Parcours en images de l'exposition

MADAME DE MAINTENON
Dans les allées du pouvoir

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
et nos propres prises de vue

Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°480 du 29 mai 2019





Introduction



Scénographie
 
L'exposition du tricentenaire
 
Panneau didactique


La « Belle Indienne » -
Première antichambre de l'appartement.

Scénographie
Petite-fille d’Agrippa d’Aubigné, poète et compagnon d’armes d’Henri IV, Françoise d’Aubigné est née à Niort en 1635. Elle passe la partie heureuse de son enfance au château de Mursay, chez sa tante paternelle Artémise Le Valois de Villette.

Après un séjour aux Antilles, son père aventureux disparaît et elle est même contrainte à la mendicité. Grâce à sa marraine, elle est en mesure d’épouser à seize ans le fameux poète Paul Scarron. Cet homme, au physique ingrat, la forme à l’art de la conversation et au goût des belles choses, possédant lui-même un des plus beaux tableaux de Nicolas Poussin, peint à sa demande (tableau qui passa ensuite dans les collections royales et que Madame de Maintenon devait retrouver à Versailles). Scarron fait également connaître à son épouse les cercles précieux de la capitale. Elle a eu ainsi l’occasion de nouer des amitiés durables, notamment avec Ninon de Lenclos, puis avec Madame de Sévigné, Madame d’Heudicourt et Madame de
Montespan.

Devenue veuve en 1660, Françoise Scarron prend pension dans un couvent. Cela n’empêchera pas certaines rumeurs évoquant une liaison avec le marquis de Villarceaux, lui-même amant de Ninon de Lenclos. Ce dernier aurait même peint Françoise Scarron nue, au bain, comme en témoigne la mystérieuse toile encore conservée au domaine de Villarceaux.

 
Texte du panneau didactique
 
Attribué à Louis de Mornay, marquis de Villarceaux (1619-1691). Portrait présumé de Françoise d’Aubigné. Huile sur toile. Chaussy, Domaine de Villarceaux.
 
Anonyme. Agrippa d’Aubigné, France, XVIIe siècle. Huile sur toile. Genève, Bibliothèque de Genève. © Château de Versailles.
 
Jean Petitot (1607-1691). Françoise d’Aubigné, épouse Scarron, vers 1660. Miniature sur émail. Paris, musée du Louvre.
 
Nicolas Poussin. Le Ravissement de saint Paul. © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / S. Maréchalle.
 
Acte de baptême de Françoise d’Aubigné, 28 novembre 1635. Document manuscrit. Niort, archives municipales, fonds ancien de la Ville de Niort conservé aux Archives départementales des Deux-Sèvres. © Niort Agglo, Bruno Derbord.
Scénographie, Jérôme Dumoux. © Thomas Garnier.
 
Œuvres de Monsieur Scarron reveuës, corrigées et augmentées de nouveau, avec le portrait de Paul Scarron (1610-1660). Gravure anonymes, vers 1659. Versailles, bibliothèque municipale.
 
Inventaire après décès de Paul Scarron, 12 octobre 1660. Document manuscrit. Paris, Archives nationales.
 
Attribué à Louis-Ferdinand Elle l’Aîné (1612-1689). Ninon de Lenclos, vers 1650. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Anonyme. Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, France, XVIIe siècle. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.


La Gouvernante - Deuxième antichambre de l'appartement.



Scénographie
Rencontrée à l’hôtel d’Albret, son amie Madame de Montespan, devenue la favorite du roi en 1667, pense à faire confier deux ans plus tard à Françoise Scarron la mission d’élever les enfants illégitimes issus de ses amours avec Louis XIV.
Né en 1670, le duc du Maine est le préféré de Françoise Scarron. C’est avec lui et avec son frère le comte de Vexin qu’elle se fait peindre sous les traits de la sainte Vierge. Pour le duc du Maine, qui a du mal à marcher, elle effectue deux longs séjours successifs à Barèges dans les Pyrénées, lieu réputé pour ses bains thérapeutiques. Après ces premiers enfants, elle s’occupe encore de deux filles.

Cette fonction de gouvernante lui permet de s’établir à la cour dès 1673. Elle a ainsi la possibilité de se faire apprécier du roi et, par les grâces de ce dernier, de devenir châtelaine de Maintenon. Sans même l’avoir vu, elle achète le domaine, situé à proximité de Chartres, en décembre 1674. Bien qu’elle n’y séjourne pas beaucoup, elle y fait plus tard des travaux d’aménagements, notamment pour y accueillir le roi et une partie de la cour.

