Parcours en images et en vidéos de l'exposition

AU DIAPASON DU MONDE

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
et nos propres prises de vue


Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre459 du 18 juillet 2018


 
Panneau didactique

PARCOURS A : TAKASHI MURAKAMI (Niveau 2)


Scénographie
Galerie 9 - Takashi Murakami : Autour de DOB
 
Panneau didactique
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Tamon-kun, 2003. Fibre de verre, acier, acrylique.
Scénographie
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). a.k.a Gero Tan : Noah’s Ark, 2016. Acrylique.
Scénographie
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). “And Then, When That’s Done … I change. What I Was Yesterday Is Cast Aside, Like An Insect Shedding Its Skin”, 2009. Acrylique sur toile.
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Forest Companions, 2017. Acrylique sur toile montée sur panneau.
Galerie 10 - Takashi Murakami : L'esthétique Kawaii
Scénographie (vue d'ensemble de l'installation)
 
Panneau didactique
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Vue d'installation.
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Vue d'installation.
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Vue d'installation.
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Max & Shimon, 2004. Fibre de verre, acier, acrylique.
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Flower Ball, 2018. Acrylique sur toile, diamètres 60 cm, 120 cm, 200 cm.
Galerie 11 - Takashi Murakami : The Octopus Eats its Own Leg
Scénographie
 
Panneau didactique
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). The Octopus Eats Its Own leg, 2017 (détail). Technique mixte : acrylique, feuille d’or et de platine sur toile, 300 x 3500 cm ; 350 x 700 cm (x2) (l'ensemble).
 
Takashi Murakami (né en 1962, Japon). Chakras open and I Drown Under the Waterfall of Life, 2017.

PARCOURS B : L'HOMME DANS L'UNIVERS DU VIVANT

1. « Irradiances» (Niveau 1)
Galerie 5
Scénographie
 
Panneau didactique
 
Yves Klein (1928-1962, France). Sculpture éponge (SE 231), 1960. Pigment, éponge et résine synthétique, 60 x 25 x 20 cm.
 
Yves Klein (1928-1962, France). Relief éponge (RE 46), 1960. Pigment pur et résine synthétique, éponges naturelles, caillou sur panneau.
 
Dan Flavin (1933-1996, États-Unis). Untitled, 1963. Tube fluorescent vert, 244 x 10 x 7 cm.
Scénographie
 
Gerhard Richter (né en 1932, Allemagne). Gudrun, 1987. Huile sur toile.
 
Gerhard Richter (né en 1932, Allemagne). Lilak, 1982. Huile sur toile. Diptyque, 260 x 400 cm.
Scénographie avec, au premier plan, : Matthew Barney. Water Cast 6, 2015. Bronze, 130,8 x 200,7 x 299,7 cm.
 
Jacqueline Humphries (née en 1960, États-Unis). Untitled, 2007. Huile sur toile, 228,6 x 243,8 cm.
 
James Lee Byars (1932-1997, États-Unis). The Halo, 1994. Laiton doré.
Scénographie
 
Sigmar Polke. Nachtkappe 1, 1986. Indigo, vernis à l’alcool sur toile, 305,8 x 225,7 cm.
 
Pierre Huyghe (né en 1962, France). Cambrian Explosion 10, 2013. Aquarium, écosystème marin vivant, roche volcanique, sable, 175 x 200 x 200 cm.
Galerie 6
 
Panneau didactique
 
Scénographie avec, à l'écran, la vidéo de Shimabuku (voir ci-dessous).
 
François Morellet. L’avalanche, 2006. 36 tubes de néon bleu de 250 cm, transformateurs et câbles haute tension, 370 x 770 x 670 cm.
 
