Notre sélection de visuels de l'exposition

GUSTAVE DORÉ (1832-1883).
L'imaginaire au pouvoir

parmi ceux mis à la disposition de la presse
et nos propres prises de vue


(visuels accompagnant l'article publié dans la Lettre n°365
du 3 mars 2014)



1 - GUSTAVE DORÉ INTIME ET SPECTACULAIRE
Scénographie - Les figures de l'enfer
Gustave Doré (1832-1883). Dante et Virgile dans le neuvième cercle de l’Enfer, 1861. Huile sur toile, 315 x 450 cm. Bourg-en-Bresse, musée du Monastère royal de Brou. © Photo Hugo Maertens, Bruges.
 
Gustave Doré (1832-1883). La Parque et l’Amour, 1877. Plâtre patiné, 300 cm x 150 cm (diam.) Collection particulière.
 
Gustave Doré (1832-1883). La Gloire étouffant le Génie, 1878. Plâtre, 255 × 163 × 146 cm. Ville de Maubeuge, musée Henri-Boez.
 
Gustave Doré (1832-1883). L’Effroi, 1879. Plâtre, 120 x 22 x 24 cm. Strasbourg, Musée d‘art moderne et contemporain.
 
Gustave Doré (1832-1883). Roget et Angélique dit aussi Persée et Andromède, 1879. Bronze, 94 x 39 x 30 cm. Milly-la-Forêt, maison Jean Cocteau.
Scénographie - Figures de l'enfer
Gustave Doré (1832-1883). Les Trois juges de l’enfer, avant 1879. Huile sur toile, 130,5 × 194 cm. La Rochelle, musées d‘Art et d‘Histoire.
 
Gustave Doré (1832-1883). Joyeuseté, dit aussi À saute-mouton, vers 1881. Bronze, 36,5 x 27 x 17 cm. Paris, musée d’Orsay. © Musée d’Orsay, Dist.RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt.
 
Gustave Doré (1832-1883). Pendule (Le Temps fauchant les amours), 1879. Bronze doré et ciselé, 130 cm (diam. à la base 45 cm). Paris, Les Arts décoratifs, musée des Arts décoratifs.
 
Gustave Doré (1832-1883). Entre Ciel et Terre, 1862. Huile sur toile, 61 x 51 cm. Belfort, collection Musées de Belfort. © Musée d’Art et d’Histoire, Belfort, France / Giraudon / The Bridgeman Art Library.
 
Gustave Doré (1832-1883). Pierrot grimaçant, sans date. Aquarelle et rehauts de gouache blanche sur traits de crayon, 64,2 x 50,5 cm. Strasbourg, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg. © Photo musées de Strasbourg.
 
Gustave Doré (1832-1883). Les Saltimbanques dit aussi L’Enfant blessé, 1874. Huile sur toile, 224 x 184 cm. Clermont-Ferrand, musée d’Art Roger-Quillo. © Ville de Clermont-Ferrand - musée d'art Roger-Quilliot.
 
Gustave Doré (1832-1883). Les Chouettes, 1879. Aquarelle et crayon noir sur papier, 86 x 59 cm. Musée des Beaux-arts de Dijon (donation Granville). © Musée des Beaux-Arts de Dijon. Photo François Jay.
Scénographie - Le spectacle du religieux
Gustave Doré (1832-1883). Le Christ quittant le prétoire, 1876-1883 Huile sur toile, 482 x 722 cm. Nantes, musée des Beaux-arts. © RMN-Grand Palais / Gerard Blot.
2 - DE LA CARICATURE AU PAYSAGE
 
Adrien Tournachon (1825-1903). Gustave Doré barbu, vers 1854 Photographie, 23,3 x 17 cm. Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « 1542-1580. Suite du règne d’Yvan-le-Terrible.Devant tant de crimes, clignons l’oeil pour n’en rien y voir que l’aspect général ». Illustration publiée dans Gustave Doré, Histoire pittoresque, dramatique et caricaturale de la Sainte Russie commentée et illustrée par Gustave Doré, Paris, J. Bry Aîné, 1854. Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des Livres rares. © Bibliothèque nationale de France.