Les portraits attestés de Madame de Maintenon sont très rares. L’émail de Petitot est sa première représentation connue. Plus tard, Françoise Scarron est aussi représentée avec son amie, Bonne de Pons, marquise d’Heudicourt. Le musée de Niort conserve aussi deux portraits : si le premier, où elle tient une perle, semble incontestable, le second est plus problématique en raison de la couleur bleue de ses yeux, dont on sait qu’ils étaient noirs.

 
Texte du panneau didactique
 
Anonyme (France). Françoise d’Aubigné, vers 1670, huile sur toile. Niort, musée Bernard d’Agesci. © Thomas Garnier.
 
Henri Gascar (1635-1701). Portrait présumé de Françoise d’Aubigné, 1674. Huile sur toile. Niort, musée Bernard d’Agesci.
 
Attribué à Pierre Mignard (1612-1695). Françoise d'Aubigné, veuve Scarron et les deux premiers enfants du roi et de Madame de Montespan. Huile sur toile. Maintenon, château de Maintenon. © Christophe Fouin.
Attribué à Pierre Mignard (1612-1695). Françoise d’Aubigné, veuve Scarron, présentant la marquise d’Heudicourt à l’Amour.
Huile sur toile.
France, collection particulière.
 
Pierre Mignard (1612-1695). Louise-Marie-Anne de Bourbon dite Mademoiselle de Tours. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine (1670-1736). Œuvres diverses d’un auteur de sept ans. Livre imprimé, 1678. Versailles, bibliothèque municipale.
 
Le Château de Maintenon du côté de l’entrée, le Château de Maintenon du côté du jardin. Gravure anonyme, vers 1680. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. © Château de Versailles.
 
Acte d’achat du château de Maintenon, 27 décembre 1674 – 18 février 1675. Document manuscrit. Paris, Archives nationales.
Entrée de la chambre


« Madame de Maintenant » -
Chambre.



Scénographie
La disgrâce de Madame de Montespan puis la mort de la reine permettent la dernière étape de l’ascension de Madame de Maintenon (surnommée « Madame de Maintenant » à la cour) : le roi l’épouse en 1683. Probablement célébré en octobre à Versailles, et en présence notamment du confesseur du roi le père de La Chaise, ce mariage ne sera jamais officiel. Si les circonstances précises ne peuvent en être connues, son existence est néanmoins indiscutable, comme en témoignent deux lettres exceptionnelles émanant de l’évêque de Chartres, Godet des Marais : l’une, non datée, à Louis XIV et, surtout, celle du 12 août 1709, transcrite de la main de Madame de Maintenon, à qui elle était adressée.

En épousant Louis XIV, Madame de Maintenon entre de fait dans la famille royale. Outre Monseigneur, le fils du roi, elle a affaire à Monsieur, frère du roi, et à son épouse, Madame, qui l’accueille avec beaucoup de réticence, jusqu’à entretenir à son encontre une haine tenace.

Troisième pièce de l’appartement de Madame de Maintenon, la chambre en est la pièce la plus importante. C’est là que le roi se rend chaque jour, notamment pour y travailler aux affaires de l’État. Madame de Maintenon vit dans un cadre raffiné, à Versailles et dans les autres résidences royales.

Dès que sa faveur est connue à la cour, Madame de Maintenon fait l’objet de nombreuses critiques : pamphlets et caricatures ne la ménagent pas.

 
Texte du panneau didactique
 
Pierre Mignard (1612-1695). Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon, en sainte Françoise Romaine. Huile sur toile, 128 x 97 cm.
Versailles, musée national des châteaux de Versailles et Trianon. © Château de Versailles (dist. RMNGrand Palais) / Christophe Fouin.
 
Scénographie avec, de Nicolas de Largillère (1656-1746), Portrait d'Élisabeth-Charlotte de Bavière, duchesse d'Orléans, dite Madame (voir ci-dessous).
 
Scénographie avec Louis XIV (voir ci-dessous) et la carte de la France. Plateau de table en marqueterie de pierres dures et de marbre, 1684. Manufacture des Gobelins d'après Claude Couplet (1642-1722). Versailles, musée national des châteaux de Versailles et Trianon.
 
Nicolas de Largillère (1656-1746). Portrait d'Élisabeth-Charlotte de Bavière, duchesse d'Orléans, dite Madame, vers 1680. Huile sur toile. Nancy, musée des Beaux-Arts.
 
Antoine Benoist (1632-1717). Louis XIV, vers 1700. Relief, cire d’abeille peinte, œil de verre peint, cheveux humains, dentelle, soie, velours, épingles et clous de fixation. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
Scénographie, Jérôme Dumoux. © Thomas Garnier.
 