Shimabuku. The Snow Monkeys of Texas : Do snow monkeys remember snow mountains ?, 2016. Vidéo HD couleur, son, lettrage adhésif, cactus, 20 min.
Galerie 7

Christian Boltanski (né en 1944, France). Animitas, 2014. Talabre, San Pedro de Atacama, Chile. Film, couleur, son, 13h 16 s
(voir ci-dessous un extrait de la vidéo)

Christian Boltanski. Animitas, Talabre, San Pedro de Atacama, Chili, 2014.
Les bruits parasites proviennent des visiteurs. La vidéo intégrale dure 13h16s.
Christian Boltanski est un artiste français né en 1944.
Initialement réalisée sous forme d’installation dans le désert d’Atacama au Chili (4 000 mètres d’altitude), « Animitas » renvoie aux autels mémoriels. Filmée en un seul plan fixe, du lever au coucher du soleil, prolongée au sol par une étendue de fleurs

 
fraîches, l’œuvre diffuse le son de 800 clochettes japonaises balancées par le vent. Fixées au sol, elles dessinent la carte céleste du jour de naissance de l’artiste. Leur tintement évoque « la musique des astres et la voix des âmes flottantes ».
Une installation semblable a été réalisée sur l’île de Teshima au Japon (« La Forêt des murmures », 2016), sur l’île d’Orléans au Québec (« Blanc », 2017, Collection de la Fondation Louis Vuitton) et près de la mer Morte (2017).
 
 
Christian Boltanski (né en 1944, France). Après, 2010.
 
Christian Boltanski (né en 1944, France). Animitas, 2014. Talabre, San Pedro de Atacama, Chile. Film, couleur, son, 13h 16 s. Présenté avec un parterre de fleurs fraiches destinées à se faner.
 
Christian Boltanski (né en 1944, France). Animitas, 2014. Talabre, San Pedro de Atacama, Chile. Film, couleur, son, 13h 16 s.
 
Jean-Marie Appriou (né en 1986, France). Lips and ears, 2018. Aluminium.

2. « Là, infiniment » (Niveau 0)
Galerie 4
Scénographie
 
Panneau didactique.
 

Cyprien Gaillard (né en 1980, France). Nightlife, 2015. Vidéo 3D (couleur, son), 14min 56s.
Dans cette œuvre se déroulant en quatre scènes, à Cleveland, Los Angeles et Berlin, l’artiste filme le mouvement des branches allongées, comme en transe, de genévriers « hollywoodiens » et d’autres plantes non-indigènes.
Vient ensuite un feu d’artifice dans le stade olympique de Berlin.
La bande originale, « Black man’s world », est écrite, composée et interprétée par Alton Ellis
.

 
Cyprien Gaillard (né en 1980, France). Nightlife, 2015 (extrait).
 
 
Adrian Villar Rojas (né en 1980, Argentine). From the series The Theater of Disappearance / David’s Legs. Marbre de Carrare et Nylon 12PA, 345 x 15 x 104 cm.
 
Wilhelm Sasnal. Bathers at Asnières, 2010. Huile sur toile, 160 x 120 cm.

3. « L'Homme qui chavire » (Niveau -1)
Galerie 1
 

Philippe Parreno (né en 1964, France). The Writer, 2007. Vidéo présentée sur une tablette numérique. Les bruits parasites proviennent des visiteurs.
Philippe Parreno est un artiste français né en 1964.
L’artiste filme l’un des premiers automates créés par l’horloger Pierre Jaquet-Droz en 1770, construction complexe de plus de 6000 pièces qui l’apparente aux premiers ordinateurs. L’automate suit des yeux la rédaction de son texte : « What do you believe, yours eyes or my words ?) (« Que croyez-vous, vos yeux ou mes mots ? »). Cette pièce s’inscrit dans la suite des œuvres de l’artiste – de « Marylin » à « Ann Lee » - réalisées autour de l’automate et de la créature virtuelle. Ces personnages, dotés d’une conscience fantasmées, sont au cœur de sa démarche.
 

 

 
Scénographie
 
Panneau didactique.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Homme qui chavire, 1950. Bronze peint. Ed. 5/6, Alexis Rudier Fondeur – Fonte 1951, 59,1 x 26,5 x 27,5 cm.
Scénographie
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Grande Femme II, 1960. Bronze à patine brune. Edition 1/6, Susse Fondeur, fonte de 1961.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Grande Femme II (détail),1960. Bronze à patine brune. Edition 1/6, Susse Fondeur, fonte de 1961.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Buste d’homme (Lotar II), vers 1964-1965. Bronze. Edition 1/8, Susse Fondeur, fonte de 1969.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Buste d’homme assis (Lotar III), vers 1965. Bronze. E.A. I/II, Susse Fondeur, fonte de 1968.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Trois Hommes qui marchent I, 1948. Bronze avec poatine marron. Edition non numérotée, Alexis Rudier Fondeur, fonte de 1952.
 
