003. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Femme et chien, 1927. Bas-relief en pierre provenant de la façade de l’Hôtel Mayen. Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1990. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Nature morte au panier de fruits et à la carafe, 1927.
et Nature morte au vase de fleurs et au violoncelle, 1927. Deux bas-reliefs en albâtre provenant de la façade de l’Hôtel Mayen.
Achat de la ville de Paris sur les fonds du legs Valentine Prax-Zadkine, 1990. Musée Zadkine, Paris.
III - L'ATELIER INTÉRIEUR
Scénographie
L’ATELIER INTÉRIEUR

L’atelier de l’artiste est le « lieu matriciel », le « cocon » où s’entend au plus juste le chant de la matière, se développe l’écoute sensorielle et s’opère l’alchimie de la création. La femme-guitare de L’Odalisque (1932), aux rythmes colorés, offre un bel exemple de cette écoute sensorielle. Zadkine entre d’autant mieux dans la logique intrinsèque des matériaux et de leur pouvoir de métamorphose qu’il renoue avec la poésie primitive des mythes, des figures hybrides de la mythologie ou des contes populaires : Les Ménades (1929), Jeune fille à l’oiseau (1933-1937), Orphée (1930-1961)… L’expérimentation physique des pratiques et des savoir- faire du sculpteur transparaît aussi bien dans ses dessins que dans l’assemblage composite du Sculpteur (1922-1949), un autoportrait qui prend valeur de manifeste en faveur de la liberté de la sculpture, soumise par tradition à l’exclusivité de tel ou tel matériau.

Créer pour l’artiste, c’est nécessairement passer de l’intériorité de
l’atelier à l’extériorité – le dehors auquel sont destinées ses oeuvres. Les enchâssements de vide et de plein de La Demeure (1959) ou les ultimes et singulières Sculptures pour l’architecture (1967), que Zadkine avait l’intention de porter à l’échelle monumentale, se déploient comme autant de « demeures » fantastiques où s’interpénètrent le dehors et le dedans.
 
Texte du panneau didactique
 
Ossip Zadkine. L’Oiseau d’or, 1924. Plâtre peint et doré à la feuille. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Ancienne collection Marc du Plantier. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Jeune fille à l’oiseau, S. D. Gouache, graphite sur papier Vélin. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Visage tourmenté, vers 1966. Stylo feutre noir carton bois acide. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine / Roger-Viollet.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Les Trois Amis, 1959. Plume et encre de chine papier satiné fin de type bristol. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. La Demeure, 1959. Terre cuite originale. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Jeune fille à l’oiseau, 1937. Plâtre. Cité de la céramique, Sèvres et Limoges. © RMN-Grand Palais (Sèvres, Cité de la céramique) / Tony Querrec.
 
Ossip Zadkine. Autoportrait, vers 1966. Plume et encre de Chine, graphite, papier grainé aquarelle épais. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
Scénographie
 
Ossip Zadkine. Sculptures pour l’architecture, 1967. Plâtre. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Ossip Zadkine. Sculptures pour l’architecture ou Tour penchée, 1967. Plâtre. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Fr. Cochennec et E. Emo / Musée Zadkine / Roger-Viollet.

 

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Ossip Zadkine. Odalisque ou Bayadère, 1932. 70 × 180 × 50 cm. Bois de hêtre rouge polychromé.
Mis en dépôt par Zadkine en 1953 et donné au musée en 1956. Musée Réattu, Arles.
 
Ossip Zadkine. Les Ménades ou Les Furies, 1929. Bronze, épreuve d’artiste. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.
 
Ossip Zadkine. Le Sculpteur, 1929-1949. Marbre, granit, pierre, plomb et verre peint. Achat de l’État, 1961. Attribution 1962. Dépôt du Centre Pompidou, Musée national d’Art moderne.
 
Ossip Zadkine. Le Repos après la moisson, 1941. Gouache sur trace au graphite sur papier satiné. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris. © Musée Zadkine / Roger-Viollet.
 
Gouges droites et coudées, ciseaux à bois, maillet et gradine ayant appartenu à Zadkine, façonnés par ses soins pour certains. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981. Musée Zadkine, Paris.

Citation

IV - LE JARDIN
Vue d'ensemble
 
Vue d'ensemble (Orphée ; La Ville détruite).
 
Ossip Zadkine. Orphée, 1956. Bronze, épreuve 0/3. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
 
Ossip Zadkine. La Mélancolie, 1929-1937. Bronze, épreuve 0/3. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
 
Ossip Zadkine. Girouette, 1965. Bronze, épreuve 1/6. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
Vue d'ensemble
 
Ossip Zadkine. Torse de la Ville détruite, 1951-1963. Bronze, épreuve 2/5. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
 
Ossip Zadkine. La Ville détruite, 1947. Maquette pour le monument érigé à Rotterdam, en 1953. Bronze, épreuve 5/6. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
 
Ossip Zadkine. Projet pour le monument aux frères Van Gogh, 1963. Erigé à Zundert aux Pays-Bas, en 1964. Bronze, épreuve 6/8. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
 
Ossip Zadkine. Naissance de Vénus, 1930. Bronze, épreuve 3/8. Susse fondeur, Paris. Legs Valentine Prax-Zadkine, 1981.
Ossip Zadkine. Statue pour un jardin, 1943-1944. Bronze, épreuve d’artiste 1/1. Tallix Foundry, Beacon, New York.
Don de M. et Mme Greer, 1991.