Notre sélection de visuels de l'exposition

CHEVEUX CHERIS. Frivolités et trophées

parmi ceux mis à la disposition de la presse
et nos propres prises de vue


(visuels accompagnant l'article publié avec la Lettre n°356
du 17 juin 2013)


Ensemble de portraits à l'entrée de l'exposition
 
Sainte Marie-Madeleine en pied, dite aussi Sainte Marie l'Egyptienne, 1311-1313. Eglise Notre-Dame, Ecouis. Ecole française (Normandie ou Ile-de-France). Pierre, polychromie (traces). H. 147 cm, L. 50.6 cm, pf. 34 cm. © RMN-GP/Jean-Gilles Berizzi.
 
Baron François-Joseph Bosio (1768-1845). Buste de Marie-Amélie, reine des Français (1728-1866), vers 1838, marbre. Musée national des Châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Louis-Pierre Sedeine (1749-1822). Buste de Louis XVII (1785-1795), 1790, marbre. Musée national des Châteaux de Versailles et de Trianon.
 
Evariste Vital Luminais (1821-1896). Pirates normands au 9e siècle. Huile sur toile, 189 X 144 cm. Musée départemental Anne-de-Beaujeu, Moulins. © Jérôme Mondière.
 
Charles Cordier (1827-1905). Buste d'un chinois, groupe sud-oriental, 1853, bronze. Centre national des arts plastiques, en dépôt au Muséum national d'histoire naturelle, Paris.
 
L'équipe des bouffant belles lors du départ d'une course, 1964. Les Bouffant Belles étaient une équipe féminine texane de course à pied. Réputées tant pour leurs performances athlétiques que pour leur beauté, les membres de l'équipe affirmaient leur féminité tout en faisant assaut d'élégance, notamment capillaire. Comme l'expliquait leur coach, Mrs Ellison, la coiffure "bouffant" permettait de mieux courir, en empêchant les cheveux battus par le vent de revenir sur le visage. A chaque compétition, les coureuses arboraient une nouvelle coiffure. © Neil Barr.
 
Lévin Sam (1904-1992). Suzanne Cloutier. © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN / Sam Lévin.
 
Sam Lévin (1904-1992). Ava Gardner [sur le tournage de " La Maja Nue ", Film de Henry Koster, 1958]. Tirage moderne. Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, Paris. © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN / Sam Lévin.
 
Sam Lévin (1904-1992). Gina Lollobrigida, 1952. Tirage moderne. Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, Paris. © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN / Sam Lévin.
 
Une des salles avec, au centre, L'Aurore de Denis Pierre Puech (voir ci-dessous).
 
Maurice Teissonniere (1874 - apres 1944 ?). Femme en deuil, 1880-1909. Tirage sur papier aristotype, 16,5 x 11,5 cm. Ethnie: Mérina. © Musée du quai Branly, photo Maurice Tessonniere.
 
Denis Pierre Puech (1854-1942). L'Aurore, dit autrefois Naïade éplorée, 1900, marbre blanc, marbre rose. Musée d'Orsay, Paris.
 
Anonyme. Métisse Tagalo-chinoises (Sangleyes). Ïle de Luzon, Philippines, 1870-1885. Tirage sur papier albuminé, 13,5 x 10 cm. © Musée du quai Branly.
 
Nobuyoshi Araki. Untitled, photographie noir et blanc. © Nobuyoshi Araki / Courtesy the artist and kamel mennour, Paris.
 
Man Ray. Marcel Duchamp, 1921 - Tonsure en étoile par de Zayas. © Man Ray Trust / ADAGP, Paris, 2012.
 
Robert Capa. Chartres, 18 août 1944, femme tondue pour avoir eu un enfant avec un allemand.
 