Giovanni Anselmo. Entrare nell ‘Opera, 1971. Tirage jet d’encre sur toile, 350 x 510 cm.
 
Alberto Giacometti (1901-1966, Suisse). Femme de Venise III, 1956. Bronze patiné. Ed. 2/6, Susse Fondeur, fonte de 1957, 118,7 x 17,9 x 35,2 cm.
 
Henri Matisse (1869-1954, France). Nu bleu aux bas verts, 1952. Gouache sur papier canson découpé et collé sur fond de papier vélin marouflé sur toile, 258 x 167 cm.
Scénographie
Au premier plan : Kiki Smith (né en 1954, États-Unis). Annunciation, 2010. Bronze, 150 x 50 x 80 cm.
Sur le mur : Kiki Smith. Visitation of the Bird II, 2007. Collage, encre, crayons de couleurs et paillettes sur papier népalais.
 
Yves Klein (1928-1962, France). Anthropométrie sans titre, (ANT 104), 1960. Pigment pur et résine synthétique sur papier (marouflé sur toile), 278 x 410 cm.
 
Dominique Gonzalez-Foerster. M.2062 (Fitzcarraldo), 2014. Projection vidéo, écran de projection pour illusion holographique, couleur, son, 15 min.
Pierre Huyghe (né en 1962, France). Untitled (Human Mask), 2014. Film couleur et son, 19 min. 07 sec.
 


Ian Cheng (né en 1984, États-Unis). Emissary Forks at Perfection, 2015 (extrait).
Simulation en direct (couleur, son). Durée indéterminée.
Nota : Compte tenu des bruits parasites provenant des visiteurs, nous avons supprimé le son.
Ce deuxième volet appartient à la trilogie « Emissaries », réalisée par Ian Cheng (né en 1984, États-Unis) qui se déroule dans un même espace à des époques différentes. Dans cet épisode se dévoile un monde post-humain contrôlé par une intelligence artificielle (I.A.) à la recherche de l’espèce humaine disparue.

 
 
Galerie 2
Scénographie
 
Maurizio Cattelan (né en 1960, Italie). La ballata di Trotski, 1996. Cheval empaillé suspendu par un harnais, corde et poulie, 270 x 200 x 75 cm.
 
Maurizio Cattelan (né en 1960, Italie). Spermini (détail), 1997. Masques en latex peints.
Galerie 3
Scénographie
 
Bunny Rogers. Study for Joan Portrait, 2016 (detail). Tirages gélatino argentique, 70 x 58 cm (x5).
 
Bunny Rogers. Study for Joan Portrait, 2016 (detail). Tirages gélatino argentique, 70 x 58 cm (x5).
Bunny Rogers. Study for Joan Portrait (Silence of the Lambs), 2016.
Andrea Crespo (née en 1993, États-Unis). Self-Portrait with Phantom Twin, 2017. Impression digitale, 162,5 x 91,4 cm (x2).
 


Philippe Parreno (né en 1964, France). Anywhen, 2017-2018 (extraits).
Nota : Les bruits parasites proviennent des visiteurs.
La vidéo intégrale dure 10 min 42 s.
Philippe Parreno est un artiste français né en 1964.
La vidéo alterne les images d’un céphalopode bioluminescent et les mouvements de ses tentacules, celles de cellules bactériennes et des vues nocturnes de la Terre, dans un montage visuel d’une étonnante beauté. L’œuvre enregistre les changements de coloration du poulpe qui projette sur son corps des signes d’attraction ou de répulsion, en réponse à son environnement. Un texte écrit par l’artiste, inspiré de « Finnegans Wake » de James Joyce, est lu par une actrice ventriloque, Nina Conti, et sert de fil narratif.

 
Grotto
Scénographie
 
Mark Leckey (né en 1964, Royaume-Uni). Felix the Cat, 2013. Tissu, métal, plastique, 10 x 5 x 5 m.
 
Olafur Eliasson (né en 1967, Islande / Danemark). Inside the horizon, 2014. Acier inoxydable, aluminium, système lumineux LED, verre coloré, miroir, son, 5,4 x 5,2 x 91 m.