René-Antoine Houasse (1645-1710). Alphée et Aréthuse, 1688. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Jean Jouvenet (1644-1717). Apollon et Téthys, vers 1700. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Attribué à Michel Corneille le jeune (1642-1708). Philippe de France, duc d’Orléans dit Monsieur, vers 1680.  Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Antoine Coysevox (1640-1720). Louis de France, dit Monseigneur, dauphin de France, 1678-1679. Buste, marbre. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
Vitrine
 
Petit livre secret. Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon (1635-1719), 1703-1709. Page de droite, 4e ligne avant la fin : « Dieu a formé le lien qui vous unit ». Versailles, bibliothèque municipale, Manuscrits. © Château de Versailles.

 


Anonyme. Madame de Maintenon déguisée en moine, vers 1690. Gravure. Paris, Bibliothèque nationale de France. © Château de Versailles.
 
Citation de Madame de Maintenon.
 
D’après Pierre Simon (1640-1710). Françoix d’Aix de La Chaise, dit le père de La Chaise, huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Francesco Trevisani (1656-1746). Le Sommeil de l’Enfant Jésus, vers 1700. Huile sur toile. Paris, musée du Louvre.


La Presque Reine de Versailles -
Grand cabinet I.



Scénographie
Malgré des relations difficiles avec sa belle-famille, Madame de Maintenon réussit à s’imposer comme une figure importante de la cour en tissant autour d’elle tout un réseau d’amitiés fondé sur l’estime et la tendresse. Outre Madame de Caylus, le marquis de Dangeau et son épouse, puis l’abbé Fénelon représentent les principales figures de ce cercle raffiné.

En 1696, l’arrivée à la cour de la duchesse de Bourgogne, épouse du petit-fils aîné du roi, permet à Madame de Maintenon de reprendre un rôle prépondérant dans l’éducation des princes de la famille royale. En effet, Madame de Maintenon prend en affection cette jeune princesse de 11 ans, qui l’appelle familièrement « ma tante » et qui se rend fréquemment chez elle. Madame de Maintenon exerçe un véritable ascendant – en faisant nommer, notamment, les principaux officiers de sa Maison – sur celle qui était appelée à régner, jusqu’à sa mort prématurée, à l’âge de 26 ans.

Durant la longue période de son mariage avec Louis XIV (1683-1715), Madame de Maintenon est dédicataire de plusieurs ouvrages publiés, dont un étonnant recueil de psaumes mis en page sous forme de calligrammes. Elle est également l’objet de plusieurs représentations gravées destinées à être largement diffusées, à la différence des portraits peints. Parmi ces dernières, la gravure de Giffart occupe une place particulière, dans la mesure où elle est accompagnée de devises faisant allusion à son statut à la cour.

 
Texte du panneau didactique
 
D’après Pierre Mignard (1612-1695). Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, en sainte Françoise Romaine, vers 1694. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. © Château de Versailles (dist. RMNGrand Palais) / Christophe Fouin.
 
Hyacinthe Rigaud (1649-1743). Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau, 1702. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Attribué à Pierre Gobert (1662-1744). Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, vers 1700. Huile sur toile. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
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L'Institutrice -
Grand Cabinet II.



Scénographie
Saint-Cyr représente l’aboutissement de l’oeuvre de Madame de Maintenon comme éducatrice. Fondée en 1686 pour accueillir les jeunes filles pauvres de la noblesse de France, l’institution – dont elle est, de fait, l’institutrice – installée dans de vastes bâtiments édifiés par Jules Hardouin-Mansart aux confins de Versailles.

Objet d’une sélection attentive, comme en témoigne la correspondance de Madame de Maintenon, les Demoiselles de Saint-Cyr étaient au nombre de 250, réparties en quatre niveaux. Elles recoivent une éducation soignée et d’une grande modernité, accordant une part importante aux activités de l’esprit. Ainsi, pour Saint-Cyr, Racine reprit la plume pour composer deux tragédies bibliques – Esther en 1689 puis Athalie en 1691 – destinées à être jouées par les pensionnaires.

Le portrait de Louis XIV tenant le plan des bâtiments de Saint-Cyr forme un pendant à celui de Madame de Maintenon accompagnée de sa nièce, la future duchesse de Noailles. Ces deux portraits sont peints pour Saint-Cyr, où ils sont présentés l’un à côté de l’autre.

Louis XIV se rend souvent à Saint-Cyr, où il annonce sa venue avec beaucoup de délicatesse, comme en témoigne un des courts billets conservés qu’il écrit souvent à son épouse.

En 1715, à la mort du roi, Madame de Maintenon se retire définitivement à Saint-Cyr. Elle y meurt le 15 avril 1719. Un de ses derniers portraits pourrait être celui peint par Jouvenet, qui la montre en habit de Dame de Saint-Cyr.

 
Texte du panneau didactique
 
Louis, dit Ferdinand, Elle (1612-1689). Madame de Maintenon et sa nièce Françoise d'Aubigné, future duchesse de Noailles. Huile sur toile, 219 x 142 cm. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. © Château de Versailles (dist. RMN-Grand Palais) / Christophe Fouin.
 