Coiffe oblongue, en cheveux, ornée en son milieu d'un gorgeret de paradisier. Coquillage circulaire fixé au centre de ce gorgeret de paradisier. Frise de pétales sur le devant de la coiffe. Touffe hétéroclite de chaque côté de la coiffe : plumes, feuilles, papillottes, plastique orange. 13 x 59 x 28 cm, 426 g, cheveux, gorgeret de paradisier, plumes, laine rouge, coquillage, papillotte de bonbon Big Boy, plastique orange, pétales, feuilles. Tari (village), Océanie. © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 
Grande cape épaisse en feutre de laine de yack et de mouton avec des cheveux de femmes, début 20ème siècle. Feutre en laine de yack et de mouton, cheveux, 110 cm de haut. Yunnan, ethnie: Yi (Nossou). Le col est resseré par une cordelette. Cape en feutre servant de vêtement, mais aussi de couverture, utilisée par les hommes et les femmes sur leurs vêtements quotidiens. Plus ces capes étaient riches en cheveux, plus la famille montrait sa richesse. Des pièces de cette qualité ne sont plus fabriquées depuis les années 1940. © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 
Coiffe de chef (détail), avant 1899, fibres végétales, cheveux, moelle de bambou, boutons blancs, cuivre, 25 x 18 x 17,5 cm, 232 g. Ethnie: Fang (Gabon). Coiffe en lianes tressées avec des cheveux, arête médiane en moelle de bambou recouverte de trois tresses. Garniture de boutons blancs. Anneau en cuivre à la partie supérieure. © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 
Cimier anthropomorphe. Masque orné de véritable cheveux humains tressés en natte dont l'extrémité est prise dans un boudin de cuivre. Une rangée verticale de chéloïdes profondément incisées décore chaque tempe, une rangée horizontale beaucoup plus petite occupe l'espace entre les sourcils. Les yeux et dents en métal et blanchis. Présence de motifs "nsibidi " sur les joues. Lèvres ourlées. Le menton porte une scarification. Couleur rouge cuivré pour l'ensemble du cimier. Usage de l'objet: Cimier de danse. 35 x 17 x 22 cm, 693 g, bois, peau d'antilope, métal, cheveux. Cross River (Afrique). © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 

Coiffe couvre-nuque, 1960-1972, plumes, coton, fibres végétales, cheveux, 51 x 32 cm couvre-nuque, 7 x 20 cm bandeau. Ethnie: Rikbaktsa (Mato Grosso). © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.

 
Collier, XIXe siècle, ivoire de morse, fibres végétales, cheveux. Hawaii. Ce type de collier est fait de cheveux finement tressés, auxquels est suspendu un crochet en ivoire de morse. La longeur d'un collier déroulée pouvait atteindre 350 mètres. Don R. Lesson. Musée du quai Branly, Paris.
 
Collier, composé d'une alternance de vertèbres (requin ?) et de longs cheveux. Fin 19e siècle, os de poisson ? (vertèbres), cheveux, fibres végétales, métal. Ensemble : 54 x 28 x 4 cm, 196 g. Collier : 25 x 20,5 x 4 cm.Iles Marquises (Océanie). © Musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 
Vitrine avec têtes réduites.
 
Tête-trophée, 19e siècle, tête humaine, coton, plumes, poix, boules de résine, dents d'agouti, 27 x 30 x 24 cm, 1298 g. Ethnie: Munduruku (Brésil). Usage de l'objet: Les Mundurucu coupaient la tête de leurs ennemis et aussi celles de leurs compagnons morts sur le champ de bataille. Les têtes des ennemis étant considérées comme des trophées et celles des compagnons comme des reliques. Les Mundurucu dépouillaient la tête de la chair, des muscles et des dents et vidaient la boîte crânienne. Ils ne réduisaient pas la tête et ils ne la dépouillaient totalement comme les Parintintin. La tête était soigneusement lavée, enduite avec de l'huile de carapa (Carapa Guyanensis Aubl.) et puis, bourrée. Pendant quatre années, le guerrier possédant une parinaa avait droit à une pension. Quand les 4 années étaient écoulées, on célébrait une grande fête au cours de laquelle les têtes étaient portées au bout d'une lance (parinarenape) ou bien suspendues au cordon. La fête (pariauae_ra) terminée, le trophée perdait son importance. © Musée du quai Branly, photo Patrick Gries .
 
Tête réduite d'un prisonnier avec corde de suspension. Peau, cheveux, 64 x 9,5 x 8 cm, 270 g. Ethnie: Shuar, Pays: Macas. © musée du quai Branly, photo Claude Germain.
 
Tête réduite avec ornement bucal (lien fermant la bouche) et ornements d'oreille se terminant pas des plumes. 49,3 x 26 x 26 cm, restes humains, plumes, fibres végétales. Ethnie: Jivaro, Shuar (Equateur). © Musée du quai Branly, photo Patrick Gries.
 
Momie. Chancay, Pérou (1000-1450). Don Léon de Cessac. Musée du quai Branly, Paris.
 
Tête de momie. Egypte, époque romaine (30 av. J.-C. - 395 ap. J.-C.). Lin, feuille d'or. Département des Antiquités égyptiennes. Musée du Louvre, Paris.
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