Gustave Doré (1832-1883). « Hercule passant par les écuries d’Augias ». Lithographie, Les Travaux d’Hercule, Paris, Aubert & Cie, 1847, in-8o oblong. New York, The Morgan Library & Museum © The Pierpont Morgan Library, New York.

Gustave Doré (1832-1883). « Une pépinière de rapins, de croûtons et d‘apprentis Raphaël », Journal pour rire, no 136, 6 septembre 1850. Xylographie 31,4 × 43,5 cm. Béziers, musée de la Ville de Béziers.
 
Gustave Doré (1832-1883). La Barque de Caron, 1846. Plume, encre noire, lavis d‘aquarelle sur papier vélin, 41 × 58,5 cm. Collection particulière.
 
Gustave Doré (1832-1883). « L‘après-dîner à Saulsay », dessin préparatoire pour un éventail, d‘après une illustration pour les oeuvres de François Rabelais, vers 1854. Crayon, rehauts de gouache et d‘aquarelle sur vélin, 29,2 × 58,5 cm. Collection particulière.
Scénographie - Illustrer la littérature
Gustave Doré (1832-1883). « Au secours ! Au secours ! Voilà M. le marquis de Carabas qui se noie », frontispice pour Le Maître Chat ou Le Chat botté, publié dans Charles Perrault, Contes, illustré par Gustave Doré, gravé par Adolphe François Pannemaker (1822-1900), Paris, Hetzel, 1862, in-fol. 43 x 31 x 4,5 cm (livre fermé). Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des Livres rares. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « Le château enchanté », dessin préparatoire à La Belle au bois dormant illustré par Gustave Doré, vers 1867-1869. Lavis, plume et encre brune, crayon, estompe et rehauts de gouache blanche, 42,5 x 33 cm. Strasbourg, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg. © Photo musées de Strasbourg.
 
Gustave Doré (1832-1883). L’enfance de Pantagruel, vers 1873. Aquarelle, plume et encre brune sur traits de crayon, rehauts de gouache blanche, 36 x 47,8 cm. Strasbourg, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg. © Photo musées de Strasbourg.
 
Gustave Doré (1832-1883). « Que son sort malheureux – paraît triste et fâcheux ». Xylographie gravée par Jean Best (1808-1879), publiée dans Pierre Dupont, La Légende du juif errant, Paris, Michel Lévy, 1856, grand in-fil., pl.VII. Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des Livres rares. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « Il me regarda un peu et me demanda avec dédain : Quels furent tes ancêtres ? ». Xylographie gravée par Héliodore Pisan (1822-1890), publiée dans Dante Alighieri, L’Enfer, Paris, librairie Hachette, 1861, in-fol. 43 x 33,5 x 8 cm livre fermé. Paris, Bibliothèque nationale de France, Reserve de Livres rares. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). Miguel de Cervantès. Frontispice de L’Ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche, illustré par Gustave Doré, gravé par Héliodore Pisan (1822-1890), Paris, Librairie Hachette, 1863, in-fol. 1863 33 x 44 x 7 livre fermé. Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des Livres rares. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « Le jeu est fini, j’ai gagné, j’ai gagné». Xylographie publiée dans Samuel Coleridge, La Complainte du vieux marin (The Rime of the Ancient Mariner), Londres, The Doré Gallery, 1875, in-fol 50, 5 x 39 x 2,5 cm livre fermé. Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des Livres rares. © Bibliothèque Nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « D’autres étaient rangés en cercles et chantaient des choeurs d’une beauté inexprimable ». Xylographie gravée par Adolphe François Pannemaker (1822-1900), publiée dans Rudolf Erich Raspe, Les Aventures du Baron de Münchhausen, Paris, Furne, 1862, in-4°. Paris, Bibliothèque nationale de France, département litterature. © Bibliothèque nationale de France.
 