Nicolas-René Jollain, dit Jollain le Vieux. Louis XIV. Huile sur toile, 221 x 165 cm. Madame de Maintenon et sa nièce. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. © Château de Versailles (dist. RMN-Grand Palais) / Christophe Fouin.
 
Pierre Duflos. Demoiselle de Saint-Cyr. Gravure, vers 1700. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.
Scénographie
 
Mme de Maintenon à l’église. Paris, chez Bercy, 1697. Gravure. Recueil de 122 figures. Versailles, bibliothèque municipale.
 
Acte de sépulture de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, 17 avril 1719. Document manuscrit. Archives départementales des Yvelines.

 

« J'avois résolu d'aller à la chasse, mais le temps m'en empêche et mon pied ne va pas trop bien. Si vous voulez venir sur les 6 heures, vous me ferez plaisir. »

« Je croy que je pourrai aller à complie à Saint-Cyr, si vous l'approuvez, et revenir après avec vous en nous promenant. On pourroit aujourd'huy, qui est une feste de la Vierge, dire les litanies, qui allongeroient un peu les [prières.] »

 
Pierre Aveline l’Ancien (1656-1722). Vue générale de l’entrée de la maison des dames de Saint-Cyr, proche de Versailles. Gravure aquarellée, vers 1700. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.


Madame de Maintenon et sa légende -
Grand cabinet III.



Scénographie
Le parcours et l’extraordinaire ascension de Madame de Maintenon n’ont eu de cesse d’intriguer, curieux et malveillants.
Il est vrai que, déjà de son vivant, Madame de Maintenon organise sa propre légende. « Me voilà hors d’état de prouver que j’ai été bien avec le roi » : elle prononce cette formule au moment où, retirée à Saint-Cyr après la mort de Louis XIV, elle détruit par le feu de nombreuses lettres, dont celles qu’elle avait reçues de son époux – ce qui incite le premier éditeur de sa correspondance, La Beaumelle, à forger des lettres factices.

Dès sa retraite à Saint-Cyr, Madame de Maintenon devient en quelque sorte une légende vivante, que les voyageurs cherchent à apercevoir. Ainsi, en 1717, lors de son séjour en France, Pierre le Grand tient à rencontrer Madame de Maintenon, relique vivante du règne passé et veuve du Grand Roi. À l’instar d’autres épisodes de la vie de Madame de Maintenon, la venue du tsar à Saint-Cyr est une source d’inspiration pour plusieurs compositions historicistes du XIXe siècle.

Décriée ou admirée, Madame de Maintenon continue aujourd’hui encore à fasciner, comme en témoigne le succès international de L’Allée du roi, mémoires apocryphes de Madame de Maintenon publiées en 1981 par Françoise Chandernagor et objet d’une adaptation télévisuelle. De Si Versailles m’était conté à la série Versailles, en passant par Saint-Cyr, la diversité des visions portées sur Madame de Maintenon montre combien sa destinée, tout à la fois mystérieuse et éclatante, appelle le romanesque.

 
Texte du panneau didactique
 
Thérèse de Champ-Renaud (1861-1921). Pierre le Grand rendant visite à Madame de Maintenon, vers 1890. Huile sur toile. Maintenon, château de Maintenon. © Christophe Fouin.
 
Julie Philipault (1780-1834). Racine lisant Athalie devant Louis XIV et Mme de Maintenon, 1819. Huile sur toile. Paris, musée du Louvre.
 
Édouard Pingret (1785-1869). Racine faisant répéter Esther aux Demoiselles de Saint-Cyr, 1835. Peinture à l’huile sur papier marouflé sur toile. Saint-Quentin, musée Antoine Lécuyer.
Madame de Maintenon en Sainte Françoise romaine, médaillon (France, collection particulière)
et lettres accompagnant le médaillon de Madame de Maintenon.
 
Raymond Fournier-Sarlovèze (1836-1916). Le Camp de Compiègne, vers 1900. Huile sur toile. Compiègne, musée national du Palais de Compiègne.
 
Scénographie , fin de l'exposition.
 
Anonyme (graveur), Jacques Langlois (éditeur). Le Camp de Compiègne. Almanach pour l’année 1699 : Le camp et le siège de Compiègne, commandé par Monsieur le duc de Bourgogne où le roi donne une magnifique représentation de toutes les parties de l’art militaire, 1699. Gravure, H. 83,3 ; L. 59,5 cm. Paris, Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, Histoire, Sciences de l’homme, RESERVE QB-201(171, 14)-FT 5. © Bibliothèque nationale de France.
  Panneau didactique. Madame de Maintenon en douze dates.