Gustave Doré (1832-1883). « Au dessus de Londres, par chemin de fer ». Xylographie gravée par Héliodore Pisan (1822-1890), publiée dans Blanchard Jerrold, Londres: un pèlerinage (London : A Pilgrimage), Londres, Grant & Co, 1872, in-fol. Ottawa, collection de la National Gallery of Canada Library & Archives Photo @ NGC.
Scénographie - 1870 : L'Année terrible
Scénographie - 1870 : L'Année terrible
 
Gustave Doré (1832-1883). L’Aigle noir de la Prusse, 1871. Huile sur toile, 129,5 x 195 cm. Etats Unis, Dahesh Museum of Art.2002.60. © Dahesh Museum of Art, New York, USA / The Bridgeman Art Library.
 
Gustave Doré (1832-1883). Soeur de la Charité sauvant un enfant, un incident durant le Siège de Paris, 1870-71. Huile sur toile, 97,79 x 130 cm. Le Havre, Musée d’Art moderne André Malraux. © Musée des beaux-arts André Malraux, Le Havre, France / Giraudon / The Bridgeman Art Library.
 
Gustave Doré (1832-1883). L’Énigme (détail), 1871. Huile sur toile, 130 × 195,5 cm. Paris, musée d‘Orsay.
 
Gustave Doré (1832-1883). Le Rassemblement des troupeaux dans le bois de Boulogne, 1870. Gouache, lavis brun sur papier beige, 64,5 × 97,5 cm. Paris, musée d‘Orsay.
Scénographie - Religion et pathos : La Bible
 
Gustave Doré (1832-1883). Le Déluge (détail), 1862-1865. Mine de plomb, fusain et lavis rehaussé de blanc sur papier blanc, 72,4 × 61 cm. Phoenix, collection du Phoenix Art Museum.
 
Gustave Doré (1832-1883). Le Christ au roseau, 1874. Plume et encre noire, pierre noire, lavis d’encre de Chine, 58 x 44 cm. Musée Tavet-Delacour, Pontoise. © Musée de Pontoise.
 
Gustave Doré (1832-1883). Le Christ cloué sur la croix, s. d. Plume et encre noire sur crayon beige, lavis brun, aquarelle, rehauts de gouache blanche, 49,5 × 64,5 cm. Strasbourg, musée d‘Art moderne et contemporain.
 
Gustave Doré (1832-1883). Le Calvaire, dit aussi La Crucifixion, 1877. Huile sur toile, 109,8 × 170,2 cm. Strasbourg, musée d‘Art moderne et contemporain.
Gustave Doré (1832-1883). Le Néophyte, 1869. Plume et encre noire, 56,8 x 68 cm. Strasbourg, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg. © Photo musées de Strasbourg.
Scénographie - Paysages pittoresques et sublimes
 
Gustave Doré (1832-1883). Cascade du trou de l’Enfer dans la vallée du Lys (Luchon), 1882. Aquarelle, 56 × 38 cm. Lourdes, musée Pyrénéen, en dépôt au musée des Beaux-arts de Pau.
 
Gustave Doré (1832-1883). L’Ascension du mont Cervin, vers 1865. Plume et encre brune, lavis d‘encre de Chine, lavis brun et rehauts de gouache blanche, 79,5 × 59,5 cm. Paris, musée d‘Orsay.
 
Gustave Doré (1832-1883). Cirque de Gavarnie. Aquarelle sur carton, 50 x 65 cm. Lourdes, Musée Pyrénéen, déposé au musée des beaux-arts de Pau. © Musée des beaux-arts, Pau, France / Giraudon / The Bridgeman Art Library.
 
Gustave Doré (1832-1883). Lac en Ecosse. Après l’orage, 1875-78. Huile sur toile, 90 x 130 cm. Grenoble, musée de Grenoble © Musée de Grenoble.
Gustave Doré (1832-1883). Collines d’Ecosse, 1875. Huile sur toile, 108,6 x 183,2 cm. Toledo Museum of Art. © Photo courtesy of Toledo Museum of Art.
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